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En 2018, en France métropolitaine, un enfant sur trois vit en territoire rural. Ces enfants résident plus souvent avec leurs deux parents dans une famille « traditionnelle » que ceux des espaces urbains. Ils vivent moins souvent que les enfants urbains dans des familles pauvres (13 % contre 23 %) ou très aisées. Il y a en effet, dans les territoires ruraux, moins de familles monoparentales ou nombreuses, des parents plus souvent en emploi mais moins fréquemment dans les catégories sociales les plus favorisées, et moins de logements sociaux. Les enfants ruraux ont des conditions de logement plus favorables : neuf sur dix ont leur propre chambre et vivent dans une maison avec un espace extérieur (jardin, terrain, cour), contre respectivement sept sur dix et cinq sur dix en milieu urbain. En revanche, ils vivent plus loin des services et des équipements. Ils disposent, par exemple, en moyenne de huit places en crèche à moins de 15 minutes pour cent enfants de moins de 3 ans, contre vingt-six en milieu urbain. Leur temps d'accès aux professionnels de santé, en particulier aux spécialistes, est également plus long que celui des enfants urbains. Ils résident en moyenne à 25 minutes en voiture d'un pédiatre, contre 7 minutes en milieu urbain. Ils sont aussi plus éloignés de certains équipements culturels (cinémas, musées) et sportifs.

En mai 2020, à l'issue du premier confinement national, 13,5 % des personnes âgées de 15 ans ou plus vivant en France présentent un syndrome dépressif, soit presque une personne sur sept. La prévalence de syndromes dépressifs est en hausse de 2,5 points par rapport à 2019. L'augmentation est notamment plus forte chez les 15-24 ans (22,0 % en mai 2020, contre 10,1 % en 2019) et chez les femmes (15,8 % en 2020, contre 12,5 % en 2019). Présenter un syndrome dépressif est fortement corrélé à des caractéristiques individuelles dont certaines sont spécifiques à la situation sanitaire de mai 2020, comme le fait de voir sa situation financière se dégrader depuis le confinement, d'être confiné en appartement, seul, ou en dehors de son logement habituel chez ses parents ou un conjoint, ou encore d'avoir présenté des symptômes évocateurs de la Covid-19. Dix personnes interrogées sur cent déclarent prendre des médicaments pour des problèmes d'anxiété, de sommeil ou de dépression et, parmi elles, une n'en consommait pas avant le confinement. La part de consommateurs quotidiens d'alcool reste stable en mai 2020 par rapport à 2019 : une personne sur dix. Enfin, un peu plus d'un parent sur cinq interrogé sur des difficultés de sommeil d'un de ses enfants (de 3 à 17 ans) déclare qu'elles sont apparues ou ont augmenté depuis le début du confinement.

Avec cette édition des chiffres-clés de la jeunesse 2021, l'Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire, qui porte le service statistique ministériel chargé de la jeunesse et des sports, rend accessible un ensemble d'indicateurs de référence sur les questions de jeunesse. Ce recueil est le fruit d'une collaboration avec les services statistiques ministériels, l'INSEE et les organismes publics producteurs de données sur la jeunesse. Il propose aux acteurs de jeunesse et au grand public de mieux connaître les spécificités des 15-30 ans dans des domaines aussi variés que la démographie, l'éducation, l'emploi, l'engagement et la participation, les loisirs, le sport, la culture, la justice, ou encore la santé. Sommaire : Démographie Eudcation / Formation Activité / Emploi / Chômage Conditions de vie Sécurité / Justice Loisirs / Sport / Culture Engagement / Participation Santé

"Tu te poses des questions au sujet de ta foi ? Tu souhaites approfondir des questions spirituelles mais tu ne sais pas trop comment t'y prendre ? Tu aimerais prendre un moment pour toi et pour ta foi dans ton quotidien ? Dès le 13 avril, Fondacio publie chaque mardi un podcast spi pour les jeunes. Le podcast « Ma foi, pourquoi pas ? », c'est 10 minutes dans ta semaine pour écouter un témoignage d'un autre jeune et un enseignement sur un thème en particulier de la foi."

"Ce 25 mars marquait le 2ème anniversaire de la publication de Christus Vivit. Cette belle lettre du pape François adressée aux jeunes, à leurs animateurs et accompagnateurs et à toute l'Église. Il serait honnête de reconnaître que les événements que nous vivons depuis plus d'un an, n'ont pas permis une réception sereine et une mise en œuvre adéquate de cette feuille de route pour la pastorale des jeunes. Comment célébrer et témoigner du Christ vivant et vivifiant dans un contexte anxiogène où la vie et la santé sont menacées ? Cela est d'autant plus pertinent que les rassemblements des aumôneries et les propositions des temps forts en paroisse, en doyenné ou en diocèse se tiennent au gré des restrictions et des autorisations."

"Une vidéo réalisée par les jeunes de Cor Unum pour présenter le diocèse de Versailles à notre nouvel évêque Mgr Luc Crepy"

"Ton diocèse t'a préparé un programme bien complet pour cet été ! Joie, rires, louanges, sports, fraternité, jeux, charité … de quoi faire le plein d'énergie et vivre des expériences fraternelles inoubliables !"

"Alors qu'une messe pour le scoutisme est célébrée ce dimanche 25 avril à Saint-Louis des Français (Rome) à l'occasion de la saint George, patron du mouvement, le père Jacques Gagey, aumônier mondial de la Conférence internationale catholique du scoutisme (CICS), revient sur le rôle essentiel du scoutisme."

"Dans toute la France, des chefs, cheftaines, cadres et responsables se sont emparés du kit de conversion écologique « Tout est lié » pour le partager et l'expliquer autour d'eux. C'est le cas de Camille, cheftaine scouts/guides dans le groupe de Clamart (92), qui revient sur son engagement en tant que « référente transition écologique » pour son territoire. Pour cette mission, elle a créé le compte Instagram @la_transition_ecologique_sgdf comme réservoir d'idées à piocher."

"Retraçant l'histoire du scoutisme en France et de sa scission dans les années 70, le livre « Toujours prêts » de l'aumônier SUF et historien Yves Combeau suscite de vives réactions dans les mouvements scouts. Une lettre a été envoyée aux évêques."

"Le précédent projet diocésain de la Pastorale des Jeunes datait de 2013. Depuis, ont eu lieu une réflexion avec les jeunes sur des orientations diocésaines, une expérience synodale avec les jeunes lors du pélé à Lourdes en 2018, un synode des jeunes à l'échelle de l'Eglise universelle et une exhortation apostolique, Christus Vivit. Dans cette période, le monde et particulièrement le monde des jeunes a beaucoup changé. De plus, les nombreux scandales ont amené l'Eglise à être plus attentif à sa façon d'être en relations notamment avec les mineurs. Il convenait donc de renouveler ce projet, à l'écoute des jeunes et des nouveaux modes de vie. Ce projet reprend celui qui existait auparavant, mais l'actualise. Il est un repère pour les animateurs, éducateurs, accompagnateurs de jeunes et les prêtres en lien avec les différents groupes de jeunes dans le diocèse."

"Avec Marie : prier pour l'évangélisation des jeunes et leurs familles chaque jour. À partir du dimanche 2 mai, le Service Jeunes du diocèse vous propose un pèlerinage virtuel de différents sanctuaires mariaux de France, à partir de vidéo diffusée sur Vodeus.tv, de prier l'intention de prière de la semaine et de réciter chaque jour une dizaine du chapelet (c'est-à-dire 10 « Je vous salue Marie ») pour les jeunes du diocèse et leurs familles. Cette proposition s'adresse à toutes les générations, groupes de prières, aumôneries ou familles et s'inscrit dans le cadre de la lettre pastorale N° 3 dédiée à la famille et à la jeunesse ."

"On entend souvent que les jeunes sont une richesse pour le pays. Qu'on fait tout pour vous, qu'on a plein de plans. Mais dans la réalité, qui vous écoute ? Qui vous regarde ? Qui entend ce que vous avez à dire ? Pas grand monde…​ Alors, on a décidé de vous donner la parole et de vous écouter vraiment. Jusqu'au 15 mai 2021, venez donner votre avis sur votre vie, votre avenir, vous doutes, vos envies lors de la consultation menée par Apprentis d'Auteuil et ses partenaires : Bayard, Sport dans la Ville et l'Unaf. ​​ Tout ce que vous nous direz nous permettra de porter haut et fort votre voix lors des présidentielles de 2022, pour qu'enfin la jeunesse soit entendue et qu'elle soit la grande cause du prochain quinquennat."

"table-ronde sur le thème "Jeunes et vieux se réjouiront ensemble ! Comment permettre à des jeunes de prendre leur place dans l'Eglise ?"    avec Mgr Vincent Dollmann, archevêque de Cambrai,          Marie Payen (pastorale des jeunes du diocèse),          Vincent Szymura (EAP de Cambrai),"

"Partir en volontariat, même durant ces mois difficiles en raison de la pandémie, c'est possible !"

"Deux fois reporté à cause de la crise sanitaire, le rassemblement des EAP (Equipe d'Animation de la Paroisse) et des mouvements et services diocésains a pris la forme d'une table ronde autour de la place des jeunes dans l'Eglise"