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"Pourtant, la seule unité que l'Eglise connaisse réside dans l'unité de foi, de culte et de gouvernement, par laquelle tous les membres du Corps mystique sont unis entre eux et à leur chef : le Christ et son Vicaire sur la terre (cf. Mt 16, 18 ; Jn 21, 16-17 ; Eph. 4, 16). Malheureusement, les schismatiques orientaux refusent de reconnaître l'autorité du pape sur toute l'Eglise et nient ou n'acceptent pas plusieurs dogmes essentiels : procession du Saint-Esprit, primauté et infaillibilité du magistère du Pontife romain, dogmes mariaux de l'Immaculée Conception et de l'Assomption corps et âme de la Très Sainte Vierge Marie. Ils refusent l'enseignement magistériel formulé après les sept premiers Conciles œcuméniques, autrement dit depuis le second Concile de Nicée en 787. Organisés en Eglises particulières autocéphales, les orthodoxes - de fait hétérodoxes - ne connaissent de plus aucune unité de gouvernement."

"Nuances de Mgr Pozzo à propos de l'autorité de certains documents de Vatican II"

Autres sources Réponses catholiques Les Coptes et les dogmes CS - Vu le 25/07/2012

"Aux yeux des catholiques, l'infaillibilité pontificale est un moyen de préserver la "pureté de la foi". Une prérogative du pape qui ne s'exerce qu'à de très strictes conditions. Ce dogme suscite depuis sa promulgation un véritable scepticisme de la part de différentes confessions chrétiennes."

"Comme pour les autres débats éthiques, le protestantisme ne propose pas de position unanime sur la PMA. Cette religion laisse le croyant choisir lui-même la solution qui lui paraît la plus acceptable éthiquement et considère que ce choix relève de la responsabilité personnelle. La réflexion ne manque pas, assure le philosophe Olivier Abel, protestant libéral, mais elle « échoue à se présenter avec l'autorité d'un dogme »."

"Dans une société matérialiste qui regarde la foi comme un archaïsme, ils ont embrassé la religion. Pour ces jeunes de toute confession, la pratique, revisitée, passe par les nouvelles technologies et un rapport assoupli aux dogmes."

"La réunion d'évêques convoquée par l'empereur Constantin à Nicée - désormais en Turquie - en 325 est célébrée aujourd'hui comme le premier de tous les « conciles œcuméniques ». À la fin des travaux a été reconnu le dogme selon lequel « Dieu s'est fait homme en Jésus-Christ, qui est fils de Dieu ». Que penser de cette formulation dix-sept siècles plus tard ? Quelques éléments de réflexion avec Anthony Feneuil, maître de conférences au département de théologie de l'Université de Lorraine (Metz) et coauteur d'un Lexique de théologie*."