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Contents contributed and discussions participated by Arnault Coulet

Arnault Coulet

"Elysee.fr : un nouveau site à l'accent américain" - ah bon - 2 views

  • Cette nouvelle version du site de l'Elysée aurait coûté pas moins de 100.000 euros, indique Nicolas Princen, le webmaster de l'Elysée au Figaro. Selon le site rue89, il aurait été réalisé par l'agence Soleil Noir pour l'aspect visuel et par la société Nexint pour son architecture technique. Du côté des prestataires, l'Elysée a résolument joué la carte nationale. C'est Exalead qui s'occupe de la recherche sur le site, Dailymotion est la plate-forme vidéos avec l'INA pour les images d'archive et les cartes de l'Institut géographique national (IGN) ont été préférées à celles de Google Maps.
Arnault Coulet

Un numéro de téléphone fixe pour les sans-domicile-fixe - 0 views

  • L'association Reconnect, lauréate du concours Jeunes Talents Innovation organisé par SFR, propose aux plus démunis un numéro de téléphone fixe et une messagerie. L'intérêt ? Rester joignable et maintenir un lien social.
  • our Eric Chatry, fondateur de Reconnect, le constat est simple : « On parle beaucoup de l'ordinateur, mais le premier outil permettant de maintenir un lien social, c'est le téléphone. »
  • une étude faite par Reconnect montre que 60 % des personnes en situation précaire ont un téléphone mobile, avec dans la plupart des cas le recours aux cartes prépayées.
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  • C'est là que le bât blesse. Ces offres, souvent présentées par les opérateurs comme des solutions idéales pour les utilisateurs ayant des revenus faibles ou irréguliers, posent plus de problèmes qu'elles n'en résolvent. Elles sont d'abord très coûteuses, avec un prix tournant autour de 0,50 euro par minute, bien supérieur à n'importe quel forfait. Elles obligent de plus à une consommation assez rapide des minutes achetées, sans quoi le numéro de téléphone est attribué à un autre utilisateur. « 70 % des utilisateurs n'ont plus d'unité et courent le risque de perdre leur numéro », estime-t-on chez Reconnect. Sans parler des problèmes de perte ou de vol des appareils.
  • Déployé l'an dernier en Ile-de-France, le système est actuellement utilisé par quelque 500 personnes. Il est encore en phase de test et dépend de subventions. L'objectif est de le déployer à plus grande échelle pour un prix de 10 euros par trimestre qui sera supporté par l'utilisateur ou l'association
  • L'originalité du concours organisé par SFR est en effet d'organiser un partenariat avec des villes, « afin d'avoir un ancrage local et de bénéficier de développements rapides », précise Pierre-Emmanuel Struyvel, responsable de l'innovation et des nouveaux marchés chez SFR.
Arnault Coulet

Obama: Doesn't use Twitter - 0 views

  • Either way, the internet, not to mention Twitter feeds, are abuzz with news that President Obama doesn't use the popular social media application after he admitted to a group of Chinese students in Shanghai that he's "too clumsy to type on the phone". The question came about after he was asked by one of the students, "Should we be able to use Twitter freely?" In a country where the internet is heavily censored and online dissent clamped down upon, it was a critical question for the President. "Well, first of all, let me say that I have never used Twitter. My thumbs are too clumsy to type in things on the phone," Obama replied. (However, it was widely reported that upon entering the White House, the new President refused to give up his Blackberry much to the chagrin of the Secret Service.)
  • But because in the United States, information is free, and I have a lot of critics in the United States who can say all kinds of things about me, I actually think that that makes our democracy stronger and it makes me a better leader because it forces me to hear opinions that I don't want to hear."
Arnault Coulet

Comment éviter les fuites de résultats électoraux sur Internet ? (@stephanedr... - 0 views

  • Quelles sont-elles ? Selon l’article 12 de la loi 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion, ainsi que l’article L. 52-1 du code électoral associé à la sanction pénale définie par l’article L. 90-1 du même code, la publication la veille et le jour du scrutin de sondages est punie d’une amende de 75.000 €. Cette interdiction frappe donc aussi les sondages « sortie des urnes », élaborées à partir d’enquêtes réalisée à la sortie des bureaux de vote. Par ailleurs, selon l’article L. 52-2 du code électoral, dont l'infraction est sanctionnée par l’article L. 89 du même code, prohibe la publication « de résultat d'élection, partiel ou définitif (…) par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain ».
  • Cette interdiction concerne donc les estimations publiés à 18h30, projections calculées par les instituts de sondages à partir des résultats d’un certain nombre de bureaux test ayant des comportements de vote semblables au reste de la France. Sans que l’on comprenne bien pourquoi, la sanction est dans ce cas beaucoup plus légère que dans le premier cas : 3.750 €. « Il y a un peu d’ordre à mettre dans tout cela, constate Marie-Eve Aubin, présidente de la Commission de sondages. D’autant que nos pouvoirs et notre champ d’intervention sont limités ». « Il faudra préciser les moyens de la commission des sondages », confirme Jean-Pierre Sueur, sénateur PS du Loire, chargé, avec Hugues Portelli, sénateur UMP du Val d’Oise, d’un rapport pour la Commission des lois du Sénat sur la question des sondages, qui doit être rendu en juin ou en septembre prochains.
  • Peut-être proposeront-ils également une surveillance accrue du Net. En 2007, la Commission de contrôle de la campagne et la Commission des sondages avait en effet mis en place un dispositif de surveillance sur Internet afin de repérer les infractions au code électoral.
Arnault Coulet

Les VPN, les nouvelles "concessions" de liberté en Chine sur le Net (via @sir... - 0 views

  • Voici un article de Michael Anti (Zhao Jing) , blogueur chinois, fervent défenseur de la liberté d’expression dans les pays asiatiques. Il s’exprime ici sur la Chine virtuelle. Son article a été repris le 16 mars 2010 par le site du quotidien espagnol El Mundo et est traduit ci-dessous par mes soins. Il ne fait pas que dénoncer la situation, il explique comment et pourquoi elle n’est pas désespérée.
  • Tout comme Lu Xun vivait dans les concessions étrangères, de nombreux internautes chinois utilisent aujourd’hui le Virtual Private Network (VPN), un accès sécurisé à des ordinateurs à distance. C’est donc un réseau virtuel s’appuyant sur un autre réseau et permettant ainsi un accès libre à Internet.
  • De cette façon, grâce à ces hommes d’affaire et les émigrés, je profite d’internet librement avec ces concessions que sont devenues les VPN. Elles sont les exceptions de la censure chinoise. Beaucoup d’internautes les utilisent pour obtenir des infos qu’ils diffusent ensuite sur les sites chinois comme Sina, Youku, Tudou,…
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  • Aujourd’hui, j’ai tweeté: « Ceux qui n’auront pas utilisé de VPN, seront des citoyens de seconde catégorie dans cette société de l’information parce qu’un abîme s’est ouvert entre le web des VPN et celui censuré » Cela signifie que la majorité des jeunes Chinois font partie de cette tragédie.
Arnault Coulet

Régionales: pourquoi Twitter n'est pas forcément hors-la-loi (via @fondapol) - 0 views

  • Obsolète, mais aussi relativement obscur. Comme l'affirme Bernard Maligner, expert en droit électoral, "en réalité, deux textes sont en choc frontal sur cette question". Le premier, c'est l'article L52-2 du code électoral. Il prévoit que, "en cas d'élections générales, aucun résultat d'élection, partiel ou définitif, ne peut être communiqué au public par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain". Les contrevenants sont potentiellement passibles d'une amende de 3750 euros.
  • Cela paraît clair, sauf que les premières tendances, disponibles à 18h, ne sont pas à proprement parler des "résultats" : ce sont des sondages sortis des urnes. Des sondages dont la publication, en toute logique, devrait donc être régie par la loi du 19 juillet 1977. Cette dernière interdit "par quelque moyen que ce soit, la publication, la diffusion et le commentaire de tout sondage tel que défini à l'article 1er". Ceux qui enfreignent cette disposition sont passibles d'une amende qui pourrait aller jusqu'à 75.000 euros. Oui, mais... "Ce ne sont pas les sondages sortis des urnes, ni ceux faits à partir des bureaux test à 18h qui sont visés par cet article 1er, explique-t-on à la commission des sondages, mais les sondages d'intention de vote faits les jours qui précèdent le scrutin". Du coup, les estimations qui circulent à partir de 18h sur le web semblent flotter dans une espèce de vide juridique. "Le législateur doit se saisir de cette question", indique-t-on à la commission des sondages.
  • Au ministère de l'Intérieur, dès le mois de juin dernier, on indiquait en effet que le code électoral allait être modifié pour les présidentielles de 2012. Mais, plusieurs mois plus tard, le dossier ne semble pas avoir avancé.
Arnault Coulet

#regionales Le Web, réceptacle des déceptions de l'UMP - 0 views

  • Le député résume bien trois des principales critiques faites par les élus du parti présidentiel comme par les militants : l’ouverture à gauche, l’échec du débat sur l’identité nationale et une politique pro-écologiste qui n’a fait que déboussoler l’électorat UMP. Sur son blog, Claude Gloasguen, député de Paris, dénonçait ansi, vendredi, “l’ouverture pratiquée”, qui “ne correspond pas à ce qu’attendaient nos électeurs en 2007″. Même chose pour Lionnel Luca, député des Alpes-Maritimes, qui fustige “le strabisme présidentiel de gauche avec l’ouverture”. Le député de Paris Bernard Debré critique également avec force la responsabilité de l’Elysée dans ce triple échec : ”Une taxe carbone, pourquoi ? D’ailleurs elle est oubliée, voici des voix supplémentaires pour les écolos. Identité nationale : débat subi, débat stoppé. Voici des voix pour le Front national. Ouverture à tout va, qui se traduit dans l’idée des électeurs : gauche et droite interchangeables… Voici des voix pour l’abstentionnisme”.
  • Sur le Net, le trouble est perceptible jusque dans les sites officiels du parti. La plateforme participative Créateurs de possibles s’est enrichie de nouvelles “initiatives”, comme “créer une chambre consultative des membres du Conseil national”. Alexandre B., à l’origine de l’idée, exige que “ces militants, ces cadres du parti soient écoutés et respectées…comme il se doit”. Dans l’initiative “Se mobiliser pour le 2e tour”, Jacques P. écrit une longue critique du monde politique, qu’il conclut par ces mots : “La république est perçue par beaucoup de gens comme “bananière”… Pour mobiliser il faut croire… Ce n’est pas le cas…”
  • Même ambiance sur le forum officiel des Jeunes Populaires. Un membre nommé Foetus explique : “Au passage, les gentils messieurs de l’UMP qui voient dans les abstentionnistes leur réserves de voix pour le second tour, feraient bien de se demander si les jeunes de 18 à 20 ans sont leur plus fidèle soutien et la plus enthousiaste des classes d’âge pour les belles réformes de l’actuel président de la République”. Avant d’ajouter, plus loin dans la conversation : “L’UMP a joué avec les peurs et la xénophobie, c’est en partie pour cette raison que les électeurs de droite se sont abstenus”.
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  • Autre blogueur plutôt situé à droite, CaReagit estime que “N. Sarkozy s’est déraciné de sa base électorale historique et c’est en cela que cette élection est une catastrophe pour l’UMP”.
  • Yves Thréard, éditorialiste au Figaro et peu soupçonnable d’adhérer aux idées du PS, se fait aussi l’écho de cette défiance croissance sur son blog. Dans un billet au vitriol titré “Sarkozy, l’UMP et le déni de réalité”, il explique : “la gifle de dimanche et le haut niveau d’abstention s’expliquent en grande partie par un rejet grandissant de Nicolas Sarkozy.
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