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Arnault Coulet

#regionales Intéressante analyse de @rslnmag : la révolution des contenus est... - 0 views

  • chez RSLNmag.fr, on a l’impression que cette campagne des régionales 2010 marque également une évolution nette sur les sites classiques des partis, hors des dispositifs communautaires. On s’explique : c’est la première fois, nous semble-t-il, que l’on parle autant de contenus, au point que certains sites basculent du champ purement institutionnel, vers un modèle plus proche des sites d’actu ou de commentaire de l’actu.
  • « Nous gérons deux types de contenus différents : des contenus fixes, comme les pages « Adhérez », « Contactez-nous », etc, et des contenus d’actualité », explique Emile Josselin
  • Cette ressemblance avec les sites d’infos va encore un peu plus loin : elle se retrouve également dans les formats éditoriaux adoptés pour traiter l’actu chaude. « Jusqu’à présent, le site servait surtout à mettre en ligne des communiqués de presse. C’est indispensable, mais pas suffisant », poursuit Emile Josselin. La palette dans laquelle l’équipe pioche s’est nettement élargie : chats, déplacements de candidats suivis en live, ou carte : tous ces éléments sont ceux utilisés par les médias en ligne.
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  • la « carte des divisions et des erreurs de l’UMP » a, par exemple, été un carton d’audience, au-delà des reprises dans les médias. « Cette page a été vue 26.000 fois. Sur un site d’info classique, ce serait déjà considéré comme un bon score », commente Emile Josselin, ancien journaliste web de 20minutes.fr
  • « C’est vrai que le PS a réalisé un joli coup avec sa carte. Mais on y répondra  … » : à l’UMP, c’est Benoist Apparu, 39 ans, secrétaire d’Etat chargé du Logement et de l’Urbanisme, tête de liste du parti présidentiel dans la Marne, mais également secrétaire national du parti en charge « des communautés numériques », qui répond aux questions sur la stratégie web
  • Benoist Apparu reconnaît bien volontiers que le site lemouvementpopulaire.fr est d’abord « un site vitrine ». Mais, précise-t-il aussitôt, « sur ce site de marque, on veut également permettre l’expression d’un point de vue, pour les internautes : nous proposons donc régulièrement des formats interrogatifs, dans lesquels les internautes peuvent commenter. »
  • Cette différence a une explication très politique, selon le secrétaire d’Etat : « La stratégie internet ne peut pas être la même selon que l’on est dans la majorité ou dans l’opposition, juge-t-il. Quand on est le parti de gouvernement, on est avant tout dans une démarche positive. » Et quand on l’interroge sur le bon score de la carte socialiste, Benoist Apparu s’exclame : « Mais notre lipdub, c’est 1,5 millions de vues ! … »
Arnault Coulet

Régionales: pourquoi Twitter n'est pas forcément hors-la-loi (via @fondapol) - 0 views

  • Obsolète, mais aussi relativement obscur. Comme l'affirme Bernard Maligner, expert en droit électoral, "en réalité, deux textes sont en choc frontal sur cette question". Le premier, c'est l'article L52-2 du code électoral. Il prévoit que, "en cas d'élections générales, aucun résultat d'élection, partiel ou définitif, ne peut être communiqué au public par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain". Les contrevenants sont potentiellement passibles d'une amende de 3750 euros.
  • Cela paraît clair, sauf que les premières tendances, disponibles à 18h, ne sont pas à proprement parler des "résultats" : ce sont des sondages sortis des urnes. Des sondages dont la publication, en toute logique, devrait donc être régie par la loi du 19 juillet 1977. Cette dernière interdit "par quelque moyen que ce soit, la publication, la diffusion et le commentaire de tout sondage tel que défini à l'article 1er". Ceux qui enfreignent cette disposition sont passibles d'une amende qui pourrait aller jusqu'à 75.000 euros. Oui, mais... "Ce ne sont pas les sondages sortis des urnes, ni ceux faits à partir des bureaux test à 18h qui sont visés par cet article 1er, explique-t-on à la commission des sondages, mais les sondages d'intention de vote faits les jours qui précèdent le scrutin". Du coup, les estimations qui circulent à partir de 18h sur le web semblent flotter dans une espèce de vide juridique. "Le législateur doit se saisir de cette question", indique-t-on à la commission des sondages.
  • Au ministère de l'Intérieur, dès le mois de juin dernier, on indiquait en effet que le code électoral allait être modifié pour les présidentielles de 2012. Mais, plusieurs mois plus tard, le dossier ne semble pas avoir avancé.
Arnault Coulet

#regionales Le Web, réceptacle des déceptions de l'UMP - 0 views

  • Le député résume bien trois des principales critiques faites par les élus du parti présidentiel comme par les militants : l’ouverture à gauche, l’échec du débat sur l’identité nationale et une politique pro-écologiste qui n’a fait que déboussoler l’électorat UMP. Sur son blog, Claude Gloasguen, député de Paris, dénonçait ansi, vendredi, “l’ouverture pratiquée”, qui “ne correspond pas à ce qu’attendaient nos électeurs en 2007″. Même chose pour Lionnel Luca, député des Alpes-Maritimes, qui fustige “le strabisme présidentiel de gauche avec l’ouverture”. Le député de Paris Bernard Debré critique également avec force la responsabilité de l’Elysée dans ce triple échec : ”Une taxe carbone, pourquoi ? D’ailleurs elle est oubliée, voici des voix supplémentaires pour les écolos. Identité nationale : débat subi, débat stoppé. Voici des voix pour le Front national. Ouverture à tout va, qui se traduit dans l’idée des électeurs : gauche et droite interchangeables… Voici des voix pour l’abstentionnisme”.
  • Sur le Net, le trouble est perceptible jusque dans les sites officiels du parti. La plateforme participative Créateurs de possibles s’est enrichie de nouvelles “initiatives”, comme “créer une chambre consultative des membres du Conseil national”. Alexandre B., à l’origine de l’idée, exige que “ces militants, ces cadres du parti soient écoutés et respectées…comme il se doit”. Dans l’initiative “Se mobiliser pour le 2e tour”, Jacques P. écrit une longue critique du monde politique, qu’il conclut par ces mots : “La république est perçue par beaucoup de gens comme “bananière”… Pour mobiliser il faut croire… Ce n’est pas le cas…”
  • Même ambiance sur le forum officiel des Jeunes Populaires. Un membre nommé Foetus explique : “Au passage, les gentils messieurs de l’UMP qui voient dans les abstentionnistes leur réserves de voix pour le second tour, feraient bien de se demander si les jeunes de 18 à 20 ans sont leur plus fidèle soutien et la plus enthousiaste des classes d’âge pour les belles réformes de l’actuel président de la République”. Avant d’ajouter, plus loin dans la conversation : “L’UMP a joué avec les peurs et la xénophobie, c’est en partie pour cette raison que les électeurs de droite se sont abstenus”.
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  • Autre blogueur plutôt situé à droite, CaReagit estime que “N. Sarkozy s’est déraciné de sa base électorale historique et c’est en cela que cette élection est une catastrophe pour l’UMP”.
  • Yves Thréard, éditorialiste au Figaro et peu soupçonnable d’adhérer aux idées du PS, se fait aussi l’écho de cette défiance croissance sur son blog. Dans un billet au vitriol titré “Sarkozy, l’UMP et le déni de réalité”, il explique : “la gifle de dimanche et le haut niveau d’abstention s’expliquent en grande partie par un rejet grandissant de Nicolas Sarkozy.
Rem Palpitt

Twitter et les régionales, entre platitudes et invectives - 0 views

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    Seulement voilà : pas une semaine sans qu'un média ne fasse sa "une" ou ne consacre une émission à la "révolution Twitter" et ses bienfaits. Rares sont donc les candidats à oser dire que cet outil censé être magique ne leur est que de peu d'utilité. Chantal Jouanno a osé. Pour elle, "le message politique ne peut pas passer sur Twitter", qui "relève plus de la sphère personnelle". Et "quand on fait de la politique sur Twitter, ça ne donne pas grand chose de bon". On peut partager cet avis ou non. Force est cependant de constater qu'au-delà de l'effet de mode et de la nécessité "d'y être", les régionales ne se joueront certainement pas sur le réseau de microblogging. Les candidats peuvent se consoler en pensant qu'elles leur auront au moins permis de s'essayer à cet outil, qui pourrait prendre une plus grande ampleur lors de la prochaine campagne, en 2012.
Arnault Coulet

Le site web de la présidence sera opérationnel après les régionales (via @fon... - 0 views

  • Le site web de la présidence sera opérationnel après les régionales Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, Web, Politique Par pierre-alain le 06/03/2010 à 17:29, vu 1152 fois, 4  Franck Louvrier , conseiller en communication de Nicolas Sarkozy indique à l' Express.fr, que la nouvelle version du site de la présidence (elysee.fr) sera opérationnel au lendemain des élections régionales.Mais pourquoi cette date?Simplement "pour éviter une polémique", dixit le conseiller en communication.Pourtant, comme le rappelle le site, le chef de l'Etat doit donner une interview au Figaro magazine, le 13 mars prochain, soit la veille du premier tour...Et le lancement de cette formule de elysee.fr se fait vraiment désirer... Il a été repoussé à deux reprises, indique L'Express.fr... Suspense donc!
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