#140con: Police test Twitter strategy
Two police officers explain why it is important to engage with social media and what their plans are
Colombia: networks of dissent and power | openDemocracy - 0 views
-
"The Facebook-sparked protest and 4 February demonstrations in Colombia make an interesting test-case of the burgeoning power of unorthodox media outlets and their potential to rally great numbers of people in a short period of time. The initial spontaneity and synergy are a paradigm example of how technology can spawn transnational political forms; in this the phenomenon both belongs to the past decade of net-based activism and highlights the potential of social networks to make this type of organising even more inventive and sophisticated in the future. At the same time, this particular protest (and this form of mobilisation) exclude the many who do not belong to the technological and transnational elites which they favour. Moreover, by avoiding the classic approaches of civil-society work - including the formation of alliances with NGOs, political parties, human-rights groups, and trade unions - the march organisers disregard traditional forms and institutions of democratic action. In doing so, they privilege a fragmented and highly individualised perspective of reality over one that embodies shared, public action for social improvement. "
#140con: Police test Twitter strategy | Media | guardian.co.uk - 0 views
-
-
"We started because we struggled to engage with young people," said Payne. "We thought Twitter, YouTube and social media, that was where they were talking. So 18 months ago we had no presence anywhere at all. But then we saw a mobile video of a murder – and none of my officers could access the social networks. In the meantime we totally unblocked the net, any officer can now go online. And let me tell you, we had tremendous success finding criminals with the help of social media."
Points for Voting: Facebook Places Becomes Part of an Elections Game - 0 views
-
Trotter set up the app as an experiment to test whether online friendships could pressure people into being more active and engaged as citizens
-
“Trust-based relationships have become a new form of currency,” he said in an interview
UMP, PS : deux réseaux sociaux, deux philosophies différentes - 0 views
-
Le Parti socialiste a officiellement lancé ce mardi son réseau social, baptisé Coopol. Ouvert depuis plusieurs semaines en test aux militants de certaines régions, le site est désormais accessible à tous, militants comme sympathisants. L'UMP avait ouvert la semaine dernière son propre réseau, Les Créateurs de possibles. Malgré quelques points communs, les deux réseaux révèlent en filigrane des philosophies assez différentes. Comparaison.
Régionales: pourquoi Twitter n'est pas forcément hors-la-loi (via @fondapol) - 0 views
-
Obsolète, mais aussi relativement obscur. Comme l'affirme Bernard Maligner, expert en droit électoral, "en réalité, deux textes sont en choc frontal sur cette question". Le premier, c'est l'article L52-2 du code électoral. Il prévoit que, "en cas d'élections générales, aucun résultat d'élection, partiel ou définitif, ne peut être communiqué au public par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain". Les contrevenants sont potentiellement passibles d'une amende de 3750 euros.
-
Cela paraît clair, sauf que les premières tendances, disponibles à 18h, ne sont pas à proprement parler des "résultats" : ce sont des sondages sortis des urnes. Des sondages dont la publication, en toute logique, devrait donc être régie par la loi du 19 juillet 1977. Cette dernière interdit "par quelque moyen que ce soit, la publication, la diffusion et le commentaire de tout sondage tel que défini à l'article 1er". Ceux qui enfreignent cette disposition sont passibles d'une amende qui pourrait aller jusqu'à 75.000 euros. Oui, mais... "Ce ne sont pas les sondages sortis des urnes, ni ceux faits à partir des bureaux test à 18h qui sont visés par cet article 1er, explique-t-on à la commission des sondages, mais les sondages d'intention de vote faits les jours qui précèdent le scrutin". Du coup, les estimations qui circulent à partir de 18h sur le web semblent flotter dans une espèce de vide juridique. "Le législateur doit se saisir de cette question", indique-t-on à la commission des sondages.
-
Au ministère de l'Intérieur, dès le mois de juin dernier, on indiquait en effet que le code électoral allait être modifié pour les présidentielles de 2012. Mais, plusieurs mois plus tard, le dossier ne semble pas avoir avancé.
Un numéro de téléphone fixe pour les sans-domicile-fixe - 0 views
-
L'association Reconnect, lauréate du concours Jeunes Talents Innovation organisé par SFR, propose aux plus démunis un numéro de téléphone fixe et une messagerie. L'intérêt ? Rester joignable et maintenir un lien social.
-
our Eric Chatry, fondateur de Reconnect, le constat est simple : « On parle beaucoup de l'ordinateur, mais le premier outil permettant de maintenir un lien social, c'est le téléphone. »
-
une étude faite par Reconnect montre que 60 % des personnes en situation précaire ont un téléphone mobile, avec dans la plupart des cas le recours aux cartes prépayées.
- ...3 more annotations...
Comment éviter les fuites de résultats électoraux sur Internet ? (@stephanedr... - 0 views
-
Quelles sont-elles ? Selon l’article 12 de la loi 19 juillet 1977 relative à la publication et à la diffusion de certains sondages d'opinion, ainsi que l’article L. 52-1 du code électoral associé à la sanction pénale définie par l’article L. 90-1 du même code, la publication la veille et le jour du scrutin de sondages est punie d’une amende de 75.000 €. Cette interdiction frappe donc aussi les sondages « sortie des urnes », élaborées à partir d’enquêtes réalisée à la sortie des bureaux de vote. Par ailleurs, selon l’article L. 52-2 du code électoral, dont l'infraction est sanctionnée par l’article L. 89 du même code, prohibe la publication « de résultat d'élection, partiel ou définitif (…) par la voie de la presse ou par tout moyen de communication au public par voie électronique, en métropole, avant la fermeture du dernier bureau de vote sur le territoire métropolitain ».
-
Cette interdiction concerne donc les estimations publiés à 18h30, projections calculées par les instituts de sondages à partir des résultats d’un certain nombre de bureaux test ayant des comportements de vote semblables au reste de la France. Sans que l’on comprenne bien pourquoi, la sanction est dans ce cas beaucoup plus légère que dans le premier cas : 3.750 €. « Il y a un peu d’ordre à mettre dans tout cela, constate Marie-Eve Aubin, présidente de la Commission de sondages. D’autant que nos pouvoirs et notre champ d’intervention sont limités ». « Il faudra préciser les moyens de la commission des sondages », confirme Jean-Pierre Sueur, sénateur PS du Loire, chargé, avec Hugues Portelli, sénateur UMP du Val d’Oise, d’un rapport pour la Commission des lois du Sénat sur la question des sondages, qui doit être rendu en juin ou en septembre prochains.
-
Peut-être proposeront-ils également une surveillance accrue du Net. En 2007, la Commission de contrôle de la campagne et la Commission des sondages avait en effet mis en place un dispositif de surveillance sur Internet afin de repérer les infractions au code électoral.
L'e-administration parisienne fait des efforts et teste Facebook par Neteco.com - 0 views
-
Jean-Philippe Clément,
EU Profiler - 0 views
1 - 12 of 12
Showing 20▼ items per page