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stan mag

L'observatoire hebdomadaire du web politique #14 : Spécial Tunisie | Facebook - 0 views

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    "Les tenants de la Web révolution Nouvel Observateur, le Figaro, Le Monde : les plus ardents défenseurs d'un rôle décisif du web dans la révolution tunisienne sont, paradoxalement, les médias traditionnels. Le Web comme catalyseur de la « révolution » : le Nouvel Obs, par la voix de J-F Julliard, qualifie purement et simplement les événements actuels de « e-révolution », le mécontentement exprimé sur le Web ayant contribué à déloger le président tunisien. Le Monde, lui, publie une tribune d'un chercheur à l'IRIS, lequel affirme que le Web contribue à former des citoyens éclairés et politisés, donc rebelles. In fine, c'est donc bien le Web qui serait le catalyseur de la révolte. Enfin, certains médias algériens relaient par ailleurs la thèse selon laquelle Wikileaks et Facebook ont joué un rôle complémentaire dans le mécontentement : le premier en publiant certaines informations gênantes, l'autre en les popularisant. Le Web comme outil d'organisation : sur le Nouvel Obs, un article revient plus en détail sur l'organisation du mouvement via le Web, un Web devenu un « outil indispensable de l'opposant » en Tunisie. Numerama adopte le même ton : Internet aurait été en mesure de renverser le régime tunisien en raison de l'efficacité accrue de la mobilisation, une efficacité permise par le Web. Le Web comme transmetteur d'informations : par la voix de Pierre Haski (Rue89), l'AFP se range également dans le camp des tenants de la « Web révolution » : sans Internet, de telles émeutes ne seraient pas permises, notamment grâce la bonne circulation de l'information qui a rendu possible la diffusion de l'appel à la mobilisation. Les « pure players », incrédules À l'inverse, les sceptiques trouvent leur place au sein des pure-players et medias spécialisés. Les blogs comme Netpolitique, Meilcour ou Guy Birenbaum figurent parmi ces incrédules. Le Web ne fait que transmettre
Rem Palpitt

Internet creuse la fracture civique - 1 views

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    uelles sont les sources privilégiées par les Français pour se tenir au courant de l'actualité politique ? L'Internet tend-il à supplanter les médias traditionnels en matière d'information ? Les réseaux sociaux en ligne redonnent-ils une nouvelle jeunesse aux conversations dans la formation des opinions ? Alors qu'il existe de nombreux travaux sur les effets politiques des médias, on connaît beaucoup moins bien les pratiques d'information politique des Français. Les premiers résultats d'une enquête réalisée par le Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences Po), dans le cadre du projet Mediapolis, permettent d'analyser comment l'Internet modifie nos manières de nous informer.
Arnault Coulet

Eurobaromètre sur l'information européenne : le fossé générationnel des média... - 0 views

  • Pratique minoritaire au sein de la population européenne, la fréquentation des médias sociaux semble en revanche s’être installée comme une pratique commune et solidement ancrée au sein de la jeunesse européenne : 66% des 15-24 ans disent utiliser ces médias au moins une fois par semaine ; 50% des 15-24 ans utilisent les médias sociaux quotidiennement.
Arnault Coulet

Le fonctionnaire n'est pas encore 2.0 - 1 views

  • Médias sociaux et interaction en ligne avec les autorités, ces deux thèmes ne disent rien à de nombreux fonctionnaires.
  • Voilà ce qui ressort d’une enquête réalisée par Indigov auprès de 556 fonctionnaires (néerlandophones), dont les résultats seront présentés aujourd’hui lors de la journée d’étude Ambtenaar 2.0. Les avis sur internet sont univoques chez quasiment tous les fonctionnaires: internet est utile, voire essentiel dans l’exécution de leur travail. Trois quarts d’entre eux ont accès à tous les sites web. Seul 0,5 pour cent n’a pas accès à internet. Un dixième des fonctionnaires éprouve cependant quelques difficultés à maîtriser internet.
  • Beaucoup de fonctionnaires ne recourent pas aux médias sociaux. La plupart connaissent cependant les grands noms dans le domaine (Facebook, Twitter, Netlog, LinkedIn). Mais un fonctionnaire interrogé sur trois n’est pas actif sur les réseaux sociaux et n’y possède pas de compte. Et quand ils y disposent d’un ou de plusieurs compte(s), les fonctionnaires choisissent Facebook (53%), suivi par LinkedIn (31%), Twitter (10%) et Netlog (10%). Plus de 4 fonctionnaires sur 10 requièrent une formation pour utiliser les médias sociaux. Autre point étonnant: plus d’un tiers des participants à l’enquête (35%) estime que les pouvoirs publics doivent dialoguer avec le citoyen par le biais des sites de socialisation. 29 pour cent n’est cependant absolument pas au courant de la présence de son service public sur un réseau social.
Arnault Coulet

Grippe A : nulle en com', l'OMS accuse les nouveaux médias - 0 views

  • La meilleure défense, c'est l'attaque. L'Organisation mondiale de la santé applique cet adage à la lettre dans l'introspection qu'elle a engagée cette semaine, sur la gestion de la grippe A. L'institution onusienne, accusée d'avoir surévalué la gravité de la pandémie, s'en est pris en vrac à « Internet, Twitter, les blogs et e-mails ». Keiji Fukuda, le conseiller spécial pour les grippes, a fait une différence entre les « médias traditionnels » et ceux qui ont diffusé des rumeurs, insistant sur le fait qu'« il est très difficile de corriger les idées erronées » une fois qu'elles circulent sur Internet et dans les réseaux sociaux.
  • Claude Le Pen relève un « certain mépris » de l'OMS pour les nouveaux médias : « Elle les a négligés, s'est cantonnée à une communication institutionnelle, s'est sentie impuissante. Sur le coup, elle a dû se dire que si elle démentait, ça alimenterait les délires, elle a laissé faire et aujourd'hui son aigreur ressort. »
JP Clement

Le rapport 2010 du World e-Parliament - 0 views

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    Le Centre mondial pour les TIC au Parlement a publié son Rapport mondial 2010 sur l'e-Parlement. Ill présente les résultats d'une enquête sur l'adoption des TIC par les parlements et, plus particulièrement, sur leur usage des médias sociaux pour la communication avec le citoyen.
Arnault Coulet

Le flop Cantona : peut-on faire la révolution sur les médias sociaux ?(@benoi... - 0 views

  • Morales vs. Cantona : Dans “The Facebook Effect”‘ David Kirkpatrick raconte la fascinante épopée Facebook d’Oscar Morales. En janvier 2008, scandalisé par l’attitude des Farc, comme de plus en plus de Colombiens, ce il décide de créer une page Facebook, la première, pour protester contre le mouvement guérillero. Il crée sa page tout seul, dans sa chambre, un soir. “C’était comme une thérapie”. Le lendemain, il avait déjà 15000 membres. Un jour plus tard, ils sont 8000. A la fin de la journée, Morales décide de créer un “événement” sur Facebook : une marche de protestation. Elle a lieu un mois plus tard. 10 millions de personnes défilent dans les rues de Bogota. Plus 2 millions dans le monde. L’effet Facebook. Pas une révolution, une seule journée, mais une vraie capacité à mobiliser
  • Si l’on n’a pas encore fait la révolution via les médias sociaux, ils permettent de s’organiser et de capillariser. La campagne d’Obama s’est en partie construite sur l’exploitation des réseaux sociaux en permettant aux militants de recruter parmi ceux de leurs amis qu’ils pouvaient estimer intéressés par la cause et en les aidant à s’organiser entre eux. Néanmoins, le parti conservait le contrôle du message, même si ce dernier pouvait être adapté, personnalisé par les militants pour en faciliter la diffusion..
Arnault Coulet

#regionales Intéressante analyse de @rslnmag : la révolution des contenus est... - 0 views

  • chez RSLNmag.fr, on a l’impression que cette campagne des régionales 2010 marque également une évolution nette sur les sites classiques des partis, hors des dispositifs communautaires. On s’explique : c’est la première fois, nous semble-t-il, que l’on parle autant de contenus, au point que certains sites basculent du champ purement institutionnel, vers un modèle plus proche des sites d’actu ou de commentaire de l’actu.
  • « Nous gérons deux types de contenus différents : des contenus fixes, comme les pages « Adhérez », « Contactez-nous », etc, et des contenus d’actualité », explique Emile Josselin
  • Cette ressemblance avec les sites d’infos va encore un peu plus loin : elle se retrouve également dans les formats éditoriaux adoptés pour traiter l’actu chaude. « Jusqu’à présent, le site servait surtout à mettre en ligne des communiqués de presse. C’est indispensable, mais pas suffisant », poursuit Emile Josselin. La palette dans laquelle l’équipe pioche s’est nettement élargie : chats, déplacements de candidats suivis en live, ou carte : tous ces éléments sont ceux utilisés par les médias en ligne.
  • ...4 more annotations...
  • la « carte des divisions et des erreurs de l’UMP » a, par exemple, été un carton d’audience, au-delà des reprises dans les médias. « Cette page a été vue 26.000 fois. Sur un site d’info classique, ce serait déjà considéré comme un bon score », commente Emile Josselin, ancien journaliste web de 20minutes.fr
  • « C’est vrai que le PS a réalisé un joli coup avec sa carte. Mais on y répondra  … » : à l’UMP, c’est Benoist Apparu, 39 ans, secrétaire d’Etat chargé du Logement et de l’Urbanisme, tête de liste du parti présidentiel dans la Marne, mais également secrétaire national du parti en charge « des communautés numériques », qui répond aux questions sur la stratégie web
  • Benoist Apparu reconnaît bien volontiers que le site lemouvementpopulaire.fr est d’abord « un site vitrine ». Mais, précise-t-il aussitôt, « sur ce site de marque, on veut également permettre l’expression d’un point de vue, pour les internautes : nous proposons donc régulièrement des formats interrogatifs, dans lesquels les internautes peuvent commenter. »
  • Cette différence a une explication très politique, selon le secrétaire d’Etat : « La stratégie internet ne peut pas être la même selon que l’on est dans la majorité ou dans l’opposition, juge-t-il. Quand on est le parti de gouvernement, on est avant tout dans une démarche positive. » Et quand on l’interroge sur le bon score de la carte socialiste, Benoist Apparu s’exclame : « Mais notre lipdub, c’est 1,5 millions de vues ! … »
Rem Palpitt

Twitter et les régionales, entre platitudes et invectives - 0 views

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    Seulement voilà : pas une semaine sans qu'un média ne fasse sa "une" ou ne consacre une émission à la "révolution Twitter" et ses bienfaits. Rares sont donc les candidats à oser dire que cet outil censé être magique ne leur est que de peu d'utilité. Chantal Jouanno a osé. Pour elle, "le message politique ne peut pas passer sur Twitter", qui "relève plus de la sphère personnelle". Et "quand on fait de la politique sur Twitter, ça ne donne pas grand chose de bon". On peut partager cet avis ou non. Force est cependant de constater qu'au-delà de l'effet de mode et de la nécessité "d'y être", les régionales ne se joueront certainement pas sur le réseau de microblogging. Les candidats peuvent se consoler en pensant qu'elles leur auront au moins permis de s'essayer à cet outil, qui pourrait prendre une plus grande ampleur lors de la prochaine campagne, en 2012.
Rem Palpitt

L'Iran ou la guerre des proxies : vers une culture publique de la sécurité in... - 0 views

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    Olivier BLONDEAU, consultant en communication politique, et Laurence ALLARD, maître de conférences en sciences de l'information et de la communication à l'université Lille-III, coauteurs de Devenir média. L'activisme sur Internet entre défection et expérimentation (Éd. Amsterdam, 2007) et chargés de la rubrique de veille « Politique 2.0 » de la Fondation pour l'innovation politique
Rem Palpitt

MediaShift . Local Politicians Use Social Media to Connect with Voters - 1 views

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    Smith's community isn't the only smaller city or town to find itself suffering form a lack of local press. While the New York City mayoral election attracts interest from the New York Times, elsewhere the media landscape has changed drastically, thanks to the shuttering of smaller newspapers that were traditionally the source of local political coverage. In some places, social media is being used to try and replace some of what has been lost in terms of professional reporting.
Arnault Coulet

Rebooting Sweden ? (@thieulin) Comment une jeune bloggeuse suédoise boulevers... - 0 views

  • Les "Swedish Netroots" - c'est ainsi qu'ils se baptisent eux-mêmes - sont très actifs mais ont souvent du mal à percer dans les autres médias. Il y a trois jours, un pallier a toutefois été franchi. Emilie, une jeune bloggeuse, a écrit un billet revenant sur la perte de l'assurance santé de sa mère. En Suède, l'Etat providence est fort et d'importants programmes nationaux couvrent les besoins des personnes ayant perdu leur emploi en raison d'un problème de santé.
  • Jusqu'à ces derniers jours, le blog d'Emilie ne provoquait pas l'attention particulière des internautes et plus généralement des Suédois. Mais quelques heures après ce billet intitulé Sveket (http://klamydiabrevet.blogspot.com/2010/09/sveket.html), tout a changé. En seulement une journée, il a été partagé 20 000 fois sur Facebook. Deux jours plus tard, les quotidiens du soir ont repris cette histoire dans leurs éditions, comme le relate sur dans son billet (http://www.americablog.com/2010/09/how-blog-post-is-changing-swedish.html), le célèbre blogueur américain, John Aravosis.
  • Hier matin, le plus grand titrage du pays, AftonBladet, plaçait cette histoire à la une de son édition.picture.Tout un dispositif digital s'est mis en place avec une page facebook dédiée et une vidéo virale sur Youtube relatant cette histoire.
Arnault Coulet

Nous sommes tous Khaled Said : la plus grande campagne d'activisme en ligne d... - 0 views

  • Révolte sur Facebook La cam­pagne « Nous sommes tous Khaled Said », lan­cée sur Facebook et qui réuni à ce jour pas loin d’un quart de mil­lions de «fans» (lien de la page en arabe), soit près de 10% des uti­li­sa­teurs de Facebook en Egypte, a fait voler en éclat le men­songe gou­ver­ne­men­tal en mon­trant la photo de Khaled après son décès. Mutilé et com­plè­te­ment défi­guré, il était clair qu’il était mort sous la tor­ture (la photo est à décon­seiller aux âmes sen­sibles)
  • L’une des com­po­santes qui a fait le suc­cès de cette cam­pagne d’activisme en ligne a sans nul doute été l’existence d’une adresse email de contact et d’un blog assez com­plet, ras­sem­blant toutes les infor­ma­tions sur l’affaire Khaled Said.
  • des acteurs pré­sents dans les média Egyptiens se sont mobi­li­sés et ont même par­ti­cipé aux « silent stands » qui s’organisaient régu­liè­re­ment sur la page Facebook. Plus effi­cace encore que les flash­mobs, ce mode de mani­fes­ta­tion paci­fique a beau­coup fait par­ler de lui en Egypte. Les «silent stands» avaient lieu simul­ta­né­ment dans plu­sieurs régions égyp­tiennes, et ont réuni de très nom­breux citoyens. La vio­lence employée par la police pour répri­mer les mani­fes­tants n’a fait qu’envenimer les choses.
  • ...2 more annotations...
  • Ayant réa­lisé que la situa­tion était deve­nue incon­trô­lable, le gou­ver­ne­ment a changé de stra­té­gie : ils ont pré­senté une nou­velle ver­sion des faits, affir­mant que Khaled Said se serait fait tuer suite à la conver­sion de ses frères au judaïsme et à leur demande de natu­ra­li­sa­tion amé­ri­caine. Khaled, soupçonné d’être tenté de les rejoindre, aurait donc été assas­siné par des isla­mistes, ce qui, au regard de son tout nou­veau sta­tut de traitre, n’était pas bien grave, fina­le­ment. Par contre, plus ques­tion de toxicomanie. Pour appuyer ses affir­ma­tions, le gou­ver­ne­ment fit cir­cu­ler une photo qui ne fai­sait guère que démon­trer sa faible mai­trise de Photoshop. Elle fut immé­dia­te­ment dénon­cée sur Facebook.
  • Les mili­tants, de leur coté, sont pas­sés à l’étape sui­vante : ils ont demandé à tout le monde d’écrire « Non à la tor­ture, non à l’Etat d’urgence, ce pays est le nôtre : Nous sommes tous Khaled Said », ainsi que d’autre mes­sages reven­di­ca­tifs sur tous les billets de banque qui leur pas­sait dans les mains afin de dif­fu­ser leur mes­sage sur quelque chose dont il est dif­fi­cile d’arrêter la cir­cu­la­tion : l’argent.
Arnault Coulet

L'Internet comme miroir des exclusions (via @internetactu) - 0 views

  • ySpace a été un des premiers site de réseau social1 et le transfert d’une partie de sa population vers Facebook tient pour une part à l’attrait de la nouveauté. Mais Facebook s’est développé d’une façon particulière. Le site était d’abord réservé aux étudiants de Harvard, puis s’est ouvert aux universités de la Ivy LeagueW c’est-à-dire aux universités les plus prestigieuses. Lorsque l’inscription a été ouverte au grand public, le travail effectué par les premiers membres a fait le reste. Dans une communauté, les premiers membres sont très importants, car ils donnent la tonalité de l’ensemble. Les groupes se construisent, au moins a leurs commencement, sur une base communautaire : les nouveaux membres ressemblent aux membres plus anciens.
  • C’est cette homophilie qui a fait de MySpace et de Facebook des espaces sociaux si différents.Le peuplement de départ de Facebook est celui des universités et des grandes écoles c’est à dire des personnes qui pour la plupart sont issues de milieux aisés et instruits. Il s’est fait ensuite a partir des proches de ces étudiants.  Ce peuplement de base a servi d’amorce à la migration des utilisateurs de MySpace vers Facebook. Tous ceux qui se sentaient proches de la population d’origine de Facebook n’ont pas hésité à migrer. Les autres sont restés sur MySpace. Le phénomène est le même que celui qui a vidé les grandes villes des bourgeois et des classes moyennes. MySpace a subi des effets d’ostracisation, tout comme les quartiers de banlieue peuvent être ostracités : on a en fait un lieu peu recommandable, et les médias ont diffusé des histoires de prédateurs sexuels, contribuant ainsi à créer une panique morale qui a encore accentué l’ostracisation.
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