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DREES - Suicide : quels liens avec le travail et le chômage ? Penser la préve... - 0 views

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    En 2016, la France comptabilise près de 9 300 décès par suicide, un chiffre qui s'inscrit à la baisse depuis les années 2000. La moitié de ces décès concerne des personnes en âge de travailler, entre 35 et 64 ans. Ainsi, il se peut que certains de ces suicides soient liés aux conditions de travail des personnes concernées ou à leur vécu d'une situation de chômage. Toutefois, le constat ne peut être que partiellement posé. Le processus suicidaire est en effet un phénomène multifactoriel dans lequel le rôle joué par le travail ou le chômage est difficile à isoler. De plus, le système d'information permettant de répondre à ces questions est perfectible. Centré sur les suicides liés au travail et au chômage, le quatrième rapport de l'Observatoire national du suicide est composé de deux dossiers et de 18 fiches. Ce rapport a été rédigé avant la crise sanitaire liée au Covid-19. Par conséquent, il ne propose pas d'analyse de l'impact psychologique de cette crise ni de ses effets sur les conduites suicidaires. Certains résultats du rapport peuvent néanmoins éclairer la question des effets de cette crise sanitaire sur les travailleurs selon leur situation professionnelle. Le premier dossier revient sur la mise en place de politiques spécifiques de prévention du suicide élaborées ces dernières années et sur l'évolution du cadre législatif de la santé au travail. Malgré ces avancées et tout en rappelant que le travail est protecteur, ce 4ème rapport souligne que certaines conditions de travail et certaines pratiques de management peuvent générer un climat anxiogène pour les travailleurs et créer des risques psycho-sociaux. Même si le lien de causalité avec les conduites suicidaires n'est pas direct, le travail peut ainsi être en cause dans le processus suicidaire. De même, l'impact de la perte d'emploi et l'inactivité forcée occasionnent des formes de souffrances psychiques susceptibles de cond
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Défenseur des droits - Communiqué de presse - Dématérialisation des démarches... - 0 views

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    Saisi de milliers de réclamations sur les difficultés rencontrées par les usagers face à la généralisation de la dématérialisation des démarches administratives, le Défenseur des droits alerte dans un rapport intitulé « Dématérialisation et inégalités d'accès aux services publics » sur les risques et dérives de cette transformation numérique. La dématérialisation offre de nouveaux moyens d'accès aux services publics et permet de simplifier l'accès aux informations et aux documents administratifs pour une majorité d'usagers mais, si les facultés de chacun ne sont pas réellement prises en compte, elle comporte un risque de recul de l'accès aux droits et d'exclusion pour de très nombreux usagers. Selon les chiffres 2018 du Baromètre numérique du CREDOC[1], 89 % de la population est internaute[2]. Toutefois, 36 % des personnes interrogées[3] éprouvent une inquiétude à l'idée d'accomplir la plupart de leurs démarches administratives en ligne en mettant en exergue leur sentiment d'incompétence informatique (notamment vis-à-vis des sites administratifs). Les personnes les plus concernées sont celles qui ne maîtrisent pas l'usage d'internet, ne comprennent pas le langage administratif ou ne parlent pas très bien le français, ou encore celles qui ne disposent pas d'une connexion Internet de qualité, ne sont pas équipées d'ordinateur et de scanner, etc. Dès lors, si toute personne peut, un jour, être confrontée à une difficulté dans l'accès à une démarche administrative en ligne, certains usagers le sont encore davantage comme les personnes âgées, les personnes en situation de précarité, les personnes étrangères, mais aussi les jeunes qui maîtrisent mal les codes de l'administration. Par ailleurs, les personnes en situation de handicap, pour qui certains sites ne sont pas accessibles, les personnes détenues, qui disposent d'un accès limité à internet, et les majeurs protégés
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Défenseur des droits - Dossier de presse - Dématérialisation des démarches ad... - 0 views

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    Saisi de milliers de réclamations sur les difficultés rencontrées par les usagers face à la généralisation de la dématérialisation des démarches administratives, le Défenseur des droits alerte dans un rapport intitulé « Dématérialisation et inégalités d'accès aux services publics » sur les risques et dérives de cette transformation numérique. La dématérialisation offre de nouveaux moyens d'accès aux services publics et permet de simplifier l'accès aux informations et aux documents administratifs pour une majorité d'usagers mais, si les facultés de chacun ne sont pas réellement prises en compte, elle comporte un risque de recul de l'accès aux droits et d'exclusion pour de très nombreux usagers. Selon les chiffres 2018 du Baromètre numérique du CREDOC[1], 89 % de la population est internaute[2]. Toutefois, 36 % des personnes interrogées[3] éprouvent une inquiétude à l'idée d'accomplir la plupart de leurs démarches administratives en ligne en mettant en exergue leur sentiment d'incompétence informatique (notamment vis-à-vis des sites administratifs). Les personnes les plus concernées sont celles qui ne maîtrisent pas l'usage d'internet, ne comprennent pas le langage administratif ou ne parlent pas très bien le français, ou encore celles qui ne disposent pas d'une connexion Internet de qualité, ne sont pas équipées d'ordinateur et de scanner, etc. Dès lors, si toute personne peut, un jour, être confrontée à une difficulté dans l'accès à une démarche administrative en ligne, certains usagers le sont encore davantage comme les personnes âgées, les personnes en situation de précarité, les personnes étrangères, mais aussi les jeunes qui maîtrisent mal les codes de l'administration. Par ailleurs, les personnes en situation de handicap, pour qui certains sites ne sont pas accessibles, les personnes détenues, qui disposent d'un accès limité à internet, et les majeurs protégés
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Défenseur des droits - Rapport - Dématérialisation des démarches administrati... - 1 views

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    Saisi de milliers de réclamations sur les difficultés rencontrées par les usagers face à la généralisation de la dématérialisation des démarches administratives, le Défenseur des droits alerte dans un rapport intitulé « Dématérialisation et inégalités d'accès aux services publics » sur les risques et dérives de cette transformation numérique. La dématérialisation offre de nouveaux moyens d'accès aux services publics et permet de simplifier l'accès aux informations et aux documents administratifs pour une majorité d'usagers mais, si les facultés de chacun ne sont pas réellement prises en compte, elle comporte un risque de recul de l'accès aux droits et d'exclusion pour de très nombreux usagers. Selon les chiffres 2018 du Baromètre numérique du CREDOC[1], 89 % de la population est internaute[2]. Toutefois, 36 % des personnes interrogées[3] éprouvent une inquiétude à l'idée d'accomplir la plupart de leurs démarches administratives en ligne en mettant en exergue leur sentiment d'incompétence informatique (notamment vis-à-vis des sites administratifs). Les personnes les plus concernées sont celles qui ne maîtrisent pas l'usage d'internet, ne comprennent pas le langage administratif ou ne parlent pas très bien le français, ou encore celles qui ne disposent pas d'une connexion Internet de qualité, ne sont pas équipées d'ordinateur et de scanner, etc. Dès lors, si toute personne peut, un jour, être confrontée à une difficulté dans l'accès à une démarche administrative en ligne, certains usagers le sont encore davantage comme les personnes âgées, les personnes en situation de précarité, les personnes étrangères, mais aussi les jeunes qui maîtrisent mal les codes de l'administration. Par ailleurs, les personnes en situation de handicap, pour qui certains sites ne sont pas accessibles, les personnes détenues, qui disposent d'un accès limité à internet, et les majeurs protégés
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Ministère de l'Education nationale - Atlas des risques sociaux d'échec scolai... - 0 views

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    Édition 2016, données 2011 Les jeunes sortants sans diplôme du système éducatif sont très fortement exposés au chômage et au sous-emploi. En cette période de crise, leurs difficultés vont bien au-delà de la période d'insertion. Même si une partie d'entre eux acquiert de façon différée une qualification, leur destinée professionnelle est fortement marquée par l'insécurité de l'emploi ou/et des emplois de mauvaise qualité. De par son approche territoriale, la deuxième édition de l'Atlas que viennent de coéditer le centre associé au Céreq pour la région Normandie - laboratoire Espaces et Sociétés, UMR CNRS ESO, et la Direction de l'évaluation, de la prospective et de la performance (Depp) - ministère de l'Éducation nationale, de l'Enseignement Supérieur et de la Recherche, apporte un éclairage original sur la situation de chaque académie. L'ouvrage décrit finement la situation de chaque académie d'un double point de vue : il analyse et cartographie, à l'échelon cantonal, les facteurs plus ou moins propices à la réussite scolaire et les difficultés qui peuvent conduire à l'abandon précoce des études. La première parution de l'Atlas en 2014 a donné lieu à de nombreux échanges dans les différentes académies et régions. Une forte demande s'est exprimée pour son actualisation et en particulier pour prendre la mesure des effets de la crise économique et sociale. Les données ont été actualisées essentiellement à partir du recensement de 2011. De plus, cette édition est enrichie par des données inédites sur les départements d'Outre-Mer. Pour observer les spécificités de chaque académie et leurs disparités internes en matière de risques sociaux et de décrochage scolaire, des indicateurs de contextes territoriaux combinent sept variables susceptibles d'agir sur l'échec scolaire et l'orientation des élèves : le niveau de revenu des ménages, le chômage et la précarit
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CESE - Agriculture : l'enjeu de la (re)territorialisation de l'alimentation - 0 views

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    "Alors que les filières de production alimentaires sont structurées au niveau national, que le modèle de spécialisation régionale engendre des dysfonctionnements multiples et atteint des limites et que la France importe de plus en plus de produits alimentaires, la question de la (re)territorialisation de l'alimentation revêt une importance cruciale. Jusqu'à présent la territorialisation de l'alimentation a été essentiellement abordée sous l'angle des circuits courts ou de proximité, qui représentent moins de 10 % de la vente de produits alimentaires. Ce projet d'avis vise à identifier, en prenant en compte les enjeux climatiques, environnementaux, sociaux et économiques, quelle peut être l'évolution de notre modèle de production, de transformation, de distribution et de consommation des produits alimentaires. Les enjeux sont divers : couvrir durablement les besoins alimentaires dans les territoires satisfaire l'évolution des régimes alimentaires et des attentes des consommateurs rendre accessible à tous la production locale, au sens de bassins de vie et de terroirs métropolitains et ultramarins, dans tous les circuits de distribution, y compris ceux relevant de la solidarité alimentaire prendre en compte l'alimentation hors domicile, de collectivité ou commerciale.   Une meilleure autonomie et une meilleure qualité sont déterminantes dans l'approche territoriale de l'alimentation qui ne peut être dissociée de la réduction des émissions de gaz à effet de serre, de la sécurité alimentaire, de la lutte contre le gaspillage alimentaire et de la protection de la santé des producteurs, des riverains des lieux de production et des consommateurs. Ce projet d'avis sera élaboré en lien avec le CNA - Conseil National de l'Alimentation. "
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CEPREMAP - Le Bien-être en France : Rapport 2021 - 0 views

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    "Ce deuxième rapport annuel de l'Observatoire du bien-être du CEPREMAP retrace les fluctuations du bien-être des Français au gré des épisodes imposés par la crise sanitaire. Grâce à son baromètre trimestriel en vingt questions, il révèle un tableau en forme de montagnes russes, les périodes de confinement étant de moins en moins bien supportées au fur et à mesure qu'elles se succèdent. L'alternance de resserrement et de relâchement des mesures de distanciation sociale permet de mettre en évidence le poids spécifique des liens sociaux dans le bien-être. Certaines catégories de la population ont à l'évidence payé un plus lourd tribut à la crise sanitaire, les personnels de santé au premier chef, mais aussi les jeunes, enfants et adolescents, que la vie à distance a privés des relations indispensables à leur développement. Au total, si les Français ont affronté la crise sanitaire avec résilience, en retrouvant leur niveau habituel de satisfaction à chaque retour à une vie « normale », lorsqu'ils se retournent sur l'année passée, ils la décrivent comme extrêmement insatisfaisante, témoignant ainsi des épreuves traversées. On lit d'ailleurs ces pics d'insatisfaction dans les sursauts de nostalgie dont témoignent les Français lorsque le baromètre les interroge sur leur époque préférée. En regard de cette analyse des deux dernières années, nous proposons un dossier consacré au bien-être des enfants et des adolescents à l'école. Il montre comment le bien-être et l'estime de soi se forgent au cours de la scolarité, de manière légèrement différente pour les filles et les garçons, selon l'origine sociale des enfants, et en fonction de leurs performances scolaires, notamment en mathématiques. L'expérience de l'école exerce des effets durables tout au long de la vie, ce qui donne des raisons de s'inquiéter des conséquences de la crise sanitaire sur les jeunes générations. Au to
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CGET - Portraits de la France : vers un baromètre au service de la cohésion d... - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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IFOP - Enquête d'opinion auprès des habitants des villes moyennes - 0 views

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    Réalisée à la sortie de cette période de confinement marquée par l'essor du télétravail, l'édition 2020 du Baromètre des Territoires montre que près d'un quart des actifs habitants des grandes villes (de plus de 100 000 habitants) envisagent de déménager de leur logement actuel (soit 23% de l'échantillon concerné). Ce taux atteint même 36% chez les jeunes actifs des grandes agglomérations de moins de 35 ans. 10% des actifs des grandes villes (soit près de 400 000 personnes) ont même tout à fait l'intention de le faire ce qui pourrait se traduire par des mouvements de population conséquents. A la question posée de savoir dans quel type de ville vivre idéalement, les habitants des grandes villes souhaitent habiter en premier lieu en ville moyenne (pour 50% d'entre eux, contre 30 % dans une grande ville, 13% dans une petite ville et seulement 7% dans un territoire rural). De manière générale, ce sondage souligne que la large majorité des Français préfère vivre dans une ville moyenne plutôt que dans une grande métropole (84 % des Français). Ce constat est partagé aussi de manière encore plus forte chez les habitants des villes moyennes (87%), montrant leur fort attachement à leur territoire de vie. Alors que les grandes métropoles ont longtemps bénéficié d'une bonne image auprès des jeunes, il est intéressant de souligner la forte attractivité des villes moyennes auprès des moins de 35 ans qui affirment préférer y vivre plutôt que dans une métropole (82% des Français de moins de 35 ans), ces chiffres pouvant peut être être annonciateurs d'un changement de tendance en matière de dynamique démographique territoriale pour les années qui viennent. Pour l'ensemble des Français interrogés, les villes moyennes sont notamment perçues comme étant les plus aptes à s'adapter aux défis du changement climatique (33%, contre 27% pour les petites villes, 22% pour les territoires ruraux et seulement
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CGET - Projet de baromètre de la cohésion des territoires - 0 views

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    Pour agir sur la cohésion des territoires, l'État et les acteurs locaux doivent avoir une compréhension partagée des enjeux. Lors de la 2e Conférence nationale des territoires, le 14 décembre, a été présentée la première pierre de cette ambition : 16 indicateurs, cinq études et une grande synthèse pour construire, dans les mois à venir, une vision partagée et des priorités d'action. La cohésion des territoires ne se limite pas à un événement à l'agenda politique. C'est aussi une vision, qui fait de la co-construction avec les acteurs territoriaux une condition de réussite. Et une ambition pragmatique : être à la hauteur des enjeux territoriaux et sociétaux qui engagent l'avenir du pays en renforçant son unité. C'est pour répondre à cette ambition que Jean-Benoît Albertini, commissaire général à l'égalité des territoires, et Jean-Luc Rigaut, président de l'Assemblée des communautés de France (AdCF), ont présenté un projet de baromètre. Un diagnostic partagé de la cohésion des territoires C'est tout l'enjeu du baromètre de la cohésion des territoires, établi autour de six enjeux qui participent de la cohésion territoriale : réduction des inégalités, développement soutenable, qualité de vie, capacité de développement, capital social et coopération entre les territoires. C'est pour les caractériser, au sein et entre les territoires, que le CGET - avec l'appui de son Observatoire des territoires - propose de mettre en place un baromètre régulier. Ce projet développera une approche statistique d'observation, sous la forme de fiches thématiques (ordonnées autour des six questions clés, évoquées ci-dessus) afin de contribuer à la construction d'un diagnostic partagé sur l'état de la cohésion du territoire national, les priorités collectives, les stratégies d'action, mais aussi l'identification des moyens et des responsabilités pour mettre en œuvre ces objectifs.
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CESE - Avis - Entre transmettre et s'installer, l'avenir de l'agriculture - 0 views

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    L'avis « Entre transmettre et s'installer, l'avenir de l'agriculture ! » a été présenté le mardi 9 juin 2020 par Bertrand Coly, rapporteur au nom de la Section de l'Agriculture, de la pêche et de l'alimentation présidée par Etienne Gangneron. L'avenir de l'agriculture repose sur les femmes et les hommes qui la compose, chefs d'exploitation mais aussi salariés. Or, aujourd'hui dans notre pays, le nombre d'actifs diminue très rapidement car les installations sont loin de compenser les cessations d'activités. De plus, au regard de la pyramide des âges et des départs en retraite massifs prévus dans les années à venir, si rien n'est fait, cette tendance devrait se renforcer en entraînant la disparition d'environ un quart des exploitations qui subsistent encore. C'est pourquoi, maintenir et si possible augmenter le nombre d'agricultrices et d'agriculteurs constitue un défi essentiel à relever. En effet, leur présence et leur travail dans l'ensemble des territoires sont indispensables pour garantir la sécurité alimentaire, assurer le dynamisme des zones rurales et réussir les transitions écologique, climatique, énergétique, économique et sociale qui s'imposent. Paradoxalement, malgré la chute du nombre de fermes constatée depuis des décennies et en dépit de ses contraintes potentielles, le métier d'agriculteur attire aujourd'hui de plus en plus de jeunes et de moins jeunes aux profils diversifiés, pour beaucoup non issus du milieu agricole. Malheureusement, une proportion importante d'entre eux ne parvient pas à aller au bout de la démarche pour différentes raisons : projets insuffisamment aboutis ou mal conçus, difficultés de trouver des terres et une ferme disponibles, problèmes d'accès aux financements nécessaires, lourdeur et complexité du parcours d'accompagnement… Parallèlement, les paysannes et les paysans qui prennent leur retraite rencontrent eux-aussi des difficultés pour t
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CESE - Synthèse - Entre transmettre et s'installer, l'avenir de l'agriculture - 0 views

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    L'avis « Entre transmettre et s'installer, l'avenir de l'agriculture ! » a été présenté le mardi 9 juin 2020 par Bertrand Coly, rapporteur au nom de la Section de l'Agriculture, de la pêche et de l'alimentation présidée par Etienne Gangneron. L'avenir de l'agriculture repose sur les femmes et les hommes qui la compose, chefs d'exploitation mais aussi salariés. Or, aujourd'hui dans notre pays, le nombre d'actifs diminue très rapidement car les installations sont loin de compenser les cessations d'activités. De plus, au regard de la pyramide des âges et des départs en retraite massifs prévus dans les années à venir, si rien n'est fait, cette tendance devrait se renforcer en entraînant la disparition d'environ un quart des exploitations qui subsistent encore. C'est pourquoi, maintenir et si possible augmenter le nombre d'agricultrices et d'agriculteurs constitue un défi essentiel à relever. En effet, leur présence et leur travail dans l'ensemble des territoires sont indispensables pour garantir la sécurité alimentaire, assurer le dynamisme des zones rurales et réussir les transitions écologique, climatique, énergétique, économique et sociale qui s'imposent. Paradoxalement, malgré la chute du nombre de fermes constatée depuis des décennies et en dépit de ses contraintes potentielles, le métier d'agriculteur attire aujourd'hui de plus en plus de jeunes et de moins jeunes aux profils diversifiés, pour beaucoup non issus du milieu agricole. Malheureusement, une proportion importante d'entre eux ne parvient pas à aller au bout de la démarche pour différentes raisons : projets insuffisamment aboutis ou mal conçus, difficultés de trouver des terres et une ferme disponibles, problèmes d'accès aux financements nécessaires, lourdeur et complexité du parcours d'accompagnement… Parallèlement, les paysannes et les paysans qui prennent leur retraite rencontrent eux-aussi des difficultés pour t
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Moulins - Recommandations pour la mise en oeuvre des relais paroissiaux de pr... - 0 views

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    Au mois de mars dernier, une consultation sur la mise en place des Relais Paroissiaux de Proximité a été adressée aux membres des Equipes d'Animation Paroissiale, ainsi qu'aux curés et vicaires. Un temps d'échange a eu lieu lors du Conseil Presbytéral du jeudi 28 mai. Grâce aux expressions des fidèles, des diacres et des prêtres concernés par ce projet, j'ai pu élaborer ces recommandations de mise en œuvre des Relais Paroissiaux de Proximité. J'espère qu'elles aideront curés et EAP à prendre conscience de la nécessité d'une proximité paroissiale retrouvée au niveau de nos villages et quartiers, à mesurer également que la proximité est l'affaire de tous, prêtres-diacres-consacrés et laïcs. A chaque paroisse de s'emparer de ces recommandations et de regarder comment faire naître ces Relais de proximité, à son rythme, avec ses moyens… Je connais nos pauvretés mais également notre désir fort que la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ se répande « au plus près de tous » ! Je voudrais, pour conclure cette introduction, vous laisser ces quelques lignes de mon homélie de la messe chrismale 2020 qui résume bien l'enjeu missionnaire des relais Paroissiaux de Proximité : « En ce temps de crise, il y a urgence à discerner les appels que le Seigneur adresse à son Eglise ; il y a urgence à écouter les questions et les attentes, il y a urgence à réviser et à alléger nos organisations, nos pratiques et à arrêter sans doute celles qui ne répondent plus aux exigences de la mission… Urgence en tout cas à retrouver les chemins de la mission hors de nos maisons, de nos salles de réunion et de nos bureaux et de nos habitudes aussi, afin « de consoler tous ceux qui sont en deuil, (…), de mettre le diadème sur leur tête au lieu de la cendre, l'huile de joie au lieu du deuil, un habit de fête au lieu d'un esprit abattu. » Dans cette certitude que, par la mort et la résurrection du Christ, marqué d
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IFOP - Territoires ruraux : Perceptions et réalités de vie - 1 views

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    L'étude « Territoires ruraux : perceptions et réalités de vie » a été réalisée par l'Ifop pour Familles rurales auprès de deux échantillons représentatifs, l'un de l'ensemble des Français, l'autre de l'ensemble des ruraux. Cette enquête révèle un décalage de perceptions entre une opinion qui associe d'abord la ruralité à des difficultés socio-économiques (46% des citations des Français) et des ruraux qui, dans leur quasi-totalité, se disent satisfaits de vivre dans le monde rural et l'associent spontanément à une qualité de vie remarquable (62% des citations des ruraux). Malgré cette qualité de vie, les ruraux expriment néanmoins un sentiment d'abandon lié à un recul des services publics et à l'origine d'un pessimisme marqué vis-à-vis de l'avenir (56% des ruraux sont pessimistes au sujet de leur avenir contre 49% des Français). L'étude révèle par ailleurs une réelle attractivité des territoires ruraux qui apparaissent en phase avec les aspirations des Français pour une meilleure qualité de vie. Pour 81% des Français vivre à la campagne représente la vie idéale, qu'ils y travaillent ou non. Seuls 19% aspirent à une vie totalement urbaine (comme lieu de vie et de travail). 60% des Français déclarent que s'ils devaient créer une entreprise, ils souhaiteraient le faire en milieu rural. Mais cette attractivité est conditionnée par la présence de services de proximité et de solutions de mobilités. Aux yeux des Français, l'installation de nouveaux habitants en milieu rural est avant tout conditionnée par la présence de services publics (70% des citations), suivie d'une offre d'emplois et de transports suffisante (62% et 54% des citations).
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BVA - Sondages : Présidentielle 2017 : Intentions de vote auprès des agricult... - 0 views

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    "* Si traditionnellement, les agriculteurs français s'avéraient plutôt réfractaires au FN et majoritairement de droite, l'analyse de leurs intentions de vote à 10 mois de l'élection présidentielle de 2017 vient remettre en cause cet ordre établi. * A l'instar de ce que l'on observe pour l'ensemble de la population française, la tentation du vote FN s'affirme chez les agriculteurs. Quel que soit le scénario envisagé, Marine Le Pen recueille au moins 20% des intentions de vote. Le score de de la candidate du FN s'avère cependant inférieur à celui observé pour l'ensemble des Français. * Le choix du candidat de droite va s'avérer déterminant. Avec 58% d'intentions de vote, Alain Juppé est le candidat de droite le plus en mesure de mobiliser cette catégorie socioprofessionnelle. * Mais il n'est pas le seul car l'ancien ministre de l'agriculture Bruno Lemaire a laissé une très bonne image dans l'esprit des agriculteurs. Et il demeure un candidat crédible aux yeux de ces derniers qui le créditent de 54% d'intentions de vote s'il s'avérait être le candidat des Républicains, et ce en dépit de la présence de François Bayrou dans le scénario testé. * En revanche, en cas de candidature de Nicolas Sarkozy, l'ancien chef de l'Etat apparaît plutôt désavoué par les agriculteurs et ne recueille que 31% des intentions de vote (contre 23%auprès de l'ensemble des Français). * François Hollande sort totalement affaibli de son quinquennat aux yeux des agriculteurs. Le président sortant obtient ainsi seulement 4% d'intentions de vote et ce, quel que soit le scénario envisagé pour le candidat de droite. "
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AN ~ Questions au gouvernement - Conditions de vie des personnes âgées en mil... - 0 views

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    "Madame la secrétaire d'État chargée des personnes âgées et de l'autonomie, je souhaite vous interroger à propos de la démographie médicale et me faire ici le relais des inquiétudes de la population et des élus. Ce problème, qui, naguère, concernait essentiellement le monde rural, gagne désormais les villes petites et moyennes. Je prendrai des exemples très concrets. Loudéac et sa périphérie immédiate, en quelques mois, ont perdu dix médecins pour une arrivée et, à Lamballe, nous constatons le départ concomitant de six médecins. À Loudéac, 10 000 patients vont se retrouver sans médecin généraliste, ce qui est contraire aux règles de la Sécurité sociale. Il en sera de même à Lamballe. Que faire ? Installer des maisons médicales ? Il en existe une à Loudéac, qui fonctionne bien et est appréciée des professionnels. C'est certainement une condition nécessaire mais pas une condition suffisante pour accueillir des médecins. J'ai invité dans ma circonscription des représentants de l'Agence régionale de santé, l'ARS, que je remercie de s'être prêtés à l'exercice d'une réunion publique. Il n'empêche, au terme de celle-ci, chacun a pu constater, hélas, l'impuissance de l'État. Alors, que font les élus ? Ils sollicitent des chasseurs de têtes, qui se font grassement payer pour aller rechercher des médecins hors de France. Déjà, en Côtes-d'Armor, il faut le savoir, plus de 50 % des médecins qui s'inscrivent sur le tableau de l'Ordre n'ont pas obtenu leur diplôme en France. Cette situation, à elle seule, devient inquiétante. On assiste par ailleurs à une forme de mercato très désagréable : des villes moyennes vont chercher dans les petites villes voisines les médecins dont elles ont besoin. Tout cela crée des tensions tout à fait inutiles et contre-productives, chacun le comprendra. Je n'attends pas du Gouvernement un diagnostic - il est fait et il est inquiétant. Je n
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Momagri - Quelle PAC pour quelle Agriculture ? - 0 views

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    "Alors que s'ouvrent les discussions sur l'avenir de la Politique Agricole Commune (PAC), l'Académie d'Agriculture de France vient de rendre public un rapport, que nous reproduisons ci-après1, traitant des futures orientations souhaitables en matière agricole. Signé de ses deux rapporteurs Gilles Bazin et Michel Jacquot et co-signés par une trentaine d'académiciens2, ce rapport dresse le bilan d'une PAC à bout de souffle et propose une remise en cause de la doxa défendue par la Commission européenne depuis le début des années 2000. La critique porte à la fois sur les instruments mais aussi sur les erreurs stratégiques de l'Europe agricole : la PAC actuelle utilise la majorité de ses aides en paiements directs aux effets pervers car découplés et ainsi déconnectés des réalités économiques ; l'Europe finance une agriculture qui nourrit essentiellement son marché intérieur, premier marché mondial, et dont elle oublie de tirer profit pour accroitre sa puissance politique. Pour ces personnalités de l'Académie d'agriculture de France, « la construction d'une nouvelle politique agricole pour l'Europe constitue une ambition indispensable » et elle « plaide pour une PAC renouvelée qui intègre gestion des marchés, prévention des risques et protection de l'environnement et qui participe à la cohérence de l'ensemble des politiques européennes ». Les auteurs mettent en avant « l'ouverture des marchés européens à la concurrence mondiale sans filets de sécurité efficace, [qui] se traduit par la transmission directe de la volatilité des prix et une instabilité croissante des revenus agricoles que les aides découplées sont incapables de réguler ». Face à cela, plusieurs objectifs sont mis en avant : « La stabilisation des marchés […] et la réduction des disparités de revenus », ainsi que la légitimation des aides agricoles auprès des consommateurs et citoyens européens. Des mesures sont propo
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Association des petites villes de France - Manifeste 2017-2022 : Il est venu ... - 0 views

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    L'Association des petites villes de France que préside Olivier Dussopt, Député de l'Ardèche, Maire d'Annonay, vient de présenter son Manifeste à l'occasion de l'élection présidentielle qu'elle adressera à l'ensemble des candidats à cette élection. Ce manifeste intitulé « Il est venu le temps des collectivités à taille humaine » part d'un constat largement partagé : le quinquennat qui s'achève s'est principalement concentré sur les métropoles qui ont capté l'essentiel de la richesse économique et des créations d'emplois, tandis qu'une large partie du territoire constitué des villes petites et moyennes continuaient à décrocher. La période qui s'ouvre doit être l'occasion d'une attention prioritaire et soutenue à cette partie du territoire. Proposition phare de l'APVF, l'instauration du « 1% Métropoles » qui permettrait à celles-ci de contribuer à des projets structurants dans des villes petites et moyennes situées dans des bassins de vie qui les entourent. Cettes mesure, au demeurant modeste, symboliserait la volonté des métropoles de travailler avec le reste du territoire et contribuerait à la solidarité entre territoires. Concernant l'offre de soins et l'aggravation des deserts médicaux, défi majeur de la période qui s'ouvre, l'APVF propose la création de « Territoires prioritaires de santé » et prône la régulation de l'installation des médecins libéraux dans les zones surdotées. Enfin, concernant les moyens financiers des collectivités locales, l'APVF demande l'arrêt de la baisse des dotations, de façon à disposer de la visibilité nécessaire dans les années qui viennent pour programmer leurs investissements et contribuer au soutien de l'économie nationale.
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Observatoire des territoires - Regards sur les territoires : Population, cond... - 4 views

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    Pierre Mirabaud, président du conseil d'orientation de l'Observatoire des territoires (OT) du CGET, a présenté, le 18 mai dernier, le rapport 2017 aux journalistes lors d'une conférence de presse, au CGET. Hugo Bevort, directeur des Stratégies territoriales, et Benoît de Lapasse, chef du bureau de l'OT, ont mis en avant les principaux enseignements du rapport. À travers des fiches thématiques sur le logement, l'éducation ou encore les inégalités de revenus, le rapport permet de dépasser des idées réductrices comme celle de la fracture territoriale. L'édition 2017 du rapport propose ainsi un panorama des territoires, de leurs atouts et de leurs fragilités en six fiches thématiques : - les dynamiques de population ; - le vieillissement de la population et ses enjeux ; - les inégalités de revenus ; - le parc de logements ; - éducation et enseignement supérieur, approches territoriales ; - dynamiques de l'emploi transfrontalier en France et en Europe. Cet ensemble d'analyses dessine un portrait de la France et souligne la diversité des dynamiques territoriales. Au-delà de l'idée de fracture territoriale qui opposerait des territoires « gagnants » aux « perdants », des « centres » à des « périphéries », le rapport propose deux grilles de lecture de la France : la première identifie quatre ensembles régionaux : façade atlantique et méditerranéenne, Nord-Est et centre, Île-de-France et outre-mer ; la seconde rassemble les grands types d'espaces (métropoles, villes moyennes, espaces périurbains et ruraux).
Veille & Documentation

Fédération des agences d'urbanisme - Métroscope : 50 indicateurs pour les mét... - 0 views

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    Créées pour répondre à la montée en puissance du « fait métropolitain », la France compte début 2017 quinze métropoles au sens institutionnel du terme, quinze métropoles qui se caractérisent par une grande diversité de configurations, d'atouts territoriaux comme de gouvernance, dont trois métropoles de statut particulier, celles d'Aix-Marseille, de Lyon et du Grand Paris. Dans le cadre du Pacte État Métropole signé le 6 juillet 2016, la Fédération des agences d'urbanisme (FNAU), France Urbaine et l'Assemblée des communautés de France (AdCF), associées au Commissariat général à l'Égalité des Territoires (CGET) ont souhaité initier une démarche de connaissance et d'observation en réseau des métropoles françaises. (…) Cette dynamique a abouti à la construction collective d'indicateurs originaux à l'échelle nationale, appuyés sur des statistiques nationales - notamment de l'INSEE - ou de données collectés sur les territoires. Mais surtout la démarche se caractérise par l'analyse partagée des indicateurs entre les acteurs de l'observation. Cette publication s'attache ainsi à la mise en perspective d'une cinquantaine d'indicateurs qui rendent compte des dynamiques métropolitaines, de la qualité de vie et de la cohésion sociale, de l'attractivité et du rayonnement des quinze premières métropoles françaises, en associant analyses, cartographies, data-visualisation et zooms locaux. Refusant d'établir un classement, l'enjeu est de permettre aux acteurs locaux comme nationaux, de situer la spécificité de chaque métropole dans le contexte national, mais aussi de saisir les tendances communes et les différenciations à l'œuvre. L'objectif est de pouvoir inscrire cette connaissance dans le temps, de l'élargir aux six nouvelles métropoles, à de nouvelles problématiques ainsi qu'à une inscription dans un contexte élargi européen. Métroscope donne à voir et à comprendre l
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