En vue de l'expérimentation MesInfos et les dispositifs qui seront mis en place pour stimuler la ré-utilisation de données personnelles, il est utile de s'inspirer de l'expérience de l'Open Data. En l'occurrence ici, Simon Chignard distille quelques conseils malicieux pour à la fois se différencier et ne rien oublier du potentiel pouvant être exploité.
Aujourd'hui, l'administration Obama a lancé officiellement la communauté des Smart Disclosure, sur Consumer.Data.gov, une étape importante pour redonner du pouvoir aux américains grâce aux données et outils pour faire des choix plus informés sur le marché.
Anne de Coninck revient sur la loi Alur sensée permettre de rééquilibrer les relations entre copropriétaires et syndics professionnels si décriés... Le principal grief envers les syndics : l'opacité et l'arbitraire ! Si les sanctions pour faute de gestion existent dans la loi, elles nécessitent des procédures longues et complexes pour les propriétaires. Ce dont on aurait besoin, faciliter la répression des abus... Et surtout mettre un peu de transparence. Un compte bancaire par immeuble c'est bien... Mais l'accès ouvert aux prestations serait certainement la meilleure des garanties. A quand un Open Data des pratiques des syndics ?
Les 2 gourous (du Web et de la Data) pointent le fait que, sans conteste, la révolution de l'Open Data issue des données publiques infusera tôt ou tard le champ des données personnelles partagées.
(.pdf, article du Times)