Les magistrats européens, qui étaient appelés à interpréter la législation européenne existante, devaient particulièrement se prononcer sur deux aspects du dossier, d'abord « sur l'emploi de mots clés correspondant à des marques d'autrui dans le cadre d'un service de référencement sur internet », ensuite « sur la responsabilité du prestataire du service de référencement ».
Sur la première question, la CJUE a estimé que le moteur de recherche n'avait pas enfreint les lois
Sur la deuxième question, celle de la responsabilité de Google, la juridiction européenne, qui s'appuie sur les directives européennes à propose de la responsabilité des hébergeurs, renvoie au droit national
LVMH a obtenu gain de cause contre eBay en France en février dernier dans une affaire similaire de mots clés, tandis qu'elle avait donné raison au site de ventes aux enchères face à L'Oréal en Belgique et en Grande-Bretagne. Aux Etats-Unis, huit procès sur les mêmes sujets sont en cours contre Google.
Alors comment les internautes ont-ils eu connaissance de ces espaces où il leur est permis de communiquer leurs avis ? Essentiellement par Internet et en mode push en fait.
Autrement dit tout d'abord grâce à l'e-mail (44 %), puis au travers de la publicité en ligne (23 %) ou encore par leurs propres recherches sur le Web (12 %). Dans 14 % des cas, les gens se passent le mot via le bouche à orielle.
L’e-CRM instaure une relation moins agressive entre les marques et les clients,
puisqu’il permet de faire tester et de faire évoluer le produit par les
consommateurs dans le but de le personnaliser.
L’e-CRM consiste à améliorer la fidélisation autour de trois piliers : la
personnalisation de la relation client, élément de base du marketing
relationnel, la conversation, via le social CRM, et l'échange entre marque et
consommateurs
Il faut se rendre là où les gens conversent (LinkedIn, Viadeo, flux RSS…).
Les équipes marketing doivent veiller à la pertinence des mots pour choisir les
termes adaptés à la marque. Elles doivent adapter, aux réseaux sociaux, le
discours diffusé sur les autres canaux en choisissant un vocabulaire ciblé
"Jusqu'où un site media peut-il déporter ses contenus?" une tribune de Clément Courvoisier : La puissance d'une marque media ne se définit pas par son support mais son contenu": la ligne éditoriale, la richesse de l'information ou l'éclairage apporté [...]
Grâce à des partenariats avec les opérateurs mobiles à travers le monde, un touriste n’aura pas à utiliser sa 3G surtaxée
La vitesse de surf peut être augmentée pour les clients de partenaires mondiaux avec Nintendo ou Skype. Des partenariats avec des entreprises locales vont également être développés.
une inscription est nécessaire sur le site de Gowex. Son numéro de carte d’identité et son numéro de téléphone sont demandés
l’identifiant et le mot de passe pour y accéder sont envoyés par mail ou par SMS
Lors de la détection d’un réseau « Gowex Free Wifi », l’internaute est redirigé vers le site mobile ou son application
Gowex se finance grâce à des relations établies entre les mairies, les opérateurs mobiles ou encore des marques
Des messages peuvent être envoyés sur les mobiles dans un périmètre où pourrait avoir lieu un événemenent organisé par la ville
Avec la possibilité de géolocalisation des mobiles, les marques peuvent aussi mieux cibler leur public et leurs publicités
Ces annonces apparaissent uniquement sur l’application
proposer des promotions en fonction du lieu où se trouve le mobinaute
Source : Web&tech
Date : 26/06
Du free wifi dans les transports parisiens => bonne avancée
Une méthode d'identification avec n° d'ID et psw => retour en arrière
De la pub ciblée => ok, dans l'application du fournisseur => encore mieux pour l'utilisateur (pas de push, enfin pour le moment ;)
les leaders (le top 100) accusent un décalage avec une croissance de “seulement”
4,9 %.
l’alimentaire qui montre le plus nettement des signes de
faiblesse
il se retrouve au quatrième rang et marque
un coup d’arrêt (-4,1 %)
Dans le top ten des annonceurs, Renault
(-14,2 %), Orange (-10,7 %), SFR (-13,6 %) ou encore
Procter & Gamble et Unilever (-10,1 % et -7,6 %
respectivement) sont aussi en décalage par rapport à l’évolution globale du
marché qui reste positive
se distingue en accentuant sa pression publicitaire
de même que la mode (+29,4 %)
la banque
Le nombre d’annonceurs reste stable avec 38 038 entreprises actives
en progression de +0,2 %.
la télévision conforte son leadership en cumulant 9,4 milliards d’euros
d’investissements plurimédia (+6 %) mais surtout grâce aux chaînes de la
TNT
La presse connaît une année globalement positive (à 7,67 milliards d’euros, soit
une croissance de 3,9%), avec des nuances selon les segments (+24,3 % pour
les gratuits d’information, +5,4 % pour la presse magazine soutenue par le
lancement de nouvelles formules)
Internet poursuit sa croissance mais est devenu un secteur “mature”. Il
progresse de 7,6 % à 3,48 milliards d’euros
Le marketing doit vivre sa révolution copernicienne : la marque n’est plus le soleil autour duquel doivent tourner les consommateurs enchaînés par les mass media. C’est désormais le client, voire la communauté de clients, qui est au centre. L’avenir appartient aux marques qui seront assez ouvertes, généreuses et transparentes pour dialoguer réellement avec le client.