Ils incluent également des technologies “rich media”, qui permettent aux
annonceurs de personnaliser leur publicité en fonction des profils des
visiteurs, de leurs centres d’intérêt, de leurs intentions d’achat, etc.
La complexité réside dans le fait de collecter suffisamment d’informations pour
livrer une publicité pertinente, mais pas trop, ce qui pourrait être interprété
comme une intrusion dans la vie privée.
le fait que toutes les publicités n’ont pas pour vocation de générer des ventes
directes
Les annonceurs sont donc également à la recherche de métriques plus
qualitatives, concrètes et tangibles : temps passé sur la publicité, taux
d’interaction, temps d’extension, nombre de vues, liens externes, etc.
Selon un récent rapport de Forrester Research, les annonceurs dépenseront en
effet en 2016 le même budget sur le marketing interactif que leur budget
télévision actuel
les publicités interactives ne représentaient jusqu’à très récemment qu’une
petite part de la publicité en ligne, elles ont augmenté de 66% l’année dernière
et devraient rapidement atteindre 50% du marché, avec l’utilisation du HTML5 et
des Smartphones
Même si internet a un pouvoir d'influence dix fois plus élevé que les magazines papier dans la décision d'achat du consommateur, ces derniers captent deux fois plus de budgets publicitaires. Pourquoi les marques continuent-elles de favoriser les médias les moins influents? Dans cet article, je vous propose d'expliquer ce paradoxe.
«Traverser une crise, c'est un peu comme se raser à l'eau froide : les coupures sont inévitables», explique l'agence CB Grey, qui lance un site sur la communication en période de crise (couperoupascouper.fr).
Le lancement du site s'accompagne d'un film viral de 35 secondes mettant en scène trois annonceurs se vantant d'avoir coupé leurs budgets médias.
La crise économique est là, l'année 2009 risque d'être rigoureuse au niveau des investissements publicitaires notamment et Google n'échappe pas à la règle de la récession, annonçant depuis quelques jours un train de mesures allant dans le sens d'une restriction de ses budgets et de ses dépenses pour les mois qui viennent...
Les liens sponsorisés sont devenus un outil de communication très prisés des entreprises, notamment des PME. Mais cet engouement s'accompagne de prix toujours plus élevés. Comment faire pour limiter son budget de campagne, sans perdre en efficacité ? Au-delà de l'optimisation classique, voici 5 conseils pour faire mieux ou aussi bien sans dépenser plus
Interview vid�o de J�r�me Toucheboeuf, fondateur associ� de l'agence FullSIX : 'Prendre la main sur la crise'. � l'heure des coupes sombres dans les budgets de marketing, J�r�me Toucheboeuf fondateur associ� de l'agence FullSIX, revient sur les atouts majeurs des agences de marketing services dans ce contexte incertain o�, plus que jamais, le ROI est roi.
Crise financière, brutal ralentissement économique, baisse de la consommation des ménages : depuis quelques semaines, les signaux inquiétants se multiplient pour les entreprises. Face à des lendemains qui s'annoncent difficiles, celles-ci sont contraintes de passer au crible leurs projets d'investissements. En particulier, la publicité et le marketing, premiers budgets à être mis sur la sellette lorsque la conjoncture s'obscurcit...
@Kimind : Vers la fin du débat, elle indique qu'elle va soutenir les entreprises travaillant dans le Cloud avec une partie des 15% du budget du grand emprunt alloué au numérique : "Je défends aussi l'idée que, dans la partie numérique du grand emprunt, puissent figurer des investissements dans le « cloud computing », c'est-à-dire dans les services qui peuvent être partagés entre des PME qui n'ont pas les moyens de se payer ces outils informatiques"
Merci de l'info, c'est une bonne nouvelle :) Par contre je trouve étrange la définition donnée "dans les services qui peuvent être partagés entre des PME qui n'ont pas les moyens de se payer ces outils informatiques" car les bénéfices du cloud computing ne résident pas dans le fait de ne pas pouvoir se payer ces outils on-site. C'est un véritable changement de paradigme, permettant également l'émergence de nouvelles fonctionnalités impossibles sur des logiciels classiques.
Dès le départ, le cloud exonère l'entreprise d'un investissement (parfois lourd) en achat de licences et de matériels :
lissage des coûts et par la visibilité de la dépense sur le long terme
Plutôt que d'investir dans des immobilisations (CAPEX), l'entreprise concentre ses efforts sur ses dépenses opérationnelles (OPEX). L'imputation de l'informatique en OPEX libère des lignes de budget pour des investissements plus centrés sur le coeur de métier.
La facturation à l'usage liée au cloud a l'avantage de la souplesse.
disposer ainsi d'une configuration sur mesure, à tout moment.
facilité et la rapidité d'accès aux informations de l'entreprise.
Le cloud se présente également comme une solution plus écologique que le modèle traditionnel, en assurant des économies sur la consommation d'énergie
l'entreprise utilisatrice bénéficie des ressources informatiques de l'éditeur et de l'hébergeur, qui assurent la mise en service, le paramétrage, la sécurisation, la maintenance et l'évolution des logiciels
la sécurité apparaît comme l'un des plus essentiels mais aussi des plus délicats
toutes ne disposent pas de moyens suffisants pour sécuriser leurs données (sauvegardes, infrastructures redondantes, surveillance, tests réguliers de restauration… etc.)
Dans ce cas, l'hébergement par un professionnel s'avère une solution intéressante : il permet une meilleure sécurisation des serveurs et des données de l'entreprise. En cas de sinistre ou de catastrophe (incendie, inondation…), les procédures de redémarrage en mode dégradé sont bien mieux prises en charge par des infrastructures prévues, comme pour les datacenters.
La connectivité réseau, sur laquelle repose l'accès aux applications, devient ainsi cruciale en mode cloud
es entreprises qui craignent une perte de leur confidentialité et représente donc un frein majeur pour l'adoption du cloud.
l'éditeur cloud proposera un niveau de sécurité plus élevé que ce que l'entreprise est capable de fournir avec ses propres moyens. Il est donc important que l'entreprise évalue finement le niveau de sécurité et les garanties dont elle a réellement besoin afin de bien comprendre les différents offres cloud
La relation de confiance avec l'éditeur jouera également ici un rôle capital.
Les clauses des contrats de services cloud concernent principalement la disponibilité, la sécurité, la confidentialité et le support.
A noter qu'en matière de conformité règlementaire, c'est bien l'entreprise cliente qui en reste juridiquement responsable, le fournisseur agissant en tant que sous-traitant...
Egalement à surveiller : les engagements de disponibilité, la fréquence des sauvegardes, ainsi que le rôle respectif des différents acteurs, dont le nombre oscille entre un et quatre (par exemple : éditeur, hébergeur, intégrateur et opérateur réseau).
En diversifiant leurs activités, notamment en utilisant le tchat on line, les
call-centers sont devenus des « contacts centers »
Aux États-Unis, nous observons toutefois un déclin du marketing téléphonique du
fait de l’opt-in et des listes rouges.
Les entreprises américaines ont adapté leur budget, leurs équipes et leur
organisation tout entière pour s’adapter au nouvel écosystème des réseaux
sociaux
pour établir une présence sur les médias sociaux nécessite aussi à fournir du
contenu pertinent aux membres : informations, conseils, coupons, forum pour
échanger des informations
En revanche, vouloir mesurer le ROI des médias sociaux comme nous ne le faisons
sur les autres canaux n’est pas approprié
Dans l’étude « Harnessing a game-changing asset » de The Economist
Intelligence Unit, publiée en septembre 2011, on constate que les
entreprises, qui utilisent intelligemment leurs données, voient leur croissance
augmenter de 5 à 6 % en moyenne
Les Européens vont se serrer la ceinture pour les fêtes de fin d'année, prévoyant d'offrir des cadeaux peu onéreux et à moins de personnes. Quant aux plaisirs de la table, puddings, dindes et foie gras risquent de provenir des magasins "discount".