Group items tagged

En la fête de saint Jean XXIII, dimanche 11 octobre 2020, Mgr Yves Le Saux s'est adressé de manière officielle aux chrétiens de l'Eglise catholique de la Sarthe en leur donnant une lettre pastorale intitulée « Témoins de l'Espérance. » Mgr Le Saux en a déjà publié deux depuis le début de son épiscopat (25 janvier 2009) : une en 2010 intitulée « Je vous donnerai un avenir, une espérance » et une autre en 2013 « Que votre bonté soit connue de tous les hommes ». Pourquoi une lettre pastorale aujourd'hui ? « J'ai souhaité revenir sur la mise en œuvre du synode qui posait la question de l'avenir des paroisses et aussi m'arrêter sur l'épidémie que nous connaissons. Elle nous interroge sur notre vulnérabilité, la nécessité d'une proximité, d'une fraternité locale. De plus dans un monde tenté par une inquiétude terrible face à l'avenir, je voudrais inviter les baptisés à prendre conscience qu'ils sont appelés autour d'eux, dans leur quartier, à porter l'Espérance chrétienne. Le chrétien regarde le monde et ses situations à partir de la mort et de la résurrection du Christ ! Cette lettre pastorale est là pour encourager et mobiliser tous les baptisés à l'exigence de la vie chrétienne. »

"Don Paul Préaux, modérateur général de la Communauté Saint-Martin d'Évron (Mayenne), vient de publier un livre où il évoque notamment l'avenir de l'Eglise." [RDP du 23 octobre 2020]

"Dieu ne se lasse pas de nous aimer ! C'est le message que nous relaie cette année encore la fête de Noël. Ce message est une bonne nouvelle pour tous les hommes : Dieu vient à notre rencontre dans la simplicité d'un visage d'enfant. Il ne vient pas à nous à la manière des grands, des puissants de ce monde, ceux qui dominent et qui écrasent. Il vient dans la fragilité d'un tout-petit pour désarmer nos instincts de puissance. Dans un monde traversé par la violence, il offre sa douceur et sa paix. Il vient redonner courage à ceux qui ne trouvent plus de sens à leur vie et ont perdu tout espoir en l'avenir. Sa lumière veut resplendir dans l'obscurité de nos vies marquées par la souffrance, la maladie, le deuil."

"Noël, un mot qui renvoie chacun à un imaginaire paisible et joyeux. Noël, un temps où les crèches illuminent nos rues, nos maisons, nos églises... Noël, l'évocation d'une naissance. « Je vous annonce une bonne nouvelle une grande joie pour tout le peuple, aujourd'hui vous est né au sauveur » : ce sont les paroles des anges aux bergers. Comment faire pour que ces paroles, ces signes lumineux, ce climat, ne soient pas simplement perçus comme une magnifique utopie d'un autre âge, exclusivement réservée aux petits enfants ? Comment prendre au sérieux cet enfant qui nous sourit et nous tend les bras ? Pour nous chrétiens, cet enfant est la manifestation paradoxale et unique de la puissance de Dieu. Dans sa faiblesse et sa pauvreté il vient briser les carapaces de nos peurs, de nos préjugés, de nos enfermements. En ces temps difficiles pour beaucoup, qu'un enfant nous invite à l'occasion de Noël à la trêve, à la réflexion, au silence, voilà une bonne nouvelle pour tous. Alors que nous allons entrer dans une année qui sera importante pour l'avenir de notre pays, regardons et laissons-nous regarder par cet enfant. Il a des choses essentielles à nous dire. Très joyeux Noël à tous. Mgr Jacques Habert, Evêque de Séez."

"Le terrorisme sanguinaire vient encore de frapper sauvagement l'Europe, la crise agricole rend difficilement lisible l'avenir du monde rural, le chômage continue de laminer la société, les enfants et leurs familles exilés errent sur des routes sans issues"

"Moins de chauffage, moins d'activité, moins de véhicules, mais un épisode de pollution en cours" [RDP du 09 avril 2020]

"Moment inédit pour les chrétiens, qui ne pourront pas assister «physiquement» aux offices de Pâques. Mais la foi demeure." [RDP du 14 avril 2020]

"Cette semaine est particulière pour le monde catholique. Les fidèles du diocèse de Namur sont invités à se brancher sur divers canaux." [RDP du 07 avril 2020]

"Jean-Pierre Delville, l'évêque de Liège, rappelle l'importance de Noël dans notre société. Et le confinement ne doit pas gâcher la fête." [RDP du 16 décembre 2020]

""Zoomons sur l'actu avec Mgr Le Saux et ses invités" : Notre évêque, Benoît Chagneau, médecin, Hélène Chaudun, animatrice à la Maison Bonnière Saint-Aldric et le père Michel Patry, aumonier à l'hôpital du Mans parlent de la mort. La mort est toujours une question fondamentale qui suppose une grande humilité et une délicatesse. Nous allons mourir un jour. Comme chrétiens nous regardons la mort à travers l'espérance chrétienne. Benoît XVI disait : « Ce qui doit caractériser les chrétiens c'est qu'ils savent qu'ils ont un avenir ». Et quand nous avons que nous avons un avenir au-delà de la mort ça change tout ! Nous vivons dans un monde où nous avons projeté la mort dans l'irréel, dans la fiction, la télévision si bien que pour certains adolescents la mort n'a pas de réalité. Ce n'est que quand ils y sont confrontés que tout d'un coup elle est réelle. L'autre tendance est de faire comme si la mort n'existait pas. Dans nos médias, partout, nous ne parlons pas de la mort, nous disons : « Il a disparu ». C'est terrible de dire qu'un ami a disparu. Il est parti où ? Parfois nous n'osons pas nommer la mort alors que nous devons pouvoir en parler. Nous devons nous y préparer, à court ou long terme. Non pas vivre de manière morbide, ça fait partie de notre vie, du mystère de notre vie. Pour nous la mort n'est pas un mur sur lequel tout est achevé. Nous croyons que, par la mort et la résurrection du Seigneur, c'est devenu un passage vers la vie en plénitude. C'est un mystère. Jean XXIII disait : « Garder la simplicité et la douceur d'esprit qui maintient toujours, à toute heure de ma journée, la disposition à tout quitter et à partir, même subitement, pour la vie éternelle » Est-ce que je suis disponible ? Parce-que la mort peut atteindre chacun d'entre nous de manière inattendue. Nous avons tous été confrontés à la mort de nos proches. Il y a un arrachement, une tristesse qui est normale,

"« Le nombre d'adultes baptisés à Pâques est au plus haut depuis dix ans », titre Ouest-France. La Conférence des évêques de France observe que la part des 18-25 ans a doublé en cinq ans parmi les catéchumènes concernés et détecte « un frémissement ». Pourtant, si l'on en croit Marianne, « la foi religieuse recule en France avec 44 % de croyants, selon un sondage ». Quand on sait que, d'après une enquête de l'INSEE, 29 % des Français âgés de 18 à 59 ans se disent catholiques, 10 % musulmans et 1 % de confession juive, on ne peut guère être optimiste sur l'avenir du christianisme en France. Et pourtant..."

"Découvrez pourquoi le Pèlerinage de Chartres 2024 pour le dimanche de la pentecôte attire tant de fidèles et ce que cela signifie pour l'avenir de l'Église en France. Cette vidéo plonge dans les motivations profondes derrière le succès de cet événement, explorant son impact sur l'évolution du catholicisme et sa résonance auprès des générations futures. À travers une analyse approfondie, nous examinons les différentes dimensions du pèlerinage, de son attrait pour les traditionalistes, les scouts et les sportifs, à son rôle crucial dans la redécouverte de la fierté d'être catholique pour de nombreux jeunes. L'auteur souligne l'importance de reconnaître et de célébrer la foi catholique sans compromis, tout en abordant les défis de l'intégration des traditions dans l'Église moderne. Cette vidéo offre également un regard critique sur la manière dont le pèlerinage de Chartres est médiatisé par rapport à d'autres événements similaires, mettant en lumière les questions de représentation et d'inclusion au sein de la communauté catholique. Enfin, l'auteur conclut avec des réflexions personnelles et des vœux chaleureux à tous les participants du pèlerinage, soulignant l'importance de l'amour et de la prière dans la construction d'un avenir solide pour l'Église. Ne manquez pas cette analyse perspicace sur l'un des événements religieux les plus marquants en France."

"Du 29 mars au 1er avril se tiennent à Herzogenrath, au nord d'Aix-la-Chapelle, les 18èmes rencontres liturgiques de Cologne, organisées par l'abbé Guido Rodheudt. Ne pouvant être présent lors de cette rencontre, le cardinal Robert Sarah, préfet de la Congrégation pour le Culte divin, a adressé aux organisateurs un message substantiel que nous reproduisons ci-dessous avec son autorisation."

"« L'avenir du dimanche, un enjeu pour nos communautés » est le thème de cette journée de formation diocésaine, avec Serge Kerrien, chargé de mission au Service national de la pastorale liturgique et sacramentelle et diacre permanent du diocèse de Saint-Brieuc et Tréguier. Si, dans le contexte actuel, les diverses manières de vivre le dimanche ont beaucoup évolué, il reste pour les chrétiens le jour du Seigneur, le premier jour de la semaine où ils se rassemblent en communautés pour faire mémoire du Mystère pascal. Il sera question de l'importance de ce rassemblement communautaire dominical, quelque forme qu'il prenne. Les expériences se multiplient en effet qui montrent que les communautés savent trouver les ressources, quelle que soit la situation, pour mettre en œuvre la célébration dominicale. Les expériences faites durant le confinement en sont un bon indice."