"Jésus.
Ce nom énerve certains de nos contemporains.
Il est ignoré par d'autres ;
et nous, chrétiens, nous nous obstinons à le prononcer,
car il n'y a d'autre mot pour signifier, à nos cœurs, le bonheur."
"« Le Peuple qui marchait dans les ténèbres…. ».
La première phrase de la première lecture de la nuit de Noël nous renvoie à une réalité vécue par beaucoup.
La grisaille.
L'obscurité.
L'absence de repères, comme on dit.
Et, lorsque l'on marche sans voir le chemin,
il convient de faire attention à tout,
de tout soupçonner.
Un bruit, une différence de résonance,
tout peut faire peur…"
"Chers amis,
Nous prions chaque jour avec les textes de l'Église universelle.
Et c'est un privilège.
Vous savez que de nouveaux saints ont été introduits au calendrier, et qu'un supplément à la liturgie des heures, tenant compte de leurs fêtes, est disponible.
Par ailleurs, comme il est normal, notre Église particulière apporte au calendrier de tous la richesse de son propre calendrier.
Deux suppléments viennent d'être édités au propre du diocèse :
- l'un pour la célébration de la messe
- l'autre pour la liturgie des heures.
Ils sont aujourd'hui à votre disposition."
"Les saints ont généralement l'air sérieux.
Dans leurs niches, sur les vitraux (encore que, là, ils peuvent être lumineux).
Ils sont souvent raides. Figés.
Et il faut beaucoup de piété pour qu'ils donnent envie."
"Emoi !
« On » nous change le Notre Père !
Heureux émoi qui reflète notre attachement à la prière enseignée par le Christ.
Quel est le problème ?
Jésus ne parlait pas français, mais araméen.
Mais personne ne sait avec certitude les mots qu'il a employés."
"À chaque époque, dans chaque pays, au cœur de chaque famille
il existe des raisons de pleurer, de se lamenter, de râler…
Or, Pâques nous invite à la joie :
Dieu est plus fort que toutes les morts - les petites comme les grandes-
et l'Esprit du Christ suscite la vie…
La vie."