"Au cours de l'audience générale, place Saint-Pierre le 6 mai 2015, le pape François a poursuivi sa catéchèse sur la famille en abordant, pour la seconde fois, le couple et « la beauté du mariage chrétien ». « Le mariage n'est pas une simple cérémonie qui a lieu dans une église, avec fleurs, costume, photos…, a-t-il tout d'abord rappelé. Le mariage chrétien est un sacrement qui se déroule en Église, qui fait l'Église en donnant naissance à une nouvelle communauté familiale. » Si l'analogie que fait saint Paul entre le couple « mari et femme » et le couple « Christ et Église » est peut-être « imparfaite », a-t-il poursuivi, « nous devons en saisir le sens spirituel, un sens révolutionnaire et de la plus haute importance, et en même temps simple, à la portée de tout homme et de toute femme qui s'abandonnent à la grâce de Dieu ». Pour le pape François, « le sacrement du mariage est un grand acte de foi et d'amour ». Et, l'Église elle-même est engagée dans l'histoire de chaque mariage chrétien : « elle s'édifie sur leurs réussites et souffre de leurs échecs ». Le mariage chrétien est la route de l'amour, « il faut s'aimer comme Dieu aime, pour toujours », a encore affirmé le pape François."
"Le mariage, civil ou religieux, remis en cause
En France, l'union libre, ou cohabitation sans mariage, se généralise : la grande majorité des jeunes couples (environ 90 %) commence leur vie commune par une période de concubinage, d'une année au moins.
Et parfois seulement en vue d'un mariage ultérieur, civil ou/et religieux, puisque la nuptialité diminue (30 % seulement des femmes nées après 1975 ont convolé, contre 80 % pour la génération née en 1930). "
"A l'image de Charlette de Saint-André, mère de trois enfants, les fidèles sont venus en famille et des quatre coins de l'île pour prier la Vierge ou lui demander une intercession particulière. En écho, à l'ouverture de la messe, l'évêque Mgr Gilbert Aubry, avec l'assemblée dont il a salué la vénération pour la Vierge Noire, a prié pour que le « Seigneur donne à chacun ce qu'il désire pour avancer. » Murielle, habitante de l'Ilet Quinquina, vient, elle, chaque 1er mai à pied pour remercier la Vierge Noire. Pour elle, il est important de prier celle qui l'accompagne dans ses difficultés et l'aide à redécouvrir la joie dans les découragements."
"Le service diocésain de la pastorale santé vient d'éditer un petit livret sous le titre « Avec les personnes malades, visiter, accompagner, prier, célébrer les sacrements ». Il est constitué, en grande partie, des notes préliminaires (notes doctrinales et pastorales) qui introduisent le rituel des « Sacrements pour les malades »."
"La Pentecôte marque la venue de l'Esprit Saint sur les apôtres et la naissance de l'Eglise.
Cet événement étant survenu cinquante jours après Pâques (en grec, pentêkostê signifie « cinquantième »), les catholiques célèbreront cette année la Pentecôte dimanche 24 mai.
L'événement de la Pentecôte ne peut être compris qu'en lien avec Pâques et l'Ascension : Mort pour le salut du monde (le vendredi saint), ressuscité (le jour de Pâques) et parti rejoindre le Père (à l'Ascension), le Christ envoie aux hommes son Esprit (à la Pentecôte). C'est pourquoi cette fête clôt le temps pascal, qui dure sept semaines, et dont elle est le couronnement."
"Aujourd'hui encore, avec le sacrement de confirmation, des jeunes de notre diocèse demandent à recevoir le don de l'Esprit pour répandre la Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, par la parole et en action. Pour les accompagnateurs, l'enjeu est avant tout de mettre en route de jeunes adultes dans la foi."
"Avec le récent séisme au Népal et son cortège de drames et de souffrances, c'est une nouvelle fois la question du mal qui revient à la surface. Les guerres et les injustices nous scandalisent - si du moins nous résistons à la « tentation de l'indifférence » comme dit le Pape François - mais, au moins, nous pouvons leur trouver une explication. En revanche, lorsqu'il s'agit d'une catastrophe naturelle, notre interrogation demeure et engendre souvent de la révolte. Car si certaines catastrophes proviennent de la négligence de l'homme (dérèglement climatique par exemple), dans bien d'autres cas, sa responsabilité ne saurait être mise en cause."
"Les expressions multiples de la violence dans notre monde génèrent un climat de peur, de tensions inquiétantes : Moyen-Orient,Nigéria, Pakistan, Libye, Syrie, Irak et bien d'autres. En ce qui concerne plus directement notre pays, les attentats du mois de janvier ont certes provoqué une réaction d'unité nationale,mais aussi un sentiment de méfiance qui s'exprime parfois à l'égard des Français de religion musulmane soupçonnés de pouvoir devenir, le jour venu, les islamistes sanguinaires qu'à juste titre nous redoutons et auxquels nous nous opposons."
"Ce mardi, cinq personnes, dont Agnès, du groupe Amitié-Espérance-Arc-en-Ciel d'Eaubonne ont reçu le sacrement des malades. Voici son témoignage et la prière que ce sacrement lui a inspiré…"
" La beauté du mariage chrétien » : c'est le thème que le Pape François a abordé dans sa catéchèse place Saint-Pierre ce mercredi matin. Poursuivant son cycle dédié à la famille, il est donc revenu sur ce qui n'est pas « simplement » une cérémonie « qui se fait à l'église, avec les fleurs, la robe et les photos » mais sur ce qui constitue « un sacrement qui a lieu dans l'Eglise et qui fait aussi l'Eglise, en donnant naissance à une nouvelle communauté familiale ». Les précisions de Xavier Sartre"
"Le mardi 28 avril, 190 membres des équipes d'accompagnement des familles en deuil de notre diocèse se sont retrouvés pour une journée de pèlerinage à Tours. "
"On peut légitimement poser la question. Que signifie la persistance d'un calendrier chrétien pour une société dite sécularisée ? N'y a-t-il pas risque d'incompréhension à l'égard de fêtes dont le sens échappe de plus en plus ? Par exemple, que signifie la Pentecôte, qui continue pourtant à ponctuer chacun de nos printemps, soulignée d'ailleurs par un week-end prolongé. Un week-end prolongé qui a bien failli être abrogé, mais qui résiste vaillamment. C'est la culture ou l'inculture religieuse qui est la clé de compréhension de la Pentecôte, comme de Noël ou de Pâques. Il n'y a pas que la seule compréhension intime que confère la foi surnaturelle. Il y a ce qu'on appelle l'enseignement du fait religieux à l'école, qui peut entretenir une interrogation, une tension à l'égard d'un objet qui donne à penser. Je reprends là l'expression de Paul Ricœur à propos du mythe, ce concept mystérieux qui impose de réfléchir sur des aspects essentiels de l'existence."
"Les célébrations dominicales nous semblent-elles une suite « figée » de rites plus ou moins anciens avec des paroles si familières que nous n'entendons qu'un « ronron » monotone ? "