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"À l'occasion de la fête liturgique de sainte Monique, le 27 août, le pape François est allé se recueillir à la basilique Saint-Augustin de Rome. Dans ce lieu, repose le corps de la mère de saint Augustin."

"À l'origine, saint Augustin n'aimait pas beaucoup la Bible et avait même beaucoup de mal à comprendre l'intérêt que les gens y trouvaient."

"En quoi l'érection spontanée d'un adolescent a-t-elle pu changer notre vision de la sexualité ? Au IVe siècle, saint Augustin invente le péché originel et fait pleuvoir sur l'humanité une honte héritée d'Adam et Eve." [RDP du 29 juin 2020]

"Avec la Cité de Dieu, saint Augustin prend de la hauteur pour saisir l'actualité du sac de Rome par le biais de l'éternité."

"Résolument personnel, un chemin de foi ne ressemble forcément à une lente ascension tout au long de la vie ou à une route toute tracée vers l'Éternité. Prenez Saint Augustin, victime d'un véritable retournement intérieur après des années d'égarement."

" Aujourd'hui, saint Augustin nous invite à vivre la même expérience que lui : ressentir Dieu tout près de nous, l'Emmanuel, Dieu avec nous."

"Beaucoup connaissent le nom et l'histoire de saint Augustin, le libertin devenu docteur de l'Église au IVe siècle. Mais ils oublient souvent son pilier de conversion : sa mère Monique qui a tant prié et pleuré pour lui durant ses années d'errance."

"Pour fêter et célébrer le 50e anniversaire de la publication, par les pères du Concile Vatican II, de la Constitution sur la liturgie, la Pastorale liturgique et sacramentelle du diocèse de Saint-Etienne organise un rassemblement le mercredi 4 décembre 2013 de 18 heures à 21 h 30 2013 au Centre Saint Augustin (55, rue des Drs Charcot - Saint-Etienne). Il s'adresse à tous ceux qui, à un titre ou un autre, sont acteurs dans la liturgie, du baptême aux funérailles, du service des clefs à l'homélie."

"Notre Père Qu'est-ce qui change ? Retour sur la sixième demande du Notre Père avec le P. Michel Souchon, alors que le Vatican vient d'approuver une nouvelle traduction en français de la Bible liturgique.La formule du Notre Père " Et ne nous soumets pas à la tentation" y est remplacée par «Et ne nous laisse pas entrer en tentation". Facebook Twitter Google Plus Share This Mains ouvertes d'enfants pour la prière du Notre Père. © Corinne Simon/Ciric "Ne nous soumets pas à la tentation", quelle demande étrange ! Le mot à mot est tout aussi troublant : « Ne nous conduis pas en tentation » (« Ne nous fais pas entrer dans l'épreuve », traduit Sœur Jeanne d'Arc). Dieu serait-il tentateur ? Saint Jacques s'oppose à cette idée : « Que nul, s'il est éprouvé, ne dise : « C'est Dieu qui m'éprouve ». Dieu en effet n'éprouve pas le mal, il n'éprouve non plus personne. Mais chacun est éprouvé par sa propre convoitise qui l'éprouve et le leurre. Puis la convoitise, ayant conçu, donne naissance au péché, et le péché, parvenu à son terme, enfante la mort » (Jacques 1,13-15). Saint Paul est plus ambigu. S'adressant à Dieu, il lui attribue la responsabilité de la tentation : « Tu es fidèle et tu ne permets pas que nous soyons tentés au-delà de nos forces. Avec la tentation, tu nous donnes aussi le moyen d'en sortir et la force de la supporter » (1 Corinthiens 10,13). Et la Bible témoigne d'une curieuse inversion des rôles : « C'est toi, Dieu, qui nous as éprouvés, affinés comme on affine un métal. Tu nous as conduits dans un piège. Tu as serré un étau sur nos reins » (Psaume 66, 10-11). Les évangiles (Matthieu 4,1-11 ; Marc 1,12-13 ; Luc 4,1-12) disent que Jésus lui-même a connu la tentation ! Jésus repousse les offres du diable. Il est ainsi le modèle de la foi du chrétien. Si le Christ a été tenté, il ne peut nous enseigner u

"Des générations de chrétiens ont été sensibilisées, parfois même traumatisées par l'enseignement sur le péché originel, à tel point que des chrétiens continuent encore aujourd'hui à penser et à dire : « au début, à l'origine est le péché ». Saint Augustin (354-430) converti au christianisme, développe considérablement l'idée du péché originel que seule la grâce de Dieu peut toucher. Augustin et d'autres après lui, à partir du Moyen Age, ont ainsi développé une vision négative de l'Homme, une approche et une conception où prévaut la dimension peccamineuse."

" Nous poursuivons notre prière avec saint Augustin. Ecoutons le, il nous invite à faire la vérité sur notre vie : Qui est le Christ pour nous ?"

" Aujourd'hui, avec saint Augustin, nous allons méditer sur le mystère de Noël."

"Imaginons sa rupture avec le manichéisme et l'aurore de son éveil à la chrétienté."

"Cette nouvelle traduction entrera en vigueur le dimanche 28 novembre 2021 (premier dimanche de l'Avent). La conférence se tiendra lundi 8 novembre 2021 à 20h au Centre Saint-Augustin à Saint-Etienne."

"Souvent, nous avons tendance à considérer l'écologie comme un concept moderne, lié au défi qui pèse sur notre temps et menace notre planète. Mais certains saints y étaient déjà sensibles à leur époque…"

"Du dimanche 27 novembre jusqu'à Noël, préparons la grande fête de la Nativité avec un moment de prière avec quelques saint : Mère Teresa, le Père Marie-Eugène de l'Enfant-Jésus, Saint Augustin."

"Le service diocésain de la Pastorale Liturgique et Sacramentelle du diocèse a organisé une soirée pour fêter les 50 ans de la constitution sur le liturgie promulguée par Vatican II. La rencontre a eu lieu le mercredi 4 décembre 2013 au centre Saint Augustin. Au programme : Convivialité, témoignages et enseignement, célébration d'envoi par Mgr Dominique Lebrun."

"Le Cierge pascal symbole du Christ. La Vigile pascale a été remise à l'honneur, par le pape Pie XII en 1951, d'après l'antique tradition de la veillée pascale que saint Augustin, au IVe siècle, appelait "la mère de toutes les saintes veillées"."

"L'année 2016 a été consacrée au bienheureux Charles de Foucauld à l'occasion du centenaire de sa mort et des 130 ans de sa conversion. Sa famille spirituelle, présente en Ille-et-Vilaine, propose un dernier rendez-vous le 1er décembre à l'église Saint-Augustin de Rennes. Un rendez-vous priant et fraternel à la date anniversaire"

"Misericordia et misera sont les deux termes qu'utilise Saint Augustin pour raconter la rencontre entre Jésus et la femme adultère (cf. Jn 8, 1-11). Il ne pouvait trouver expression plus belle et plus juste pour faire comprendre le mystère de l'amour de Dieu quand il vient à la rencontre du pécheur : « Il ne resta que la misérable pécheresse en face de la bonté miséricordieuse ». Que de pitié et de justice divine dans ce récit ! Son enseignement éclaire la conclusion du Jubilé extraordinaire de la Miséricorde et nous indique la route que nous sommes appelés à suivre à l'avenir."