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"On peut en effet se poser deux séries de questions : 1/ Si le mal en général et les catastrophes naturelles en particulier (à supposer que la catastrophe sanitaire présente soit tout à fait naturelle) ne viennent pas de Dieu, d'où viennent-elles ? Et si Dieu peut les empêcher, pourquoi ne le fait-il pas ? 2/ La Bible nous présente volontiers les catastrophes comme un châtiment : faut-il dire que la Bible se trompe ? Et si elle dit vrai, l'Église a-t-elle raison de dire le contraire ? Ne le fait-elle pas pour essayer de rassurer les gens, ou de « sauver » ses textes sacrés ? D'ailleurs, n'a-t-elle pas longtemps pris ces textes « au premier degré » pour les mettre au service d'une « pastorale de la peur » ?"

"Avec le récent séisme au Népal et son cortège de drames et de souffrances, c'est une nouvelle fois la question du mal qui revient à la surface. Les guerres et les injustices nous scandalisent - si du moins nous résistons à la « tentation de l'indifférence » comme dit le Pape François - mais, au moins, nous pouvons leur trouver une explication. En revanche, lorsqu'il s'agit d'une catastrophe naturelle, notre interrogation demeure et engendre souvent de la révolte. Car si certaines catastrophes proviennent de la négligence de l'homme (dérèglement climatique par exemple), dans bien d'autres cas, sa responsabilité ne saurait être mise en cause."

"Comment rester insensibles avec tout ce qui se passe actuellement ? Des catastrophes naturelles, des hommes qui cherchent asile, des chrétiens persécutés... Accueillir, prier, partager, des mots qui interpellent ! A Marseille, des migrants arrivent de Calais."

"Car frères et soeurs, elle est là notre espérance : ni notre péché personnel, ni les guerres, ni les catastrophes naturelles, ni les crises sanitaires. Rien ne peut arrêter le plan divin de salut. Dieu nous aime et nous sauve.  Car les hommes et le diable attendaient un messie glorieux, mais ce sera un nouveau né, couché dans une mangeoire. C'est l'humilité de Dieu qui a trompé le diable. Voilà notre espérance, Dieu ne dédaigne pas se mettre à notre portée. Dieu ne dédaigne pas se livrer aux hommes. Ils vont d'ailleurs le tuer. Dieu vient à notre rencontre sous les traits du petit enfant. Quand vous avez cela dans le coeur frères et soeurs, votre espérance est inébranlable, même si tout s'écroule autour de vous. Car il vous reste le babillement d'un nourrisson dans la crèche. Il vous reste le chant des anges : « Gloire à Dieu au plus haut des cieux, et paix sur la terre aux hommes, qu'Il aime. » Oui que ce soir la paix de Dieu inonde nos âmes lasses et fatiguée par les longs mois de lutte contre un ennemi invisible. Accueillons dans nos bras ce petit enfant, l'enfant Dieu."

"Dans sa lettre encyclique « Laudato sì » publiée en 2015, le pape François nous rappelle l'urgence d'une écologie intégrale, respectueuse de l'homme et de la nature comme nous y invite les Écritures. Pour répondre à cet appel, les paroisses du Pays de Nay proposent aux paroissiens et aux agriculteurs 3 rendez-vous afin de demander la bénédiction de Dieu sur le travail des champs et des bêtes. C'est l'évêque Saint Avit (ou Abit), dont une commune de la paroisse porte le nom, qui nous a fait connaître les origines de la prière des Rogations (ou demandes) : dans le Dauphiné, un de ses prédécesseurs avait mis en place ces prières pour lutter contre les catastrophes naturelles qui s'abattaient sur son pays afin de protéger populations, cultures et bétails avec l'idée d'un rapport plus juste à la Création. Dès lors, cette pratique n'a cessé de se développer dans les campagnes de France. C'est une façon pour l'homme de reconnaître qu'il n'est pas tout-puissant sur la nature et qu'il est responsable de sa sauvegarde. Par cette pratique, il rend grâce pour les bienfaits reçus de Dieu dans sa Création et il demande sa protection sur les biens de la terre."

"Demain est une journée importante: c'est le début de la Semaine de prière pour l'unité des chrétiens."

"Dans notre itinéraire de catéchèse sur la prière, nous rencontrons aujourd'hui le roi David. "

"En cet avant-dernier dimanche de l'année liturgique, l'Evangile nous présente la célèbre parabole des talents (cf. Mt 25, 14-30)."

"Dans SIC ce lundi, la fête de la divine Miséricorde à Saint-Sulpice, les 73e Ostensions limousines à Limoges, le tabouret de la flèche de Notre-Dame de Paris installé quatre ans après l'incendie, en Île-de-France le père Jacques Gagey fait l'objet de mesures conservatoires, la Pâques orthodoxe, l'évêque de Hong Kong se rend à Pékin, et l'Eglise invite à l'espérance après les incendies dans les Pyrénées-Orientales."

"Avent 2024, un temps pour prendre patience (3/4) . Viticulteur de père en fils, Olivier Bureau-Lagarde a repris l'exploitation familiale charentaise en 2015. Soumis aux aléas climatiques et à une crise de son secteur, il cherche à vivre en paix avec une patience non négociable."