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"Dans l'évangile, lorsque Luc parle du chemin de Jérusalem après la deuxième annonce de la Passion, il écrit : « Jésus prit avec courage la route de Jérusalem » (Luc 9,51). Accompagner le Christ pendant 40 jours dans sa longue montée vers Jérusalem demande du courage. Pour vivre ce temps de Carême dans ses trois dimensions : le jeûne - la prière - le partage, cela suppose de recevoir du Seigneur la grâce du courage."

"Pendant ce temps de Carême, nous sommes invités à vivre des passages, c'est-à-dire des traversées de désert comme Jésus. Dans l'Évangile, lorsque Luc parle du chemin de Jérusalem après la deuxième annonce de la Passion, il écrit : « Jésus prit avec courage la route de Jérusalem » (Luc 9,51). Accompagner le Christ pendant 40 jours dans sa longue montée vers Jérusalem demande du courage. Pour vivre ce temps de Carême dans ses trois dimensions : le jeûne - la prière - le partage, cela suppose de recevoir du Seigneur la grâce du courage."

"Pendant ce temps de Carême, nous sommes invités à vivre des passages, c'est-à-dire des traversées de désert comme Jésus. Dans l'Évangile, lorsque Luc parle du chemin de Jérusalem après la deuxième annonce de la Passion, il écrit : « Jésus prit avec courage la route de Jérusalem » (Luc 9,51). Accompagner le Christ pendant 40 jours dans sa longue montée vers Jérusalem demande du courage. Pour vivre ce temps de Carême dans ses trois dimensions : le jeûne - la prière - le partage, cela suppose de recevoir du Seigneur la grâce du courage."

"Tous ensemble, réjouissons-nous dans le Seigneur ! L'antienne d'ouverture annonce la couleur : il s'agit de célébrer un jour de fête en l'honneur de tous les saints. Les anges se réjouissent avec nous de cette fête. Une fête donc qui unit notre Église de la terre à celle du ciel, comme lors de notre chant unanime du Sanctus. C'est en effet Dieu qui seul (est) saint, (lui) que nous admirons et adorons en célébrant la fête de tous les saints. (Prière après la communion). C'est la joie donc, qui nous habite : nous sommes joyeux de savoir dans la lumière ces enfants de notre Église, que (Dieu) nous donne en exemple (Préface). Joyeux aussi car il s'agit d' « une foule immense, que nul ne (peut) dénombrer, une foule de toutes nations, tribus, peuples et langues » (Ap 7, 1ère lecture), où nous pouvons espérer avoir notre place, puisque c'est la foule de ceux qui sont « vêtus de robes blanches » comme nous tous baptisés qui avons revêtu le Christ, « avec des palmes à la main » comme nous les avons tenues pour acclamer le triomphe du Christ le dimanche des Rameaux, même si cette année ce fut dans nos simples demeures, dans l'espérance d'entrer avec lui dans la Jérusalem éternelle. Le jour de la Toussaint, nous fêtons notre mère la Jérusalem d'en-haut (Préface), dont la Jérusalem terrestre était déjà la figure, elle dont parle le psaume: « On dira de Sion 'Voilà ma mère', en elle tout homme est né » (Ps 86,5)."

"À Jérusalem, c'est la première fois en au moins un siècle que la basilique du Saint-Sépulcre est fermée pour les célébrations du Triduum pascal. À l'instar de l'office de la Passion et du Chemin de Croix du Vendredi Saint, la Vigile pascale s'est déroulée sans fidèles ce samedi 11 avril 2020. Dans son homélie, l'administrateur apostolique de Jérusalem à une capacité de contemplation renouvelée après «ces temps de vide»."

"La Bible de Jérusalem repose sur un travail collectif de longue haleine que l'on doit à l'École biblique et archéologique française de Jérusalem dirigé par l'ordre des Dominicains. "

endant le Carême, frère Grégoire et sœur Jeanne, des Fraternités monastiques de Jérusalem, implantées à Vézelay, vous font partager le sens des six mots qui ponctuent ces six semaines. Frère Grégoire et sœur Jeanne, des Fraternités monastiques de Jérusalem, vous livrent vos réflexions sur six mots emblématiques pour ce Carême 2013.

"a commune de Vion, compte notamment à Notre-Dame du Chêne une basilique, un Saint Sépulcre, ainsi qu'un calvaire du Christ. Le Saint-Sépulcre a eu 120 ans le 8 octobre 2016. Il contient dans ses fondations une pierre du tombeau du Christ. Le Vendredi saint de chaque année, à 15 h, les funérailles du Christ ne sont commémorées que dans deux villes au monde : Jérusalem et Washington. Cette année, pour la toute première fois, elles seront commémorées aussi à Vion. L'idée d'une commémoration en France a germé à l'issue de deux conférences des Chevaliers de l'Ordre du Saint Sépulcre de Jérusalem. Ceux-ci étaient les invités du Père Alain Dominique, Frère de saint-Jean, recteur de la basilique et du sanctuaire à Vion."

"Lors d'une conférence de presse, ce mercredi 16 décembre, le Patriarche latin de Jérusalem, S.B. Fouad Twal, a délivré son traditionnel de message de Noël, axé sur la paix et la miséricorde. Sa méditation intervient au terme d'une année contrastée pour les chrétiens de Terre Sainte, entre la signature de l'accord-cadre entre le Saint-Siège et l'État de Palestine, mais aussi une vague de violences entre Israéliens et Palestiniens qui a fait près d'une centaine de morts cet automne en Cisjordanie. Voici le texte intégral de ce message :"

"ACCUEIL › ACTUALITÉS › VIVRE LE DIMANCHE DES RAMEAUX ET LA SEMAINE SAINTE DEPUIS CHEZ SOI ACTIONS SUR LE DOCUMENT PARTAGER Vivre le dimanche des rameaux et la semaine sainte depuis chez soi Vivez le dimanche des rameaux et la semaine sainte depuis chez vous avec une proposition de notre diocèse et des messes à suivre en direct. PROPOSITION LITURGIQUE POUR CHEZ VOUS La pastorale liturgique et sacramentelle vous a préparé une proposition et à un message pour vous : Télécharger la proposition au format PDF L'entrée de Jésus à Jérusalem  Le temps de Jésus, on venait à Jérusalem pour  les grandes fêtes de pèlerinage, en particulier celle de Pâques.  Le lendemain du retour de Lazare à la vie, les foules accueillent Jésus à son entrée avec les cris : Sauve moi !" ou "sauve nous !"(Hosanna).c'est un moment de joie et de reconnaissance. La foule accueille un Messie humble, ami des pauvres et des petits, proche des pécheurs à qui il annonce la bonté, la tendresse et le pardon de Dieu, son Père. Jésus ne se contente pas de parler de l'infini amour de Dieu pour nous, il va le montrer jusqu'au bout, jusqu'au don de sa vie sur la Croix. Le dimanche des Rameaux ouvre la semaine sainte. Nous allons la vivre confinés chez nous tout en étant en communion véritable avec notre évêque et tout le peuple de Dieu à travers la liturgie familiale que nous allons célébrer à la maison. Vous trouvez ci-joint le déroulé pour les quatre premiers jours. "

"Le Patriarcat latin de Jérusalem a diffusé des indications pastorales pour la célébration de la Semaine Sainte qui approche, en conformité avec les mesures imposées en raison de la pandémie coronavirus. «Cette situation est totalement inédite et nous demande de trouver de nouvelles formes de célébration», a expliqué Mgr Pierbattista Pizzaballa, administrateur apostolique du Patriarcat."

"L'administrateur du patriarcat latin de Jérusalem a célébré la messe de la Cène du Seigneur en la Basilique du Saint Sépulcre, ce jeudi matin (horaire défini par le statu quo en vigueur dans les Lieux saints partagés). Dans son homélie, Mgr Pizzaballa a livré une méditation sur le sens du Lavement des pieds et sur l'enseignement que nous devons en tirer à l'aune de la crise actuelle."

"Habituellement, nous avons deux célébrations pour le prix d'une seule, puisque normalement la liturgie de ce dimanche nous donne à la fois de vivre l'entrée triomphale de Jésus, le jour des Rameaux, et, d'autre part, d'entendre le récit de sa Passion et de sa mort.   Cette pratique étonnante s'explique par le fait qu'à l'origine il y a deux traditions distinctes celle de Jérusalem et celle de Rome. A Jérusalem, le dimanche précédant Pâques était entièrement consacré à la reconstitution historique de l'entrée triomphale de Jésus dans la Ville Sainte (imaginez-vous l'évêque assis sur un âne, pour représenter le Christ, avec les foules qui l'escortent en chantant et en agitant des palmes !). A Rome, rien de semblable. La liturgie était beaucoup plus sobre. Le dimanche avant Pâques, on lisait simplement la Passion du Seigneur."

"Quand nous lisons l'Evangile, nous voyons que Jésus est souvent venu à Jérusalem : dans sa jeunesse, il est resté au Temple avec les docteurs de la loi, à la grande inquiétude de ses parents qui le cherchait ; en diverses occasions, il a parcouru la ville et enseigné au Temple, et aujourd'hui, pour la dernière fois, il entre à Jérusalem. Après avoir marché sur tant et tant de routes, après être passé dans tant et tant de villes et de villages, Jésus achève, dans la ville sainte, son chemin parmi les hommes et les femmes de son temps, son chemin de Fils de Dieu qui a pris chair pour venir à la rencontre de tous. Il vient y célébrer la Pâque avec ses disciples c'est-à-dire la grande célébration du passage de la Mer rouge par le peuple hébreu, le passage de l'esclavage à la liberté. Mais c'est une autre Pâque qui l'attend, un autre passage qui le conduira de la mort à la vie."

"Le Pape François lors de l'Angélus de ce samedi a rappelé que la liturgie du jour parle de la Jérusalem céleste, invitant alors à « prier afin que la Ville Sainte, chère aux juifs, aux chrétiens et aux musulmans, et qui ces jours derniers a vécu différentes tensions, puisse devenir toujours plus un signe et une anticipation de la paix que Dieu désire pour toute la famille humaine »."

"Grand-Maître de l'Ordre équestre du Saint-Sépulcre de Jérusalem et préfet de la congrégation pour l'Évangélisation des peuples de 2011 à 2019, le cardinal Fernando Filoni propose cette méditation sur le sens de la crise actuelle du Covid-19."

"La pandémie mondiale affecte aussi le Triduum Pascal en Terre Sainte. Aucune célébration religieuse publique n'y est autorisée, et la basilique du Saint-Sépulcre a fermé ses portes depuis le 25 mars dernier. "

"L'Évangile de Luc (chapitre 22), qui sera lu dimanche à la messe, raconte l'arrivée de Jésus à Jérusalem sur le dos d'un petit âne sous les pas duquel les habitants font un chemin de feuillages."

"Samedi 29 octobre 2016 - passage à l'heure d'hiver ! Pour célébrer le passage de l'heure d'été à l'heure d'hiver, Vézelay, Ville Sanctuaire, propose un cheminement aux lanternes guidé par un pèlerin en route vers St-Jacques de Compostelle... - 20h30 : Rdv à la Porte Neuve pour le cheminement aux lanternes - 21h30 : Accueil dans la basilique par les fraternités de Jérusalem - 22h : Salle des pressoirs pour un verre de l'amitié"

"La fête de la Toussaint, comme celle des Rameaux, rassemble plus de monde en nos églises que les célébrations de Pâques. Nous pouvons nous en réjouir, dans la mesure où le souvenir des morts est un signe de vie, un signe pascal : si nous honorons nos défunts, ce qui est le propre de l'homme, c'est que les liens avec eux demeurent et que nous espérons les retrouver, pour que se reconstituent nos familles. Il faut rappeler que la Toussaint est d'abord une fête des vivants : celle de tous les saints, de ceux qui vivent maintenant à plein, parce qu'ils sont entrés dans la vie divine. « Vous êtes venus vers la montagne de Sion et vers la cité du Dieu vivant, la Jérusalem céleste, vers des milliers d'anges en fête et vers l'assemblée des premiers-nés dont les noms sont inscrits dans les cieux » : c'est le tableau que nous donne l'auteur de la lettre aux Hébreux (12, 22-23), en parfaite cohérence avec la fin du livre de l'Apocalypse (cf. chap. 21)"