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Dans Corps est graphique, Mourad Merzouki choisit de s'interroger sur la place des femmes dans la danse hip hop. Conscient de leur quasi-absence, il envisage la possibilité de leur présence et examine les alternatives. Les danseurs sont-ils prêts à dialoguer, échanger, partager cette danse ? Avec une gestuelle pure et une fluidité du corps, danseuses et danseurs mettent en avant tour à tour leur féminité et leur virilité ; cette confrontation s'effaçant peu à peu au profit du propos esthétique. La question initiale du rapport homme-femme n'a plus lieu d'être et devient superflue.

Stop ! mon corps ne vous appartient pas !

"Le laboratoire Genere propose d'organiser trois journées d'études autour de la thématique « Genre et Arts ». Il s'agit d'inviter des artistes de disciplines multiples et des universitaires pour réfléchir ensemble à la représentation des corps minorisés (femmes, homosexuels, transsexuels, handicapés, personnes racisées etc.) dans la production artistique contemporaine en France et à l'étranger."

"Cette conférence de Philippe Liotard a pour objectif de réfléchir à la construction des rapports entre les filles et les garçons, à travers les interactions qui se jouent depuis l'enfance jusqu'à l'âge adulte dans l'amour, la sexualité et leurs représentations associées. Au travers d'exemples de violences sexuelles ordinaires pratiquées de la maternelle à l'université, Philippe Liotard pose la question de la construction sociale de ces modes de relations problématiques et la question de la construction identitaire des filles et des garçons. Enfin, il interroge le rôle de la sexualité dans cette construction des interactions entre filles et garçons, puis entre hommes et femmes."

Dans ce roman d'anticipation datant de 1922, le professeur Tornada métamorphose un peintre parisien, Georges Sigerier, en femme. Prisonnier de ce nouveau corps qu'il apprend à découvrir, il renoue des liens avec Rolande, son ancienne maîtresse...

Une fresque époustouflante sur les nouvelles réalités du monde actuel ou à venir, avec ses tyrannies ultra-sécuritaires, ses flux migratoires, ses clandestins, son exploitation des corps, ses trafics, ses corruptions, ses épidémies, ses virus. Le roman n'est jamais aussi réaliste que lorsqu'il se permet d'être visionnaire.