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Michel Roland-Guill

Du livre au web : l'usage du livre électronique diminue-t-il ? | La Feuille - 3 views

  • Avec le passage des pages des liseuses à l'écran des tablettes, les lecteurs sont bel et bien en train de passer de la page à l'écran.
  • Le risque d'enfermer les livres uniquement dans des conteneurs dédiés est de laisser sur le côté ceux qui ne lisent pas. Ceux qui ne lisent pas n'iront pas se perdre dans l'iBookstore d'Apple. Ils liront peut-être d'autres choses en ligne, mais n'arriveront jamais jusqu'aux livres.
  • Quand on regarde l'usage des tablettes et smartphone, la lecture (de livre) occupe une part toujours plus faible des usages à mesure que le nombre d'utilisateurs augmente.
  • ...2 more annotations...
  • Quand on observe la fréquence d'usage des applications de lecture par semaine et dans la durée, on se rend compte qu'entre 2009 et 2012, l'usage des applications de lecture s'est effondré. En 2009, on utilisait des applications de lecture très fréquemment chaque semaine, mais sur une durée assez courte (le temps de lire le livre), en 2012, la fréquence d'accès à une application de lecture est tombée et la durée de lecture s'est allongée. Les livres électroniques ne sont plus dans les usages intensifs sur une période de temps limitée, mais sont entrés dans la catégorie des usages occasionnels.
  • On comprendra alors qu'éditeurs comme auteurs commencent à envisager sérieusement à exploiter d'autres canaux de diffusion, comme le web. Le livre électronique ne se suffira pas à lui-même. Le moment e-book n'est pas clos, mais on sent qu'il est déjà en train de tourner.
Michel Roland-Guill

Pourquoi les outils de lecture de livres électroniques ne sont-ils pas plus intelligents ? | La Feuille - 0 views

  • Les logiciels qui équipent nos terminaux de lecture électronique ont besoin d'une révolution, non pas tant pour améliorer la lecture, que pour l'organiser.
  • Joe Wikert
  • (et dire que nombre de terminaux de lecture ne permettent encore même pas d'utiliser ce type d'outils pour faire glisser des contenus web dans son appareil de lecture !
  • ...3 more annotations...
  • arrêtez de croire que nous ne lirons que des "livres" sur nos appareils de lecture (et surtout que les livres que vous vendez !) : permettez-nous d'y lire le web d'une manière optimale.
  • Permettez-moi de mettre des tags sur les contenus.
  • Il serait temps de s'écarter des métaphores du monde physique pour s'appuyer sur les capacités des appareils numériques à aider leurs clients à gérer leurs contenus et à atteindre leurs objectifs de lecture.
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    "Pourquoi les outils de lecture de livres électroniques ne sont-ils pas plus intelligents ?"
Michel Roland-Guill

L'iPad, un battage médiatique, plutôt qu'un outil pour lire ActuaLitté - Les univers du livre - 0 views

  • si l'iPad depuis son lancement en avril 2011 a généré « un battage médiatique », ses utilisateurs ne l'utilisent pas pour lire des livres - mais plutôt pour du jeu et d'autres activités
  • « Le rapport constate que les propriétaires de tablettes ne constituent pas la majorité des utilisateurs d'ebooks, puisque 45 % des répondants citent leur PC ou leur Mac de même que leur lecteur à encre électronique. »
  • En 2010, l'expansion est incontestable, avec non seulement une fidélisation des lecteurs, qui n'étaient auparavant que des acheteurs occasionnels, mais qui plus est, un regain d'intérêt pour les livres imprimés également, chez les consommateurs d'ebooks.
Michel Roland-Guill

Contenus numériques : une consommation en hausse, mais... - LExpansion.com - 0 views

  • Du côté des supports de lecture, malgré le succès croissant des tablettes, ces dernières n'arrivent qu'en troisième position (31% de lecteurs) derrières les écrans de téléphones portables (48%) et les ordinateurs, en tête avec 79%. Que ce soit l'Amazon Kindle, le Bookeen, ou le Sony Reader, les livres électroniques sont relativement peu utilisés.
  • L'étude montre que 74% des sondés téléchargent ou consultent des livres numériques gratuits. Or parmi cette population 34% consomment exclusivement des contenus gratuits, et à l'inverse seulement 2% des internautes déclarent télécharger uniquement des ouvrages payants.
Michel Roland-Guill

Vers une culture numérique lettrée ? | skhole.fr - 0 views

  • « Ce qui importe ce n’est pas de lire, mais de relire » J-L Borgès
  • Comme l’a bien montré Alexandre Serres[1], cette logique adaptative, à fondement comportementaliste et à visée principalement économique, est manifeste dans un grand nombre de textes internationaux, notamment politiques, qui posent la nécessité d’enseigner cette « maîtrise » ou « culture de l’information » (Information Literacy) aux jeunes générations. Ainsi par exemple, en France, la « Loi d’orientation et de programme pour l’avenir de l’école » de 2005 intègre désormais au « socle commun » de connaissances et de compétences la « maîtrise des techniques usuelles de l’information et de la communication »[2].
  • Dans des études qu’il a menées sur les pratiques de lecture numérique, Alain Giffard[12] qualifie de « pré-lecture » l’acte de lire le plus couramment pratiqué lorsque l’on navigue sur le Web : la lecture y ressemble à une sorte de scannage, fait de repérage et de sélection, au mieux d’un pré-montage ; et il distingue cette forme de lecture numérique de la « lecture d’étude », classique, livresque et lettrée, telle qu’elle s’est constituée historiquement depuis le Moyen-Âge autour de l’objet-livre. Or, cette pré-lecture a précisément les caractéristiques du mode d’attention très réactif et volatil entrainé par la surexposition aux médias : elle se révèle réactive/instable, multidirectionnelle/superficielle. Ainsi Alain Giffard montre que le risque est grand que la « pré-lecture » numérique devienne la « lecture de référence » des prochaines générations de collégiens, qui font partie de ce que l’on appelle les « digital natives », ce qui pourrait rendre quasiment impossible l’enseignement et la pratique de la lecture lettrée : « Technique par défaut, risque de confusion entre pré-lecture et lecture, entre lecture d'information et lecture d'étude, entre les différentes attentions, place de la simulation, contexte d'autoformation, arrivée de la génération des "natifs du numérique" dont certains prennent la lecture numérique comme référence: tous ces éléments peuvent se combiner. Le risque est grand alors de ce que certains chercheurs anglais appellent "reading without literacy", une lecture sans savoir lire qui est la forme la plus menaçante d' " illettrisme électronique ". »
  • ...1 more annotation...
  • On peut soutenir en effet que cette pré-lecture n’est pas une « véritable » lecture, parce que lire – de manière soutenue, profonde ou attentive - c’est toujours déjà relire, et (re)lire c’est en un sens toujours déjà écrire.
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