"Aujourd'hui, nous vous présentons Bénigne Vinot, salariée du diocèse et directrice du centre spirituel diocésain à Nancy. Pourquoi ? Parce que Bénigne, comme les 41 autres laïcs salariés en CDI du diocèse est rémunérée grâce à vos dons, grâce au Denier de l'Église.
À travers cette vidéo, nous vous emmenons suivre Bénigne pendant 24h pour découvrir une journée type dans sa mission et ainsi, son rôle au service du diocèse. Chaque jour, elle travaille à garantir un accueil de qualité à ceux et celles qui viennent se ressourcer au sein du centre spirituel de notre diocèse. Ce lieu, unique en France, accueille chaque jour des retraites individuelles et en groupe."
"Formation sur le terrain
Le parcours en ecclésiologie proposé dans le cadre de l'année de l'Église diocésaine s'adapte aux divers contextes locaux**.
Ici, on se retrouve avant la messe du dimanche ; là, on organise des repas-débat ; ailleurs, c'est une soirée en paroisse ou en équipe... Les idées ne manquent pas pour aider chacun à (re)découvrir ce qu'est et qui est l'Église.
Un peu partout les acteurs se mobilisent, à l'image de la communauté du Plateau de Haye (église La Vierge des Pauvres), au sein de la paroisse nancéienne La Sainte-Famille."
"Pour la première fois de l'histoire de la conférence épiscopale, les évêques ont associé un ou deux baptisés de chacun de leurs diocèses à leur session de travail de novembre 2019. L'invité nancéien, Francis Martin, livre son témoignage. "
"L'assemblée diocésaine des mouvements et associations de fidèles s'est penchée cette année sur le synode sur la synodalité.
"Chaque année nous avons, autour de notre évêque, une assemblée diocésaine des mouvements et associations de fidèles", explique Antoine Mérieux, délégué épiscopal aux mouvements et aux associations de fidèles. Et d'ajouter : "Cette journée permettait aux mouvements qui ne l'avaient pas encore fait de s'exprimer sur leur vision de ce "marcher ensemble" dans l'Église."
Clotilde Garnier, responsable du MRJC 54, est heureuse de cette démarche : "C'est intéressant qu'on nous demande notre avis pour savoir où l'on veut aller et comment améliorer la collaboration dans l'Église.""
"Ce lundi 31 et ce mardi 1 février s'est déroulée la session 2022 des laïcs en mission ecclésiale et coordinateurs paroissiaux. Ces deux journées avaient pour thème "marcher ensemble", en relation avec la démarche synodale.
Pour Thierry Alliotte, membre de l'équipe diocésaine du service de l'Évangile pour les malades, ce thème était essentiel et légitime dans le contexte actuel, contexte qu'il qualifie "de manque" puisqu'il y a "moins de prêtres, moins de bénévoles, moins de personnes engagées".
Un temps de prière autour de l'Evangile selon Saint Jean a permis de représenter les peurs et les questionnements d'aujourd'hui. Cette prière a également permis d'y répondre et appelle nos EAP, nos services, nos paroisses et nos mouvements à se recentrer sur la prière et le Christ."
"Comité de la Jupe Du 4 au 7 février, jupes et soutanes dissertent sur : « Les cultures féminines ». Ce thème, en effet, est au menu de l'assemblée annuelle du Conseil pontifical pour la culture. Comment les femmes y ont-elles été associées ? Le document préparatoire à cette assemblée a été rédigé, parmi une majorité de contributeurs masculins, avec la collaboration de quatre femmes italiennes. L'assemblée a été ouverte par une allocution de la présidente de la RAI qui a montré la variété et la qualité des contributions des femmes à la vie culturelle. Plusieurs débats ont été programmés, auxquels des femmes sont associées. Certains sont consacrés à la représentation du corps féminin, et le dernier, vendredi, qui traite de la place des femmes dans l'Église, sera assuré par une religieuse et par l'exégète française Anne Marie Pelletier. La rédaction et le vote du document conclusif de cette assemblée seront, eux, exclusivement réservés aux hommes, puisqu'aucune femme ne fait partie de l'assemblée en question. Enfin, Monseigneur Ravasi, président du Conseil pontifical pour la culture, envisage la tenue d'une autre rencontre ultérieure consacrée à l'identité féminine entre différentes religions. Pour que le tableau soit complet, deux autres petits faits doivent aussi être rapportés. Le fait que l'actrice italienne Nancy Brilli, ait rédigé le clip invitant au dépôt de candidatures a été critiqué; et la statue de Man Ray, à la lecture ambigüe, a été retenue comme photo affiche de l'événement. L'organisation WOW (Women's Ordination Worldwide) a fait connaître sa réponse.. Á sa suite, le Comité de la jupe regrette la faible représentation des femmes et surtout les nombreux a priori qui entachent l'objectivité du regard de l'Église sur les femmes : affirmation d'une vision soit disant « naturelle » de « la femme », différentialisme fondé sur une faible assise intel
Vivre sa mission en période de crise sanitaire. Entretien avec Martine Lefrancq-Bertoux, déléguée épiscopale pour l'accompagnement et la formation des laïcs missionnés