La justice canadienne a interdit une jeune élève de présence sur Facebook suite à des menaces proférées à l'encontre de deux camarades de classe.
Les habitudes de cette nouvelle génération habituée à l'ère électronique sont forts différentes de celles des précédentes. De nombreux utilisateurs oublient ou ne sont tout simplement pas conscients que les informations qui y sont publiées deviennent quasi publiques. Facebook exige que l'utilisateur ait au moins 13 ans, mais cela est impossible à vérifier... La supervision des parents demeure un autout majeur, mais le font-ils tous?
http://www.facebook.com/help/210644045634222/
Selon certains chercheurs, les bonnes nouvelles (qui ne causent pas de tristesse) circulent mieux sur les médias sociaux et sont davantage sujettes à être retransmis de manière virale.
ce qui compte, c’est de ne pas provoquer de tristesse
Il lui est apparu que plus un article est positif, plus on est susceptible de le faire suivre.
Pour qu’il y ait un effet de contagion, les zones associées à la cognition sociale doivent être activées. L’information qui circule peut alors vraiment devenir virale.
Travailler ensemble pour co-construire à distance un projet, une idéation, un rapport...Oui, mais quels éléments favorisent ces interactions? Une page Web pour quelques pistes de réflexion...
Effectivement, rien de surprenant de ce côté! Il serait intéressant de préciser la définition de « réseau social le plus utilisé ». Est-ce que ceci concerne les comptes actifs seulement? Il s'agit d'un point intéressant qui, sans pour autant changer la position de Facebook en tête de liste, pourrait faire varier les résultats.
« Activité-A » Le web peut être une plateforme éducative pour les enfants à l'aide de jeux attrayants. Il ne faut tout de même pas en oublier les dangers du web et le besoin des parents, sujet très médiatisé.
L'article présente le réseau social PATH qualifié d'intimiste.
Un réseau social intimiste est un réseau dans lequel votre nombre de contacts est limité.
L'avantage étant de bâtir un réseau qui ne soit un fourre-tout.
Les réseaux sociaux d’entreprise n’ont pas tenu leurs promesses de performance, de transversalité ou d’intelligence collective.
20% seulement des projets ont produit des résultats mesurables et positifs !