Un article qui exposent plusieurs objections à la mise en place du traité ACTA (Anti-Counterfeiting Trade Agreement) et qui s'inquiète de l' impact possible de ce traité sur certains service disponibles via le web 2.0. En prime la diffusion d'un vidéo d'une heure 30 d'un débat portant sur l'ACTA. Auteur : Fabrice Epelboin publié le 20 janvier 2010.
Article dont on retient deux choses: il est techniquement difficile de bloquer sélectivement certains sites pour certaines personnes et finalement la façon la plus simple d'obtenir ce blocage serait de demander directement aux administrateurs de ces sites de bannir les personnes en question. Mais il faudrait alors absolument passer par les tribunaux sinon on risque de créer un inquiétant précédent... Article par Chloé Woitier du Figaro.
Dans ce cas-ci la société des transports de San Francisco (BART) est passée à l'action et a empêché des manifestants de coordonner leurs actions de protestation en bloquant le service cellulaire à 4 stations. Les réactions des gens sont partagées, certains approuvent le geste de BART, d'autres comparent la situation à ce qui passerait en Chine...
Après l'Angleterre en 2008 (Wikipédia censuré) et les Etats-Unis (84 000 sites Web bloqués par erreur), la cour d'appel d'Anvers oblige à son tour deux opérateurs belges à bloquer des sites renvoyant à The Pirate Bay.
Le Committee to Protect Journalists présente les stratégies adoptées dans divers pays pour empêcher ou contrôler les échanges d'information et les réseaux sociaux.
L'arrivé du web 2.0 a bouleversé cet écosystème en donnant la possibilité à tout le monde d'avoir les moyens de devenir diffuseur d'information. Le web social est donc considéré un média « tous vers tous » car il permet un partage direct d'informations entre les individus. Ce qui a fait tomber les barrières de la censure, du titrage et de la vérité officielle imposée par les médias de masse.
Le poids politique des médias sociaux s'accentue. Les plateformes sociales, qui devaient permettre aux gens de se forger une identité et d'interagir avec la communauté sur le web, deviennent de puissants instruments de propagande, capable de déstabiliser une démocratie. Alors que certains appellent à la censure, d'autres évoquent la liberté d'expression. À grands pouvoirs grandes responsabilités et Facebook se retrouve désormais à l'heure des choix difficiles.