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"Le journaliste Jack Shafer de Reuters explique «Pourquoi nous votons pour des menteurs». «Dire la vérité n'est pas bon pour les campagnes, et si ça l'était, plus de gens le feraient». Et, les hommes politiques mentent perpétuellement pour être élus. Le fackchecking révèle de plus en plus ces mensonges, mais les hommes politiques ne cessent pas pour autant de mentir."

L'humanité désire la vérité aux bouts des lèvres et la nie du fond de son coeur

Une élection doit désormais concerner les hommes frans et sincères mais c'est le contraire qu'on assiste

Peut-on réellement prédire l'issue des élections présidentielles américaines de 2016 en analysant des données tirées des réseaux sociaux? L'avenir nous le dira...

« Bien que des processus démocratiques comme les élections et les votes parlementaires soient en place, un sentiment se développe que nos sociétés sont gouvernées par un groupe réduit d'acteurs économiques, politiques ou lié aux médias pour les besoins de leur richesse et de leur pouvoir. »

Un bon coup de Twitter dans lequel ils ont supprimé des comptes tentant de faire passer de fausses informations concernant les élections de mi-mandat aux États-Unis.

Après Facebook, Twitter emboîte le pas de la mise en avant-scène d'une bannière d'information officielle concernant les élections américaines. Devant l'ampleur du phénomène de la désinformation, les géants déploient des moyens sans précédent pour « guider » les internautes.

Article intéressant sur comment les médias sociaux sont utilisé lors d'élections. De plus, on voit que c'est une façon pour les candidats de pouvoir toucher leur électorat sans le filtre des médias traditionnels.

"Un premier sondage CNN/ORC réalisé auprès d'un échantillon d'électeurs enregistrés, ayant suivi le débat vice-présidentiel de jeudi soir entre le démocrate Joe Biden et le républicain Paul Ryan, donne les deux candidats à égalité, suite à ce face-à-face marqué par de vifs échanges sur plusieurs questions de politique étrangère et d'ordre interne. "

Le vice-président a su manager son adversaire

" Plusieurs y verront la première promesse électorale du Parti québécois. Si elle prend le pouvoir, Pauline Marois a annoncé hier qu'elle abolira la fameuse «contribution santé». Cette taxe de 200 $ par adulte a été instaurée par le gouvernement Charest en 2010 (elle était de 25 $ en 2010 et a été majorée progressivement à 200 $ cette année). Au dire de la chef péquiste, c'est «ce qui se fait de pire en matière de fiscalité» parce qu'elle est «injuste», «régressive» et «mauvaise pour l'économie». "

Les promesses électorales ne sont pas souvent respectées et les gouvernés se demandent à quoi ce choix à servir. Que nos politiciens respectent leur projet de société. La seule chose dont nous avons besoin, c'est la santé dans la quiétude.

Après le parti libéral hier, c'est autour du parti québecois de se mettre en ordre de bataille pour les prochaines élections qui seront vraisemblablement déclencher d'ici 2 semaines

En cette veille d'élections, j'aimerais rappeler à tous, peu importe votre allégeance politique, l'importance de l'enjeu de l'éducation et de la lutte au décrochage scolaire lorsque vous ferez votre choix dans l'isoloir.

Les médias sociaux sont de plus en plus utilisés lors des campagnes électorales pour influencer l'opinion du public. Internet a révolutionné les sondages dans le monde de la politique et les données sociales prennent une place de plus en plus importante dans l'analyse des tendances électorales.

À la veille des élections de mi-mandat aux USA, une nouvelle arme de conspiration apparaît : les fakes news à même les groupes fermés de Facebook.

Le poids politique des médias sociaux est encore méconnu. L'impact social des messages et nouvelles partisanes relayées sur les plateformes est un sujet d'étude complexe. Le respect de la vie privée et le consentement des usagers sont au cœur du problème. Facebook rassemble les conditions pour mener une étude d'envergure à l'occasion des présidentielles Américaines 2020.

Le poids politique des médias sociaux s'accentue. Les plateformes sociales, qui devaient permettre aux gens de se forger une identité et d'interagir avec la communauté sur le web, deviennent de puissants instruments de propagande, capable de déstabiliser une démocratie. Alors que certains appellent à la censure, d'autres évoquent la liberté d'expression. À grands pouvoirs grandes responsabilités et Facebook se retrouve désormais à l'heure des choix difficiles.

La nouvelle du jour, relayée par l'ensemble de mes sources de veille et bien plus encore. Clairement, on reconnaît une crise de confiance envers les grandes plateformes, reprochées de laxismes dans le contrôle des usages illégitimes des réseaux sociaux. Ceci explique l'appétit pour les gestes forts contre les actions malicieuses. Dans le cas présent, Twitter et Facebook ont mis un terme à une présumée tentative de mobilisation de journalistes professionnels sous un faux média, commandité par un groupe russe. L'objectif ultime étant de récolter une masse importante d'abonnés à l'aide d'éditoriaux crédibles, pour ensuite lancer des campagnes d'influences au moment opportun.

"Mark Hammil, Luke Skywalker dans Star Wars, dézingue Mitt Romney et appelle à voter pour Barack Obamaouvrir l'article original Lun 8 Oct 2012 à 08:11 depuis election aux usa - Bing Actualités Fermer ÉLECTIONS AMÉRICAINES ... pas seulement aux riches. Il s'intéresse à notre sort à tous. Il mérite un deuxième mandat", écrivait-il ensuite. Unlike the GOP, President Obama cares about more than the wealthy, he cares about us all."

Page personnelle Netvibe de Marc-Alexandre Dube

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