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Data breaches can have a big effect on a merger's overall value. There appears to be a worrying level of complacency toward the assessment of cyber-risks during M&A deals, despite increasing awareness of the cybersecurity risks facing businesses. International law firm Freshfields Bruckhaus Deringer found in a survey shared with Infosecurity that 90% of respondents believe cyber-breaches would result in a reduction in deal value; and 83% of dealmakers believe a deal could be abandoned if cybersecurity breaches are identified during deal due diligence or mid-transaction. Yet, too few tie-up architects are addressing the threat. A majority (78%) say that cybersecurity is not a risk that is currently analyzed in-depth or dealt with in deal due diligence. "It's surprising that dealmakers recognize the growing threat of cyber-attacks to businesses, but generally aren't addressing that risk during deals," said Chris Forsyth, co-head of the firm's international cybersecurity team. "You wouldn't dream of buying a chemicals plant without assessing environmental risk, so why would you buy a data-driven business without assessing the risks its faces around data management and cyber-security?" The firm said that the effect of a cyber-incident on value would work both ways - a business with a good track record and robust processes could be worth more than competitors, while a business with a bad track record could be worth less.

http://www.3news.co.nz/Chinese-cyber-war-intensifies/tabid/417/articleID/293604/Default.aspx Dans Shanghai externe, les conducteurs doivent directions à la recherche d'une base d'espionnage militaire chinois cachée quelque part dans un quartier à la recherche ordinaire. Il a appelé unité 61398 - censé pour abriter une unité secrète de piratage chinoise. Le public ne sont pas autorisé à proximité de l'immeuble de 12 étages ordinaire, et il y a une interdiction de tournage et de photographie. Le bâtiment est en fait le nerf centre d'et le quartier général de l'armée chinoise cyber responsable de cyber-attaques contre les Etats-Unis et peut-être d'autres pays, y compris la Nouvelle-Zélande. Unité 61398 a été découvert le mois dernier à quelle entreprise de sécurité américaine cyber Mandiant tracée 90 pour cent de ses interceptions identifiées au quartier - armée de libération populaire base. La Chine et son armée sont les suspects numéro un au monde pour cyber piratage, bien que l'armée chinoise a nié à la télévision nationale. Premier ministre John Key refuse de blâmer publiquement la Chine, mais une entreprise de sécurité de cyber Auckland affiche des attaques sur la Nouvelle-Zélande en temps réel et la plupart viennent de Chine. Et la tâche de protéger la Nouvelle-Zélande de cette nouvelle guerre incombe au n'est autre que d'espionner l'Agence GCSB. La cyberguerre est réel. M. Key a révélé cette semaine la Nouvelle-Zélande entreprises ont été victimes de l'espionnage industriel. Il est probable que les enregistrements de client ou même idées ont été volées. La Nouvelle-Zélande n'est pas comme suspecte de la Chine comme d'autres pays. Etats-Unis le Président Barack Obama prend au sérieux les attaques. "Maintenant, nos ennemis cherchent aussi la capacité de saboter notre réseau électrique, nos institutions financières, nos systèmes de contrôle du trafic aérien," dit-il. « Nous ne pouvons regarde