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Alexandre Serres

Entretiens du Nouveau Monde industriel 2011 (1/3) : philosophie et anthropolo... - 0 views

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    "L'édition 2011 des Entretiens du Nouveau Monde industriel organisée par l'Institut de recherche et d'innovation du Centre Pompidou, le pôle de compétitivité Cap digital et l'Ensci - les ateliers avait cette année pour thème "Confiance, méfiance et Technologies". L'occasion de revenir sur comment les technologies produisent de la confiance et de la défiance."
peir ric

Travailler sa crédibilité sur le web, pourquoi ? > Blog AxeNet - 0 views

  • Être crédible et gagner la confiance des gens repose sur deux facteurs principaux. Ne pas tricher ou mentir, et tenir sur la durée.
  • Combien de fois ai-je entendu : Pourquoi ce concurrent bien plus petit que moi est-il plus visible ? Que voulez-vous que je raconte sur mon métier ? Et combien de fois ne me demande-t-on malheureusement pas : Comment d'autres propriétaires de sites peuvent-ils me faire confiance ? Qu'est-ce qui intéresse les personnes que je souhaiterais fidéliser ?
  • Je n'ai jamais publié pour faire ma promotion, mes articles existent pour répondre aux questions de mes visiteurs. Mon blog est tout sauf publicitaire. J'ai à la longue acquis la confiance de mes pairs et de centaines de webmasters et ceux-ci me font parfois des liens naturellement.
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    la qualité du contenu, un kick off buz peut aider, et le temps long et régulier
peir ric

Arrêtez de vous plaindre, vous avez le fil d'actus que vous méritez | FredCav... - 0 views

  • Ces pratiques de publication de faux articles sont donc plus répandues que nous ne le pensons. 
  • Le problème n’est pas l’existence de faux sites d’information, mais le relais de leurs articles à grande échelle.
  • En clair : Facebook est-il un média (qui diffuse de l’information) ou une plateforme sociale (qui héberge des contenus) ? 
  • ...23 more annotations...
  • Cette posture les arrange, car comme ça ils n’ont pas à subir les contraintes des médias (responsabilité du directeur de la publication en cas de diffamation…),
  • mais bénéficient quand même d’une très large audience qu’ils peuvent monétiser auprès des annonceurs.
  • Mais ça serait oublier que depuis 2 ans ils travaillent très dur pour faire de Facebook la première source d’information, notamment en draguant les éditeurs de sites d’informations pour héberger leurs articles grâce à la fonction Instant Articles.
  • Les choses se sont accélérées cet été avec le scandale du bloc « Trending News » : une petite équipe de modérateurs humains étaient en charge de la modération des actualités
  • Certains observateurs se sont rendu compte que cette équipe ne relayait que très peu d’articles sur les candidats républicains (et Trump en particulier), ils s’en sont plaint et l’équipe a été remplacée par un algorithme
  • Il faut dire que les internautes sont maintenant exposés à un nombre ahurissant de sources et à une somme toujours plus importante d’unités d’information
  • La solution serait de réglementer les publications sur Facebook en supprimant celles qui sont jugées fausses. Le problème est que c’est un jeu dangereux, car la frontière avec une forme de censure est très fine.
  • Idéalement, il serait plus simple de scinder en deux le news feed avec d’un côté ce qui relève du divertissement, et de l’autre les actualités plus sérieuses, mais ça voudrait dire diminuer la puissance de Facebook, donc ses revenus.
  • En fait, quand on y réfléchit bien, on se dit qu’au départ, l’idée de mélanger actualités sérieuses, contenus divertissants et partages de vos proches, le tout en respectant l’étique et la rigueur journalistique est une promesse impossible à tenir.
  • es équipes de Facebook ne décident pas de ce qui va être publié sur votre fil d’actus, ils ne l’ont jamais fait.
  • Vous noterez que cela s’applique également à Twitter où le bloc « Trending topics » peut être facilement détourné en mettant à contribution un certain nombre de personnes pendant un court laps de temps, mais il se trouve que c’est à Facebook qu’on le reproche, car la portée est plus grande.
  • Et si le vrai coupable dans cette histoire était tout simplement l’infobésité ?
  • Le filtrage des publications sur le news feed est régit par un ensemble de règles qui reposent sur les choix des utilisateurs eux-mêmes (les articles qu’ils ont aimés ou relayés précédemment).
  • Le vrai problème est que les internautes ont une attention limitée, ils privilégient donc les sources d’informations qui leur apportent le plus de satisfaction avec un minimum d’effort
  • Puisque les utilisateurs peuvent avoir tout ça auprès d’une source unique, gratuite, qui tient dans la poche (leur smartphone) et qu’en plus ils peuvent retrouver dessus leurs amis d’enfance et avoir des nouvelles du petit cousin, alors pourquoi continuer à payer un abonnement pour un journal papier qui déblatère toujours les mêmes histoires (les réactions aux réactions des politiques) et des journalistes qui ne savent même plus anticiper les résultats des élections ?
  • Avec ce raisonnement, on se retrouve avec l’outil de communication le plus puissant de l’histoire de l’humanité, mais sans aucun mode d’emploi ou précaution d’utilisation.
  • un outil numérique (Facebook) qui remplace un support analogique (les journaux papier) avec des utilisateurs qui ne changent pas leurs habitudes (« je me nourris tous les jours avec de l’info« ) et ne savent pas prendre un minimum de recul (« si c’est écrit, c’est que c’est vrai« ).
  • Au final, la seule véritable solution durable à ce problème de faux articles serait d’éduquer les utilisateurs
  • vérifier la source (l’origine de la publication)
  • ne pas se laisser influencer (vérifier celui ou celle qui relaie)
  • ne pas relayer sans avoir lu ou vérifié…
  • Et n’oubliez pas que le premier filtre, c’est vous, pas un algorithme auto-apprenant conçu à l’autre bout du monde.
  • Conclusion : le média idéal n’existe pas. Vous pouvez faire confiance à Facebook pour vous divertir (de même qu’à Instagram ou Youtube), mais vous ne pouvez pas leur faire confiance pour vous informer ou vous instruire (c’est le pré carré des professionnels de l’information).
Alexandre Serres

Ressources jeunesse | Les 18-24 ans et l'information dans les médias - 1 views

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    Extraits du Baromètre 2012 de confiance dans les médias (La Croix-TNS/Sofrès) 6 février 2012.
peir ric

S'informer à l'ère numérique - 1 views

  • S’informer, au sens d’acquérir des connaissances vraies et pertinentes, mettre en forme, savoir et comprendre, éclairer la réalité, créer du sens,
  • Le facteur de l’oubli : celui qui fait que les médias s’intéressent aux thèmes qui intéressent les médias, qui pensent que les gens s’y intéressent.
  • oubliant des pans entiers de la réalité.
  • ...15 more annotations...
  • Le mensonge délibéré, bien sûr, l’information reformatée, décontextualisée, redécoupée, sélectionnée, la propagande, le faux contexte où la fausse légende, la désinformation / mésinformation,
  • l'amnésie s'instaure vite par surabondance,
  • Le quasi secret, la connivence entre les élites journalistiques, politiques, de l’autocensure
  • La surabondance de l’information elle-même
  • La rareté apparente : le fait qu’une information soit minoritaire, difficile à trouver, ou qu’elle ait été trouvée par un procédé compliqué ou grâce à un logiciel sophistiqué ne garantit en rien qu’elle soit plus pertinente que celle du JT regardé par des millions de gens.
  • Le risque du miroir ou de la contagion:
  • faire un « copier-coller »
  • Le pire est qu'au cours de ce processus sur les réseaux, chacun est tenté soit de citer ou recommander sans avoir vraiment lu ou vu la source primaire
  • La tentation, bien connue dans le phénomène de la rumeur p.e., de vouloir en rajouter pour gagner en prestige est ici aggravé par la facilité à contribuer et documenter.
  • La « bonne » nouvelle, c’est que tout cela est connu depuis longtemps : la rhétorique - art de persuader - est étudiée depuis deux millénaires et demi, il existe des listes de sophismes et de biais cognitifs depuis des siècles ; dès les années 20, des scientifiques ont établi les listes des procédés typiques de la propagande et ont décrit la façon de les détecter.
  • Mais le pire est le danger que chacun porte en soi. La tentation d’adopter la version de la réalité la plus simple, celle qui flatte le mieux nos stéréotypes ou nos conceptions idéologiques, celle que partage notre groupe, notre famille intellectuelle.
  • nos biais cognitifs, erreurs de raisonnement, conformismes, persistance des idées reçues, dissonance cognitive
  • e demander d’où provient l’information, reconstituer le trajet d’une dépêche ou d’une image, s’interroger sur les intérêts des acteurs qui la produisent ou la diffusent ; se méfier de la force de l’image et de l’émotion du direct, comparer des sources de différentes cultures ou de différentes familles idéologiques.
  • La « mauvaise » nouvelle, c’est que tout cela prend un temps considérable : vérifier, comparer, analyser est un travail que nous ne pouvons faire toujours et dans tous les domaines.
  • En clair : la quête de l'information va d'un processus de repérage et autorité vers un processus de confiance et coproduction. Ce n'est pas une catastrophe en soi ; c'est une nouvelle règle du jeu à apprendre.
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    récapitulatif des processus qui tendent à biaiser la réception de l'information. Besoin de veille en mode collaboratif
peir ric

Désinformation, l'offensive russe - Le Temps - 0 views

  • Il est entretenu en particulier par la diffusion de fausses informations ou de théories du complot de la part des télévisions et des sites internet financés par le Kremlin, principalement Russia Today (RT) et Sputnik.
  • La désinformation comme arme de guerre «asymétrique» a été remise au goût du jour par les stratèges militaires chinois dans les années 1990.
  • En Russie, c’est le général Valeriy Gerasimov qui l’a théorisée. On parle aujourd’hui de «doctrine Gerasimov».
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  • l’objectif n’est plus, comme du temps de l’Union soviétique, de vendre un modèle mais de «saper la notion de vérité objective et la possibilité même de faire du journalisme».
  • d’affaiblir l’immunité morale face à la propagande»
  • «réduire la confiance dans les sources du savoir» des sociétés occidentales. «Avec des médias traditionnels, les réseaux sociaux, des SMS et des trolls, la Russie, comme l’Etat islamique, tente de décrédibiliser les processus démocratiques»,
  • En 2006, Vladimir Poutine déclarait devant le parlement russe qu’il fallait penser les conflits en termes de «supériorité intellectuelle», de façon «asymétrique» et «moins coûteuse».
peir ric

Actualités de la visualisation de données : 3 regards critiques - 0 views

  • Les données géolocalisées poussent à la cartographie.
  • certaines données ne se prêtent pas à cet exercice.
  • L’analyse de réseau réduit la réalité à un mode visuel qui fait parfois perdre la singularité de ce qui fait le lien entre deux éléments étudiés, avec le risque évident que l’analyste se cantonne à étudier la portion de ses données qui peuvent être visualisées en réseau sans traiter les autres, plus qualitatives.
  • ...2 more annotations...
  • l’analyste porte la lourde responsabilité du choix des données qu’il met en scène
  • non seulement la forme des questions conditionne les réponses, mais la présentation de ces dernières n’est jamais dénuée d’une certaine décision “scientifique” (ou “idéologique” ?). Faut-il faire confiance ou exiger les données brutes ?
peir ric

Démasquer les faux avis du Web | CNRS le journal - 1 views

  • Le manque de crédibilité de la source d’un avis affecte à la fois le prestataire de services évalué (par exemple l’hôtel ou le restaurant) et le site d’avis lui-même.
  • Le développement des logiciels de détection des faux avis
  • grâce aux travaux des linguistes sur le mensonge, sont parvenus à identifier certaines caractéristiques textuelles propres aux faux avis.
  • ...8 more annotations...
  • les agences d’e-réputation spécialisées dans la création de faux avis savent adapter leur style de rédaction aux plus récentes avancées des systèmes de détection.
  • Les limites potentielles des algorithmes fondés uniquement sur l’analyse textuelle des avis m’ont poussé à y inclure des facteurs contextuels susceptibles d’aider les internautes à détecter les faux avis.
  • L’objectif de cette deuxième stratégie place l’internaute et ses compétences « numériques » au centre des intérêts.
  • analysé l’importance et l’utilité de différentes caractéristiques contextuelles d’un avis
  • L’un des indicateurs les plus pertinents est la cohérence entre cet avis particulier et la moyenne des notes attribuées par les autres internautes au produit ou au service en question.
  • Si un avis très positif se distingue très clairement des avis précédents, un certain niveau de scepticisme semble opportun.
  • si l’auteur d’un avis révèle des informations sur son identité (nom, ville, âge) et le contexte de l’expérience (en couple, seul/e), cela affecte également la crédibilité d’un avis et de son auteur
  • Finalement, comme pour toute tentative et acte de fraude, la pratique des faux avis semble étroitement liée à la nature des mesures incitatives : dans un environnement où tout acteur sait que la meilleure stratégie est de respecter les règles du jeu et de dire la vérité, les pratiques frauduleuses perdent tout intérêt.
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    " Un détournement des sites d'avis privera, par exemple, les entreprises d'une source importante de retours d'exp"
peir ric

Fake news, la complexité de la désinformation - First Draft News FR - 1 views

  • Les différents types de contenus créés et partagés
  • Les motivations des personnes à l’origine de ces contenus
  • Les modes de diffusion de ces contenus
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  • Ainsi, les éléments d’information se diffusent à grande vitesse grâce aux réseaux pair-à-pair reposant sur des relations de confiance.
  • Lorsque nous recevons plusieurs messages sur un même sujet, notre cerveau considère cela comme un gage de crédibilité. Une information lue plusieurs fois dans une même journée est souvent considérée vraie.
  • L’écosystème de l’information est tellement pollué que nous devons prendre nos responsabilités et vérifier de manière indépendante le contenu que nous rencontrons en ligne.
  • Je suis totalement d’accord. Il ne s’agit pas uniquement de développer plus de projets d’éducation à l’information, mais d’apprendre aux gens à douter de leurs réactions instinctives. Si un élément d’information vous fâche terriblement ou vous ravit (car il réaffirme votre point de vue), réexaminez-le.
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