Skip to main content

Home/ Evaluation de l'information/ Group items tagged propagande

Rss Feed Group items tagged

Alexandre Serres

Comment les gouvernements utilisent Facebook et Twitter pour leur propagande - Politiqu... - 0 views

  •  
    Corentin Durand, "Comment les gouvernements utilisent Facebook et Twitter pour leur propagande", Numerama, 20 juin 2017
peir ric

Contre-propagande - 3 views

  • Il nous semble qu'il y a pour le moins un problème de compréhension des grilles culturelles inversées
  • le comble de l'horreur pour nous -montrer que l'on fait des victimes désarmées ou que nos combattants risquent de mourir - peut être pour l'autre une perspective exaltante.
  • Et rajouter un simple jugement moral conforme à nos critères occidentaux (victimes, horreur, enfer, mort, terreur) ne désamorce pas la force d'humiliation et de défi des images qu'ils nous lancent à la face.
  • ...3 more annotations...
  • Nos images repoussantes sont leurs images pédagogiques.
  • Ajoutons que cette campagne sensés s'adresser à des jeunes qui passent leur temps sur les réseaux sociaux et ne croient plus un mot de ce que disent les médias classiques ou les autorités en général.
  • Notre contre-propagande fonctionne suivant le schéma du dévoilement -ils ne savaient pas, nous leur montrons- et sur la supposition que l'exposition à la vérité suscite les mêmes jugements moraux chez tous les êtres humains. Des présupposés qu'il faudrait peut-être réexaminer.
peir ric

S'informer à l'ère numérique - 1 views

  • S’informer, au sens d’acquérir des connaissances vraies et pertinentes, mettre en forme, savoir et comprendre, éclairer la réalité, créer du sens,
  • Le facteur de l’oubli : celui qui fait que les médias s’intéressent aux thèmes qui intéressent les médias, qui pensent que les gens s’y intéressent.
  • oubliant des pans entiers de la réalité.
  • ...15 more annotations...
  • Le mensonge délibéré, bien sûr, l’information reformatée, décontextualisée, redécoupée, sélectionnée, la propagande, le faux contexte où la fausse légende, la désinformation / mésinformation,
  • l'amnésie s'instaure vite par surabondance,
  • Le quasi secret, la connivence entre les élites journalistiques, politiques, de l’autocensure
  • La surabondance de l’information elle-même
  • La rareté apparente : le fait qu’une information soit minoritaire, difficile à trouver, ou qu’elle ait été trouvée par un procédé compliqué ou grâce à un logiciel sophistiqué ne garantit en rien qu’elle soit plus pertinente que celle du JT regardé par des millions de gens.
  • Le risque du miroir ou de la contagion:
  • faire un « copier-coller »
  • Le pire est qu'au cours de ce processus sur les réseaux, chacun est tenté soit de citer ou recommander sans avoir vraiment lu ou vu la source primaire
  • La tentation, bien connue dans le phénomène de la rumeur p.e., de vouloir en rajouter pour gagner en prestige est ici aggravé par la facilité à contribuer et documenter.
  • La « bonne » nouvelle, c’est que tout cela est connu depuis longtemps : la rhétorique - art de persuader - est étudiée depuis deux millénaires et demi, il existe des listes de sophismes et de biais cognitifs depuis des siècles ; dès les années 20, des scientifiques ont établi les listes des procédés typiques de la propagande et ont décrit la façon de les détecter.
  • Mais le pire est le danger que chacun porte en soi. La tentation d’adopter la version de la réalité la plus simple, celle qui flatte le mieux nos stéréotypes ou nos conceptions idéologiques, celle que partage notre groupe, notre famille intellectuelle.
  • nos biais cognitifs, erreurs de raisonnement, conformismes, persistance des idées reçues, dissonance cognitive
  • e demander d’où provient l’information, reconstituer le trajet d’une dépêche ou d’une image, s’interroger sur les intérêts des acteurs qui la produisent ou la diffusent ; se méfier de la force de l’image et de l’émotion du direct, comparer des sources de différentes cultures ou de différentes familles idéologiques.
  • La « mauvaise » nouvelle, c’est que tout cela prend un temps considérable : vérifier, comparer, analyser est un travail que nous ne pouvons faire toujours et dans tous les domaines.
  • En clair : la quête de l'information va d'un processus de repérage et autorité vers un processus de confiance et coproduction. Ce n'est pas une catastrophe en soi ; c'est une nouvelle règle du jeu à apprendre.
  •  
    récapitulatif des processus qui tendent à biaiser la réception de l'information. Besoin de veille en mode collaboratif
peir ric

Désinformation, l'offensive russe - Le Temps - 0 views

  • Il est entretenu en particulier par la diffusion de fausses informations ou de théories du complot de la part des télévisions et des sites internet financés par le Kremlin, principalement Russia Today (RT) et Sputnik.
  • La désinformation comme arme de guerre «asymétrique» a été remise au goût du jour par les stratèges militaires chinois dans les années 1990.
  • En Russie, c’est le général Valeriy Gerasimov qui l’a théorisée. On parle aujourd’hui de «doctrine Gerasimov».
  • ...4 more annotations...
  • l’objectif n’est plus, comme du temps de l’Union soviétique, de vendre un modèle mais de «saper la notion de vérité objective et la possibilité même de faire du journalisme».
  • d’affaiblir l’immunité morale face à la propagande»
  • «réduire la confiance dans les sources du savoir» des sociétés occidentales. «Avec des médias traditionnels, les réseaux sociaux, des SMS et des trolls, la Russie, comme l’Etat islamique, tente de décrédibiliser les processus démocratiques»,
  • En 2006, Vladimir Poutine déclarait devant le parlement russe qu’il fallait penser les conflits en termes de «supériorité intellectuelle», de façon «asymétrique» et «moins coûteuse».
peir ric

Photo de guerre: l'illusion de la transparence - L'image sociale - 0 views

  • Au-delà de la question de la sensibilité du public, la difficulté majeure de cette iconographie réside dans le fait que l’événement participe d’une opération de propagande, à l’instar des vidéos de décapitation des otages américains ou anglais récemment diffusées.
  • l’autre, même lorsqu’il n’est pas un ennemi, est toujours perçu comme quelqu’un à voir, et non comme quelqu’un qui (à notre exemple) voit aussi4.»
  • Montrer ou ne pas montrer la violence? Le débat refait surface avec régularité, car il semble contredire l’idée selon laquelle la presse aurait pour mission de transmettre l’information de manière neutre et objective. La censure n’est-elle pas le contraire du journalisme?
  • ...15 more annotations...
  • Ancien marine, le photographe a toujours considéré avec gêne le destin d’une image devenue un symbole anti-guerre, estimant qu’il avait reçu le Pulitzer pour la «mauvaise photo3». La signification de ce cliché a échappé à son auteur, et s’est construite à l’encontre de sa propre perception.
  • La première leçon de ces images, c’est que leur sens varie en fonction des convictions du spectateur.
  • En d’autres termes, la censure des images est moins une question de respect des victimes que le signe d’une prise de parti géopolitique. Pourquoi toutes les images de victimes ne sont-elles pas floutées ou censurées? Pourquoi voit-on si rarement des images de victimes occidentales? Pourquoi le fond de commerce du photoreportage est-il l’exploitation de la douleur de populations non-occidentales?
  • Le floutage du visage des victimes constitue par exemple une forme d’édition du matériau propagandiste, qui permet au journalisme de retrouver ses droits.
  • la notion de biais, qui fait apercevoir que le chercheur n’est pas un spectateur neutre dépourvu de préjugés, mais qu’il est au contraire partie prenante de l’observation
  • Construite autour de la notion d’objectivité, la doctrine journalistique ignore que l’observateur fait partie d’un camp, dont elle promeut naïvement la vision. C’est bien en raison de cette appartenance que les journalistes deviennent les victimes de mouvements qui ont déclaré la guerre à l’Occident.
  • De son côté, Emin Ozmen affirme qu’il comprend le débat soulevé par son reportage. Il estime cependant que «cette réalité sanglante que nous vivons au Moyen-Orient, il faut que tout le monde la constate et que l’on agisse pour empêcher cela».
  • une image fait corps avec sa légende ou son commentaire, qui lui donne sens
  • La deuxième leçon consiste à ne pas considérer l’image comme un vecteur d’information isolé, qui porterait en lui-même les conditions de sa lecture. En réalité, l’interprétation d’une photographie dépend très largement de la manière dont elle est présentée
  • La troisième leçon consiste à admettre que le refus de publication ou la censure n’est pas une exception dans un univers de transparence absolue, mais au contraire la forme la plus banale de l’exercice journalistique, qui consiste à sélectionner, à hiérarchiser et à qualifier l’information, autrement dit à choisir ce qui peut être publié, et dans quelles conditions.
  • impasse d’une communication directe des photographies.
  • L’antithèse montrer/ne pas montrer et ce à quoi elle renvoie, c’est à dire au contrôle d’une information qui ne peut jamais être transparente, ne concerne pas seulement les images de guerre.
  • Elle se manifeste dans ce contexte parce que la guerre est la montée au paroxysme d’une événementialité qui met à nu les mécanismes fondamentaux de la médiation.
  • montrer/ne pas montrer est l’opposition à laquelle nous confronte toute forme éditoriale, car toute information suppose des choix et une prise de parti.
  • La vraie réponse à la question de la monstration est: « Il n’y a pas d’image transparente ». C’est la meilleure objection aux visées de la propagande ou du terrorisme.
peir ric

Rumeurs complotistes : de la croyance à la défiance | InaGlobal - 0 views

  • une petite construction narrative,
  • une révélation inquiétante,
  • une source d’autorité donnant tout son poids et sa crédibilité au message (la fameuse « source sûre »)
  • ...36 more annotations...
  • Elle est une forme langagière, une forme de discours, et une forme de discussion qui relève de la sociabilité.
  • une anticipation du discrédit (ce n’est pas une plaisanterie)
  • enfin, une diffusion « rumorale », c’est-à-dire par des canaux interindividuels et informels qui échappent aux radars de l’État et des médias généralistes.
  • une rumeur qu’on observe en temps de guerre), est dévoilée par un ennemi qui alerte quelqu’un lui ayant rendu service de façon désintéressée, ici en lui rendant son portefeuille
  • Ces récits ne sont pas seulement à lire sous l’angle de la psychologie sociale, selon laquelle ils expriment des peurs collectives
  • On peut plutôt les penser comme des constructions de groupe, identitaires, passant par des outils dédiés et maîtrisés, avec un contenu et des objectifs politiques, mais dont l’entrée sur le marché de l’information ne se fait plus maintenant sans résistance
  • prendre le contenu des rumeurs au sérieux, aussi fantaisiste paraisse-t-il car, pour ses tenants, il sert à donner du sens aux événements, ou à intervenir et porter des jugements sur le monde social et l’action politique
  • La rumeur stricto sensu est une construction collective, à l’instar des contes et des histoires drôles
  • , la viralité permet de toucher des groupes qui sont éclatés géographiquement, mais partagent une socialisation, une culture ou une religion communes, qui les rend réceptifs à des messages particuliers.
  • Le « rumoral » renvoie à la modalité de circulation d’informations dans des groupes qui ne prétendent pas en vérifier la véracité, ou n’ont pas de raisons de le faire
  • Ce qui est intéressant tient dans la capacité d’un groupe à produire et échanger des rumeurs, donc à « dire en groupe ».
  • Le sociologue allemand Norbert Elias avait montré en 1965 dans son livre Logiques de l’exclusion que le commérage manifestait la présence d’un groupe intégré, et avait précisément pour fonction de l’intégrer encore davantage, et de lui conférer une identité propre contre un autre groupe, qui est justement l’objet négatif de tous les discours. « Dire le groupe », cette fois.
  • Les rumeurs en général et, en particulier, les rumeurs complotistes, donnent donc prise à un discours de défiance dirigé vers l’extérieur,
  • Au point que le travail sur les rumeurs devrait porter davantage sur les groupes que sur la rhétorique propre des messages.
  • Non seulement d’ailleurs le démenti ne met pas fin à la rumeur, mais il la fait connaître à ceux qui l’ignoraient. Une expérience menée aux États-Unis a aussi montré l’existence d’un backfire effect, un obstacle à la déconstruction des rumeurs
  • Le poids des rumeurs dans la formation des croyances attire souvent l’attention dans les moments de crise, parce qu’elles témoignent de basculements cognitifs qui n’avaient pas été anticipés, et qu’elles renvoient à des phénomènes de foule jugés inquiétants.
  • une formulation normative (ne pas sortir)
  • Internet constitue pour les messagers complotistes un écrin gratuit, qui permet d’animer une communauté de convaincus et de militants de la cause.
  • Pourtant, il ne circule pas nécessairement davantage de rumeurs en période critique, même si nous pouvons avoir cette impression, sans doute parce que leur contenu est plus frappant ou dérangeant dans les temps troublés.
  • Les rumeurs de crise ou de guerre portent des motifs narratifs universels, que l’on retrouve dans des sociétés et à des époques très différentes.
  • des rumeurs sur le « vrai » nombre de victimes des violences, revu à la hausse ; car les informations officielles le sous-estimeraient.
  • donnent des éléments factuels encore plus tristes sur les vies fauchées
  • « à qui profite le crime »
  • Comme s’il était impossible de penser la violence de l’autre, les rumeurs complotistes déplacent la responsabilité de la violence. Pour la trouver partout, sauf chez ceux qui la revendiquent,
  • Le motif narratif qui pose que certains individus ou groupes étaient au courant de l’attaque qui allait se produire est fréquent.
  • La rumeur est la forme que peuvent prendre une idée, un discours, ou une revendication, pour pénétrer le marché de l’information.
  • contrer le monopole des médias, et entend fabriquer un espace public alternatif à l’espace public médiatisé
  • une parole « citoyenne », non filtrée, qui relèverait du sens commun et dirait le vrai
  • Il s’agit de court-circuiter le gatekeeping des médias, pour fonder une communication de citoyen à citoyen.
  • Sauf que les rumeurs complotistes et les informations journalistiques n’ont pas nécessairement la même nature, et cette différence autorise la mise à distance des discours rumoraux, et les résistances à leur légitimité comme information
  • les articles complotistes ne s’embarrassent pas du minutieux travail de vérification des sources et du fact-checking journalistique
  • Ils n’ont rien de commun non plus avec la production scientifique de connaissances, comme l’a montré le philosophe Mathias Girel
  • D’autre part, le message conspirationniste occulte sa dimension idéologique ou sa dimension politique radicale.
  • se poser en victimes des médias « officiels »
  • et surtout d’exister un temps dans la presse généraliste
  • e livrer à la vindicte divers ennemis qui écrasent leur prétendue parole citoyenne
peir ric

L'avenir, une catégorie anthropologique - La Vie des idées - 0 views

  • Ainsi, son analyse de l’incertitude sociale qui affecte les communautés nationales dans la globalisation, et du rôle décisif qu’elle joue dans le surgissement de mouvements ethnocidaires à l’égard des minorités (développée dans Géographie de la colère et reprise dans La Condition de l’homme global), permet de mieux comprendre la montée des extrêmes qui déchire la France de 2014.
  • Appadurai argumente que ces formes de « démocratie sans frontières » sont plus proches de l’idéal démocratique, puisqu’elles ne limitent pas la portée de valeurs universelles à un territoire restreint.
  •  Dans un monde en transformation rapide, où les marchés, les médias et la migration ont déstabilisé les niches sûres de la connaissance, [...] la capacité à distinguer la connaissance de la rumeur, la réalité de la fiction, la propagande de l’information et l’anecdote de la tendance à long terme est désormais vitale pour l’exercice de la citoyenneté informée. »
  • ...21 more annotations...
  • Appadurai incite ainsi à faire de l’anthropologie un outil démocratique au service du peuple, capable de participer à la profonde mutation du politique dans la globalisation.
  • Caractéristique des mouvements transnationaux de la société civile, cette « éthique de la possibilité » serait authentiquement démocratique, car capable « d’intégrer une pluralité de visions de la bonne vie »
  • D’une façon ou d’une autre, l’anthropologie continue à s’intéresser à la logique de la reproduction, à la puissance de la coutume, à la dynamique de la mémoire, à la persistance de l’habitus, au mouvement figé du quotidien et à la ruse de la tradition dans la vie sociale, y compris chez les communautés les plus modernes, celles par exemple des scientifiques, des réfugiés, des migrants, des évangélistes et des stars de cinéma. »
  • L’anthropologie aurait également contribué à la prédominance de la conception du futur comme risque, en laissant à l’économie le monopole du futur.
  • aujourd’hui internationalement dominée par des techniques et des mentalités « orientées vers la manipulation ou la résistance au risque, comprises comme la représentation statistique de toutes les incertitudes de la vie »
  • le risque est devenu un thème central de la théorie économique.
  • la catégorie des tournois de valeurs.
  • En transmettant aux plus démunis un savoir concret sur les moyens d’arriver à leurs fins, les mouvements de la société civile permettraient donc de combler des manques de la démocratie classique.
  • Habitués à ne pas être écoutés et à ne pas voir leurs désirs se réaliser, les pauvres auraient une « capacité à l’aspiration » moindre que les riches.
  • Son analyse de la mondialisation l’a amené à réviser la conceptualisation anthropologique de la localité, qu’il invite à percevoir non plus comme un support de la vie sociale, mais comme le produit d’un effort collectif de différenciation, éminemment processuel, relationnel et conflictuel
  • Lesmenaces permanentes de déplacement et de destruction pesant sur les plus démunis les empêcheraient d’exercer une citoyenneté réelle, révélant une zone d’ombre de la démocratie.
  • Dans son dernier livre, après avoir montré que l’économie néolibérale est un système culturel, il développe une réflexion sur les mouvements de solidarité transnationaux, à partir d’une recherche menée auprès d’associations de défense des pauvres de Mumbai.
  • Ainsi, le nouvel esprit du capitalisme consisterait en une capacité à calculer le risque et à affronter l’incertitude, nouveau paradigme de notre temps.
  • En faisant ce parallèle, Appadurai tire le néolibéralisme de son halo de technicité pour le lire comme un système culturel.
  • Avec sa notion de « capacité à l’aspiration », comprise comme la capacité à imaginer des futurs crédibles, Appadurai confirme son intérêt pour la dimension intime de la vie sociale, et son habileté à en tirer des thèses d’anthropologie politique.
  • Appadurai réalise une audacieuse analyse comparative entre la Bourse et la Kula, un système d’échange cérémoniel pratiqué entre différents groupes de Papouasie Nouvelle-Guinée qui est souvent cité comme un contre-modèle de l’esprit marchand « occidental »
  • Appadurai invite à reconsidérer la demande et la consommation comme des forces centrales de l’économie politique, et par conséquent à penser l’impact des gens ordinaires sur le système global.
  • Les objets étant porteurs de valeurs culturelles, le renouvellement rapide des modes et la circulation globale des marchandises constitueraient des forces démocratiques déstabilisantes pour les élites politiques contemporaines.
  • Appadurai invite à prêter attention aux moments où les objets en circulation entrent et sortent du statut de marchandise
  • Dans La Condition de l’homme global, il entreprend un large travail de relecture des classiques de l’anthropologie économique, à l’aune de la globalisation néolibérale.
  • Plus qu’une réflexion sur le monde contemporain, il s’agit d’un appel à appréhender le futur en tant que fait culturel, en vue de mettre en place une « politique de l’espoir »
1 - 7 of 7
Showing 20 items per page