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Eric Delcroix

Métier : les savoir-faire du community manager? - 7 views

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    sondage métier : les savoir-faire et compétences du community manager ?
Christophe Deschamps

Ce qui manque aux médias sociaux ? L'intelligence - 4 views

  • La valeur de ces outils dans l’entreprise repose sur l’intelligence, et ce à double titre :- l’intelligence que les utilisateurs y déposent- l’intelligence dont ils font preuve pour s’y retrouver
  • Aujourd’hui les utilisateurs les plus actifs en entreprise sont ceux qui satisfont le second critère, que ce soit par habitude personnelle ou capacité à apprendre vite. Ce qui pose deux problèmes :- la valeur résultant d’un certain niveau critique d’utilisation, il faut aller au delà de ce premier groupe de personnes et rendre les choses simples pour n’importe qui dans l’entreprise.- tout étant question de temps, il est logique qu’au niveau de l’entreprise on soit soucieux de voir les collaborateurs utiliser leur temps pour partager de l’intelligence et l’utiliser dans le cadre de leur travail que la trier pour se la rendre utilisable.
  • il serait bon de ne pas seulement se fier à l’intelligence des utilisateurs mais également essayer d’incorporer une forme d’intelligence dans le produit. Autrement dit, après avoir exploré la manière de mettre les logiques de social media au service de la Business Intelligence, essayons de mettre la BI au service de ces outils.
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  • il importe donc de réunir l’ensemble de ces signaux en un endroit unique où ils pourront être traités sans que le collaborateur ne se disperse, ce qui rend encore plus indispensable de rendre cet endroit unique intelligent. Cela peut se faire de deux manières :- en laissant l’utilisateur “dire” à l’outil ce qui est le plus important pour lui- en rendant l’outil capable de comprendre les priorités de chacun en apprenant de leurs usages, ce qui est un pur travail de BI.
  • on ne s’attend pas une seconde à ce qu’un outil métier anticipe un besoin et vienne se mêler à une conversation. C’est pourtant quelque chose de souhaitable qui finira bien par arriver.
  • . Plus on rendra le système intelligent plus le collaborateur pourra se consacrer à des tâches où sa valeur ajoutée est unique, où il est irremplaçable. L’outil métier, avant d’intéragir avec l’utilisateur doit en effet être capable d’apprendre de lui.
  • Une dernière raison à cette évolution inéluctable : lorsqu’on regarde le marché des logiciels “sociaux” d’entreprise on ne peut que constater deux choses :- leur valeur réside dans l’intelligence des collaborateurs- en termes de produit n’importe qui peut, avec quelques moyens, développer une application comprenant blogs, wikis, boomarks, microblog, espaces communautaires et activity stream. La preuve : de nouvelles plateformes voient le jour chaque semaine et la plupart se ressemblent trait pour trait.
  • Pour exister durablement sur ce marché, un éditeur devra apporter une valeur ajoutée propre, interne au produit. On va donc passer d’outils “qui ne font rien” et tirent leur valeur de ce que font les utilisateurs à des outils qui “font” et apportent une valeur ajoutée à l’utilisateur.
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    Bertrand Duperrin pour l'intégration d'algos apprenants et de BI dans les plateformes sociales, au service de l'utilisateur final. Comment être contre?
Michael Nezet

PersonAll - Plateforme d'aggrégation et de réseau social d'entreprise (Fr) - 0 views

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    PersonAll propose des solutions de portail social et collaboratif d'entreprise, complètement personnalisable par simple configuration, agrégeant toutes les informations utiles (applications métiers, modules publics, internet, etc.) en un lieu unique.
Christophe Deschamps

La collaboration… une fumisterie ? - 8 views

  • Le Web social montre la voie à de nouvelles manières de faciliter l’échange de savoir, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de nos organisations, mais les comportements collaboratifs, indispensables à l’éclosion de modes de travail en accord avec la nouvelle économie en réseau qui est en train de se dessiner, ne sont présents (voire même imaginables) que chez bien peu d’entre nous.
  • Des milliers de pages Facebook sont créées chaque jour au nom de la promesse presque toujours fallacieuse de construire des communautés.
  • Ce dont nous avons besoin n’est pas de forcer l’adoption de nouvelles pratiques dans des structures conservatrices, mais de faciliter leur diffusion, par l’utilisation et la modification de mécanismes existants, quoique latents, pour permettre l’émergence de nouvelles pratiques.
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  • La véritable collaboration requiert non seulement le développement d’un environnement collectif favorable, mais aussi de la confiance. Le problème est que la confiance est une qualité en voie de disparition. Les marques ne peuvent prétendre ignorer que les clients leur font chaque année de moins en moins confiance, et que cette érosion de la confiance s’exprime partout, y compris sur les médias sociaux. Dans les entreprises, le niveau de confiance est encore plus bas. Le micro-management, l’évaluation continue basée sur la performance dans des environnements de travail prédéfinis, la pression hiérarchique et économique, ont gravement endommagée la confiance parmi les employés. Dans la plupart des cas, la collaboration est une fumisterie.
  • Les travailleurs du savoir doivent continuellement pouvoir disposer de nouvelles ressources, tandis que travail et apprentissage doivent se fondre en un flux continu. Mais, alors que si peu d’entreprises sont suffisamment mûres pour accepter et adopter cette complexité et ainsi redéfinir le travail en termes de flux fluide et collaboratif, comment pouvons-nous aider et accompagner les autres ?
  • Un tel modèle facilite l’adoption de pratiques collaboratives, mais ne tient compte ni des relations réelles entre les membres d’une entreprise et du manque sous-jacent de confiance, ni d’un des défauts majeurs des processus business : les «socialiser» permet plus facilement de prendre en compte les opérations floues ou incertaines, une approche voisine de celle des Barely Repeatable Processes de Thingamy, mais ne fonctionne pas correctement lorsque l’issue elle-même est incertaine. Les processus fonctionnent lorsque le résultat en est prévisible, ce qui est de moins en moins le cas.
  • Les communautés de pratiques, qui développent avec le temps de véritables comportements collaboratifs et adaptatifs, reposent bien plus sur la passion, la patience et l’implication que sur les technologies 2.0. Elles fonctionnent généralement bien en ligne lorsqu’elles fonctionnent bien hors ligne.
  • Ces relations ne sont pas basées sur une transaction, mais reposent sur la valeur que les entreprises peuvent créer en aidant les clients à résoudre les problèmes qu’ils rencontrent dans leur vie quotidienne, en leur proposant de meilleurs produits et services. Le Web social facilite cette logique à dominante service, permettant de recueillir davantage d’informations à partir des interactions entre les individus (c’est ce à quoi s’emploie le CRM Social). La mise en place de ce type de relation est un pré-requis de la collaboration, dont le but ultime est la co-création de valeur.
  • Plutôt que d’aider leurs clients à faire ce qu’ils ont à faire en entretenant une interaction constante, beaucoup de fonctions support les mettent au bout d’un entonnoir orienté processus. Par exemple, la DSI formalise en vain ses relations avec ses clients internes à travers la gestion des exigences, malgré leur inaptitude avérée à résoudre des problèmes réels en temps réel.
  • Redéfinir le client interne en suivant une logique orientée service permettrait de jeter les bases organisationnelles de la collaboration. La plupart des services en bénéficierait; les Ressources Humaines, par exemple, pourrait mettre en place un vrai développement de carrière, au-delà des référentiels métiers et fonctions.
  • Que se passerait-il si les managers considéraient leurs équipes comme des clients ? Faciliter la tâche de ses subordonnés et observer la manière dont ils les gèrent…
  • Je crois que l’application en interne de ce que nous apprenons à faire vis-à-vis de nos clients externes fournit une solution concrète à la préparation du changement vers une entreprise collaborative, pour la grande majorité des entreprises pour qui la collaboration est une fumisterie. Je ne propose pas de modèle, juste un appel au passage à l’acte. Pour faciliter la diffusion de pratiques collaboratives, redéfinissons le client interne, et tenons en compte de la même manière que nous devons à présent tenir compte des clients de nos marques.
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    Texte essentiel de @tdebaillon
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    Bravo, une grande part de ces constats est faire un pas dans une conscience de soi et de son impact sur la société. Les entreprises sont les ultimes clés, aussi je vous propose de penser en terme d'entreprise civile... voir ici: http://www.facebook.com/topic.php?uid=67036426665&topic=8274 le groupe ADN2 .. don t vous pourrez constater qu'il n'y a pratiquement jamais d'intervenants ou de critiques constructives (c'est à dire basée sur ce que l'autre pose comme support ou erreur à corriger.). souvent les forums sont au plus près de ce que les gens arrivent à faire: parler dans leur coin et corriger un par un.. mais il est vrai qu'il y a toujours un aspect "virtuel" sur ce qui est déposé en commun. Or c'est à partir du moment où nous pourrons affirmer travailler en efforts personnels pour des projets communs que nous pourrons parler de réelle collaboration. La différence entre "participer" à un débat en y déposant son avis (et donc d'en recevoir sa propre satisfaction egotiste) ET tenter de construire afin d'affiner et d'optimiser une réponse, en théorie comme en concret est vicieuse: la forme prime encore parce qu'apposer sa signature est devenu le gage d'un "pseudo-engagement, proche de ce que les gouvernances actuelles nous sommes de faire: voter" : cela se rejoint parfaitement dans un lien direct.
Yan Thoinet

Le Web 2.0 en entreprise - Les freins à l'adoption - 0 views

  • Les évangélistes du Web 2.0 ont donc encore des efforts à produire en termes d'éducation et de communication, notamment afin de clarifier les avantages métiers.
Christophe Deschamps

l'Entreprise 2.0 dans une impasse ? - 0 views

  • "Aujourd’hui, la plupart des solutions Web 2.0 mises en place dans les grandes entreprises sont dans une impasse ou en voie de l’être. Personne n’en parle, ni l’acheteur, ni le vendeur, parce que l’échec est sans conséquence. Le logiciel est mis en place et après quelques mois plus personne ne l’utilise à l’exception de quelques « déviants » (j’en fais partie !) que j’appelle des « ambassadeurs de l’intelligence collective » ou « créatif culturel ». Il faut espérer qu’un jour, leur rôle soit reconnu et valorisé. Mais, avec ou sans déviants, l’échec passe inaperçu parce qu’un logiciel que personne n’utilise, ça ne fait pas de bruit et ça ne dérange personne. L’organisation continue à fonctionner comme avant et tout le monde est conten
  • Ce que Olivier Zara explique ici, c'est que l'utilisation des outils 2.0 en Entreprise ne peut fonctionner que : - s'ils répondent à de réels besoins quotidiens et métiers. - s'ils sont accompagnés par des mesures de changement de la culture et d'accompagnement
  • Si l'échec de ce type de projets est "sans conséquence", et cela doit être le cas effectivement pour un grand nombre d'entre eux, n'est-ce pas le signe : - que l'organisation a été trop timide dans sa démarche ? - qu'elle a précisément choisi un projet où le besoin n'était pas assez fort pour être critique en cas d'échec ?
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  • Les outils "2.0" recouvrent un certain nombre de solutions telles que les flux RSS, les Tags (taxonomies et/ou folksonomies), les blogs, les wikis, les commentaires, les votes, les réseaux sociaux,... Tous n'imposent pas les mêmes contraintes en terme de mise en oeuvre, d'accompagnement, de gestion du changement.
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    Dans un article récent intéressant, Olivier Zara, consultant très connu pour ses publications sur l'Intelligence collective, semble pessimiste sur la mise en oeuvre des solutions issues du web 2.0 dans l'Entreprise.
Aurélien Gaucherand

La marque des produits alimentaires d'Ile-de-France - Marketing territorial - 0 views

  • les objectifs de la marque visent à renforcer la notoriété des métiers de l’agriculture
  • Cette nouvelle marque a pour objet de : Donner une visibilité aux entreprises régionales agricoles et alimentaires franciliennes; en  permettant d’identifier leurs produits; Permettre aux consommateurs franciliens, notamment les urbains éloignés des lieux de production, de trouver des produits de leur région, près de leur lieu de résidence ou de travail ; Toucher les 40 millions de touristes en visite chaque année; Identifier à l’export les produits franciliens.
Eric Salviac

L'entreprise 2.0 : Besoin de sécurité ou d'éducation ? - 2 views

  • Le web 2.0 a permis l'avènement des usages collaboratifs, de la participation des utilisateurs au travers des sites publics. L’entreprise 2.0 utilise quant à elle les mêmes concepts, mais cette fois afin de mettre à la disposition de ses collaborateurs, clients ou partenaires d'affaire, des outils riches tels que les blogs, les wiki, ou même les réseaux sociaux.
  • Ces nouvelles pratiques amènent la SSI à se voir attribuer un rôle nouveau, où la communication et le "marketing de la sécurité" prennent une place plus importante. Le métier du RSSI change ainsi pour passer d'une position autarcique à un rôle de facilitateur du business, en permettant notamment une utilisation efficace et sûre de ces nouveaux outils.
  • L'efficacité, ici, consiste à éduquer l'utilisateur et l'aider à s'approprier les outils, bien sûr. Mais aussi être en mesure de contrôler ensuite l'utilisation qui en est faite.
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  • Cette éducation passe notamment par la sensibilisation des utilisateurs aux risques liés à la communication d'informations via le web 2.0, et à l'impact que la divulgation pourra avoir sur l'entreprise.
  • A noter que pour réussir dans sa mission, le RSSI se doit de maîtriser parfaitement ces outils afin d'aider les utilisateurs à comprendre comment et quand les utiliser. Le RSSI se doit en outre d'utiliser de tels outils afin de bien cerner les moyens de contrôle à sa disposition. A ce sujet, rappelons que le contrôle ne peut pas être seulement technique, mais qu'il devra aussi prendre en compte la dimension d'usage des outils (qu'est ce qui fait sens pour l'utilisateur, donc que peut-on/doit-on contrôler ?).
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    Les nouveaux usages du web appliqué dans l'entreprise modifie profondément le rôle du rssi qui passe d'un rôle autarcique à un rôle de facilitateur et d'éducateur.
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