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Christophe Deschamps

Management guru offers solutions to combat worker disengagement - 0 views

  • Ehin developed his new leadership model which he calls "unmanagement" after analyzing research on human nature which shows that human productivity is at its peak in informal, co-evolving relationships, as opposed to within formal systems where people are stifled by bureaucracy and not allowed to work openly with their counterparts and peers.
  • He has discovered that this sweet spot is the place where the most productive and innovative work of an organization takes place, largely because people tend to want to follow their self-interests and do so through developing informal social networks in the workplace.
  • This cutting edge management book offers guidance to business leaders searching for ways to increase the innovative dynamics, motivation and performance of their knowledge workers.
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    Théorie du non-management pour rendre productif l'informel. Semble particulièrement en phase avec l'entreprise 2.0.
Christophe Deschamps

SÉCURITÉ : Les entreprises ne s'y retrouvent plus face au Web 2.0 - 0 views

  • Selon l'étude, 95 % des responsables informatiques autorisent actuellement les employés à accéder à certains sites du Web 2.0, une liberté logique, dans la mesure où 62 % des sondés estiment que le Web 2.0 est indispensable à l'activité de leur entreprise.
  • Mais la liberté accordée semble insuffisante : 86 % des responsables interrogés déclarent être sous pression, notamment de la part des cadres dirigeants et des services marketing et commerciaux, pour "autoriser un accès élargi" au Web 2.0, souvent très bridé.
  • Paradoxalement, les sites les plus souvent autorisés sont aussi ceux qui sont, dans d'autres entreprises, le plus souvent bloqués : les webmails (type Hotmail, Gmail, Yahoo Mail, etc.), les portails Web comme iGoogle, les wikis (pages collaboratives, comme Wikipedia) et, évidemment, les réseaux sociaux, dont Facebook,
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  • 47 % des responsables interrogés admettent que les employés essaient de contourner la politique de sécurité Web des entreprises.
  • Facebook est, par exemple, un vecteur de codes malicieux, qui se propagent via les applications, des extensions du site créées par tout un chacun, et auxquelles les utilisateurs doivent donner un accès complet à leur profil pour profiter de nouvelles fonctions alléchantes (préparer des sondages pour ses amis, savoir qui a écrit quoi sur quelqu'un, etc.).
  • 80 % des responsables informatiques se déclarent confiants pour la sécurité de leur entreprise. Mais Websense, qui travaille dans le secteur, affirme : "Les chiffres montrent qu'elles (les entreprises, NDLR) ne sont pas bien équipées pour se protéger contre les menaces du Web 2.0." Paradoxalement, lorsque les questions du sondage se font plus précises, seules 9 % des entreprises reconnaissent avoir déployé des moyens de sécurité couvrant tous les vecteurs de menaces : rien à voir avec la confiance affichée au début.
  • L'étude montre une méconnaissance du Web 2.0 et des nouveaux usages d'Internet en général, de la part des entreprises. Peut-être ont-elles besoin de temps pour s'adapter, mais, au vu des menaces, la prise de conscience risque d'être plutôt brutale.
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    via @aponcier Une étude qui montre bien la nécessité d'avancer dans le dialogue sur ce thème.
Christophe Deschamps

Toward a Pattern Language for Enterprise 2.0 - 0 views

  • I’ve had for some time now the vague sense that the iPhone, Twitter, Gmail, Googling, Facebook, Wikipedia, Delicious, and other runaway successes are trying to tell us something about how we want to use technology in our lives and in our work, and if we enterprise technologists listen carefully we’ll hear what that something is.
  • I started jotting down some comparisons based on what I’ve seen, read, and experienced for myself, then realized that I was identifying patterns
  • I’m dividing my 2.0 vs. 1.0 comparisons into two groups. First is a set of patterns where 2.0 is just better than 1.0
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  • Second is a set in which 2.0 is an alternative or addition to 1.0, not a replacement for it.
  • the primary goal of enterprise IT is not to delight users, but rather to increase the value of the company. But do these two outcomes have to be in conflict?
  • The biggest challenge will probably be to get corporate technologists (a group that includes IT departments, vendors, and consultants) to stop thinking like monopolists that can dictate tools to users with great confidence that, because of the lack of alternatives, they’ll get used.
  • I can think of four negative consequences of ignoring these patterns and continuing to act like a 1.0 enterprise technology monopolist.
  • enterprises will deploy technologies that are disliked and/or not used
  • employees will use ’stealth IT’ and any knowledge / information captured therein will not be retained by the enterprise
  • employees and customers will leave because of their frustration with poor enterprise technologies
  • the enterprise will be handicapped or crippled  –  less productive, innovative, collaborative, agile, ‘wise,’ foresightful, insightful, transparent, clear than it could be otherwise, or than its competitor is.
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    Excellent article d'Andrew McAfee sur ce que les technos 2.0 apportent de plus que les précédentes aux organisations.
Christophe Deschamps

Les travailleurs du savoir européens en quête d'améliorations - 0 views

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    Adobe a récemment chargé Forrester Consulting de réaliser une étude pour mieux comprendre le mode de collaboration des employés au sein des entreprises européennes. (décembre 2008). Nécessaire de s'enregistrer.
Gregory Culpin

L'Entreprise 2.0 pour préparer la reprise (part II) - Whitepaper à télécharger - 0 views

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    Dans un monde des affaires en perpétuelle mutation, la connaissance devient un capital essentiel pour toute organisation. Leur survie et croissance passe par la mise en place de solutions optimisant la collaboration et la gestion des connaissances. Forts de ce constat, nous avons récemment travaillé à l'écriture de notre premier livre blanc (disponible en anglais uniquement). Il se veut être une analyse des avantages liés à l'introduction d'outils de l'Entreprise 2.0, et positionne la gestion collaborative des connaissances comme une solution stable et durable, plus particulièrement en ces périodes de tumulte économique.
Christophe Deschamps

New Info Series Clarifies Social Knowledge Management and Enterprise 2.0 Strategies - 2 views

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    Plusieurs articles autour du KM et de l'entreprise 2.0
François Dongier

Knowledge Plaza - 3 views

  • Where those who search meet those who know
  • Learn the benefits of introducing the Enterprise 2.0 framework in your organization to drive your business forward. Download it here.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
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  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
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    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
Christophe Deschamps

Pourquoi l'entreprise 2.0 ? Pourquoi maintenant ? Pourquoi il faut y aller ? ... - 5 views

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    Je me propose aujourd'hui de partager avec vous les schémas de travail qui ont accompagné l'écriture de ce livre et m'ont aidé à réfléchir autant qu'ils ont été le fruit de mes réflexions.
Ace Dee

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cecilia marie

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I was having difficulties with the computer problem I am facing with and it really disturbs me. I cannot proceed with my school works well because it keeps on showing up. Then I discovered Compu...

computer problem enterprise 2.0

started by cecilia marie on 08 Jul 11 no follow-up yet
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