Skip to main content

Home/ entreprise2.0/ Group items tagged données

Rss Feed Group items tagged

Christophe Gauthier

Sens du client - Le blog des professionnels du marketing client: Les 10 tendances du Se... - 3 views

  • Les 10 tendances du Sens du client 2010
  • LE CLIENT SERA PLUSIEURS Le client est devenu mutliple. Présent à plusieurs endroits sous une forme différente, c’est un individu fragmenté auquel les marketers doivent désormais faire face. Multiples identités (on compte en France 2,4 adresses mails par personne et 65% ont 2 adresses ou plus), contextes variables : le client est plusieurs et il devient parfois invisible. Pour les entreprises qui gèrent des données concernant leurs clients (une catégorie en très forte augmentation), l’organisation de ces données, la déduplication et la segmentation sont devenues des exercices complexes.
  • Au moment ou le marketing de masse laisse place au marketing comportemental ou ciblé, le marketing des données devient un marketing de masse. La preuve : le one-to-one est moins à la mode que la gestion des communautés qui est une espèce de one to many. On parle désormais de social CRM comme pour habiller délicatement l’ignorance dans laquelle se trouvent beaucoup d’entreprises. Les systèmes d’information qui ont couté des millions aux entreprises se révèlent insuffisants pour appréhender la réalité du client. Comment donner du sens à ces masses de données ? Comment appréhender les nouveaux segments de clients ?
  • ...26 more annotations...
  • les nouveaux segments sont devenus un fait acquis, alors demandez-vous : comment concevrais-je mon organisation si je savais que dans les cinq prochaines années, 5 ou 6 segments émergeront pour occuper plus de la moitié de mon chiffre d'affaire ?
  • la convergence des canaux de relation et la cohérence des sollicitations. Comment avoir une vision unique du client et comment gérer la pression de communication ? Comment comprendre un client multiple et anticiper son comportement ?
  • LE CLIENT SERA SEUL Le self-service est un progrès de notre société
  • LE CLIENT SERA ECO-SENSIBLE Passer la marque à la machine sur le programme « GreenWashing » : l'occupation de ces dernières années pour les entreprises au marketing qui lave plus vert. Sous la pression d’une actualité dramatisante et de clients anxieux, presque toutes les entreprises adoptent les valeurs « développement durable » ou « respect de l’environnement », espérant réchauffer le climat entre leurs clients et elles
  • Mais le client veut des marques ou des enseignes disponibles et réactives, il désire être autonome, échanger en temps réel n’importe quel jour et à n’importe quelle heure, dans une relation personnalisée
  • En 2009, 36% des entreprises, soit deux fois plus qu’en 2008, (selon cette étude) « ont opté pour les modes de communication économiques, comme le Web et le self-service ». Parfois mauvais calcul quand on constate que –selon la même étude- « Malgré la mise en place de ces services sur Internet, les centres de contacts constatent que le nombre d’appels entrants n’a pas été impacté
  • Dès qu’on ouvre un nouveau canal de relation avec le client type Serveur Vocal Interactif, celà aurait plutôt tendance à faire croitre le nombre de contact globalement. Au bénéfice de la marque qui maitrise l’information qui la concerne et héberge la conversation, et au bénéfice du client qui choisit son mode de communication
  • apporter un vrai bénéfice au client lorsqu’il est seul. Seul face à un site Internet, avec un SVI, une borne interactive, il se sent trop souvent abandonné
  • Bénéfices évidents du client seul : l’aspect pratique et la réduction des prix.
  • les marques ont l’occasion unique de redonner du sens à leur discours avec des valeurs et de créer du lien avec leurs clients. Seront gagnantes les marques qui apporteront des preuves concrètes, qui feront des gestes sans calcul cynique sur un sujet qui n’est pas prêt de quitter l’esprit du client
  • LE CLIENT SERA ORGANISE On sait que le client est multiple, tout comme le sont les propositions commerciales qui s’adressent à lui. Lorsque celles–ci manquent de clarté ou sont défaillantes dans le bénéfice réel, le client revoit ses préférences et hiérarchise ses fournisseurs. Parfois perdu (8 français sur 10 ignorent encore ce que sont les soldes flottants ), souvent sur-sollicité (rappelons que nous sommes confrontés à 400 messages commerciaux par jour-source Francoscopie 2010), le client doit s’organiser
  • LSA nous rapporte qu’une enseigne espagnole a conçu et marketé son espace de vente en trois circuits d’achat : court (convenience store), moyen (achats quotidiens) et longs (courses de la semaine) pour répondre aux besoins du client.
  • LE CLIENT SERA AMELIORE (Photo Avatar). Le client est un roi doté de super-pouvoirs. Entourés, enrichis, connectés, les français sont 67% à avoir accès à Internet chez eux (+6% en un an), et 82% des Français de plus de 12 ans ont un téléphone mobile. Le monde dans le creux de sa main est une réalité pour déjà 5 millions de personnes utilisant Internet mobile (doublement en un an) Source : ARCEP. Le client est assisté, aidé : il ne faut plus faire partie d'une minorité de privilégiés pour savoir qu'il faut tourner à droite dans 200 mètres avec son GPS embarqué dans sa voiture ou sur son téléphone mobile... Le client français a adopté les réseaux sociaux : près de 16 millions d’inscrits dont les trois quarts pour « rester en contact avec leurs amis ». Le réseau social virtuel qui entoure le client l’aide aussi à faire des choix dans sa consommation. Selon Harris interactive (pour Fleishman Hillard), "50% des français pensent qu’Internet les aide à prendre de meilleures décisions d’achat" et "85% des consommateurs consultent les avis des internautes avant d’acheter". Le téléphone est devenu « smart » pour 3,5 millions d’utilisateurs nouveaux en une année, et pas tous des professionnels ! Que vous partiez en voyage ou que vous vous rendiez au restaurant du coin, vous trouverez sur la route de votre choix des avis de consommateurs en qui vous avez confiance.
  • prendre sa place dans un monde digital et virtuel pour y accueillir son client. Proposer de nouvelles voies d'accès et de dialogue avec lui.
  • LE CLIENT SERA OCCUPE La moitié des adolescents regardent déjà la télé en surfant sur le net et 47% utilisent leur téléphone mobile en étant connectés (source Forrester). La multi-activité se développe
  • Le client est surbooké et ce que nous nommons une maladie pour nos enfants n’est que la caricature et le signe précurseur d’un futur proche de consommateur de média. Le client n’est pas absent ou distrait, il est très occupé. Les Français ont eu en moyenne 40,4 contacts par jour avec une activité média ou multimédia (hors ordinateur) en 2009, un chiffre toujours en augmentation. Un français sur deux se connecte chaque jour à Internet, et les médias sont de plus en plus consultés sur de nouveaux supports
  • LE CLIENT SERA FAN Les grandes marques vont sortir de la crise avec panache et le client n’attend que ça. Pourquoi ? Parce qu’il a désormais la possibilité de se manifester et de faire savoir qu’il aime une marque ou qu’il s’y intéresse sur les réseaux sociaux. 40% des inscrits à Facebook sont amis ou fans des marques et 25% « suivent » des marques sur Twitter selon Razorfish
  • LE CLIENT SERA BAVARD Si je me fie à ce compteur Twitter, au mois de mars prochain, nous passerons la barre des 10 milliards de tweets. Rien qu’en France, si on suit les 25 premiers utilisateurs de ce réseau social, on peut lire 360 000 posts de 140 caractères Pour 23% des Français de plus de 12 ans inscrits sur les réseaux sociaux , le quotidien est fait de conversations.
  • Un tweet sur 5 concernerait un échange d’expérience à propos d’une marque. C’est considérable. A la recherche de la relation authentique, de l’avis sincère, le client est prêt à contribuer et donner de son temps. Sur le très fiable site d’avis consommateurs Beauté Test par exemple, tous les jours, 400 nouveaux avis sont postés et 10 à 20 nouveaux produits sont référencés. On donne la parole au client, il en fait un usage à son profit !
  • les avis seront de plus en plus donnés en temps réel (18% des membres Facebook mettent à jour leur profil depuis un téléphone mobile)
  • favoriser l’expression du client en la rationnalisant. Et face à l’infopollution, investir dans le tri sélectif
  • LE CLIENT SERA AVENTUREUX Seuls 15 %, c’est-à dire un client sur sept se déclare «fidèle » aux marques et 21 % sont moins fidèle qu’avant, c’est ce qu’avait révélé l’étude faite en 2009 à l’occasion de la Saint Fidèle sur ce blog.
  • Laurent Habib de RSCG C&O déclarait à LSA le 29 octobre dernier : «les marques ne parviennent plus à justifier leur positionnement premium, ni a susciter la préférence et la fidélité». Sensible au prix, le client observe avec un scanner dans les yeux les propositions low cost et les propositions premium, délaissant un ventre mou sans odeur et sans saveur. Il privilégie la valeur d’usage et se montre critique envers les innovations sans bénéfice
  • proposer aux clients de vraies innovations, prendre des risques. C’est le moment de mettre en pratique le subtil précepte de Jacques Séguéla (qui a le sens de la formule) : « moins de tests, plus de testicules »
  • LE CLIENT SERA ENTENDU 20% des français ont déjà dénoncé en ligne des entreprises ayant mal agi à leurs yeux TNS Sofres LSA 11/09. Nous sommes entrés dans le nouvel âge de la relation client, l’époque où le client peut s’exprimer et être entendu par des milliers de personnes (cf mon billet à ce sujet). Le patron d’Amazon disait "Si vous rendez vos clients mécontents dans le monde réèl, ils sont susceptibles d'en parler chacun à 6 amis. Sur internet, vos clients mécontents peuvent en parler chacun à 6000 amis."
  • gérer sa réputation et repenser son organisation pour l’orienter vers un client omniprésent. Il ne s’agit plus de surveiller ou faire du buzz monitoring mais bien de pratiquer une écoute active et participer à un nouvel échange.
Yan Thoinet

Christian Fauré » Blog Archive » Introduction à l'Entreprise 2.0 - 0 views

  • les sites web proposent de stocker les données des internautes (le fameux User Generated Content),
    • Yan Thoinet
       
      This is it!
  • c’est que le web 2.0 n’est que la partie visible de l’iceberg, la partie immergée étant le Software as a service.
  • Une seule instance du logiciel pour x clients. Ce qui signifie que l’environnement de production est mutualisé et virtualisé
  • ...9 more annotations...
  • Les développements sont incrémentaux, c’est le règne du Beta, de l’essai et de l’expérimentation permanents pour coller au plus prêts du marché et générer le plus d’innovation possible
  • le système d’information d’une entreprise va être de plus en plus déporté de ses locaux vers les plates-formes web en mode SaaS
  • muscler la qualité réseau de la connexion internet (qui est généralement médiocre dans les entreprises)
  • La Road Map (modifications et ajout de nouvelles fonctionnalités) d’une solution SaaS est quelque chose que l’entreprise ne va plus maîtriser.
  • La confidentialité des données est bien sûr un sujet de discussion majeur. Mais il est en grande partie psychologique de mon point de vue.
  • Autre point à aborder avant de passer au SaaS : le Off Line.
  • la législation européenne qui interdit à certaines entreprises de déléguer la gestion et le stockage des données à des tiers.
  • évaluer les modalités de sortie de la solution SaaS
  • Les solutions SaaS choisies devront être interopérables avec d’autres offres SaaS et bien évidemment continuer à être articulées avec les application patrimoniales (
Eric Salviac

Google se rapproche des entreprises et de... Microsoft - 0 views

  • Google de son côté est particulier actif ses derniers temps sur le marchés des applications d'entreprise. Parmi les annonces de ces derniers jours, on peut citer Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google Wave, une nouvelle version de sa Google Search Appliance sans oublier Fusion Tables qui n'est encore qu'un outil expérimental, mais qui pourrait bousculer le domaine des bases de données.
  • « La division entreprise est l'un des trois axes stratégiques de Google parmi les outils de recherches (search), les liens publicitaires et commerciaux (ads) et la suite applicative bureautique Web 2.0 en mode SAAS (apps) »
  • Contrairement aux éditeurs traditionnels, Google a une phase de développement de produits qui s'appuie largement sur les utilisateurs. Il peut donc proposer des versions beta accessibles en libre service auprès de développements, sans trop se soucier de l'intérêt commercial de ces nouveaux outils.
  • ...15 more annotations...
  • Fusion Tables est encore un produit expérimental destiné à intégrer des données issues de sources différentes et de formats différents dans une même table et de fournir des fonctions de collaboration, de requêtes, de visualisation et de publication sur le Web. Fusion Tables est plutôt destinée aux très grands volumes de données.
  • Cette semaine, Google dévoilait Google Apps Sync for Microsoft Outlook, un outil permettant de synchroniser leurs courriers, calendrier et carnets d'adresse entre Exchange/Outlook et Gmail. Cet outil fait suite à un autre qui permet de faire à peu près la même chose sur la téléphonie mobile. Cet outil qui est proposé comme un plug in est disponible pour les utilisateurs des versions payantes de Google Apps, à savoir les versions Premier et Education Edition.
  • Quel est l'intérêt de cette offre ? Tout simplement que beaucoup d'utilisateurs préfèrent ou sont déjà habitués à l'interface d'Outlook.
  • Le plug-in est pour l'instant disponible uniquement en anglais, il est compatible avec Outlook 2007, Windows XP SP3 et Vista.
  • Google Apps est commercialisé à 50 dollars par utilisateur et par an. Google aurait quelque 500 000 utilisateurs payants de Google Apps Premier Edition (Soit un chiffre d'affaires en base annuel de 25 M$ en abonnement).
  •  D'autres fournisseurs comme IBM, Oracle, Novell et Sun reconnaissent que le support natif d'Outlook est le meilleur moyen de lutter contre Exchange (l'utilisateur final ne se soucie pas de savoir quel est le serveur de messagerie mis en œuvre par l'entreprise) »
  • Google positionne son plug-in comme un outil permettant aux entreprises d'effectuer une migration d'Exchange vers Gmail plutôt que comme une combinaison permanente
  • Google Wave n'est pas encore un Tsunami Parallèlement à cette offre tactique qu'est Google Apps Sync for Microsoft Outlook, Google a montré avec Google Wave ce que pourrait être un outil de messagerie et collaboration dans les années à venir.
  • Google Wave intègre plusieurs fonctionnalités en général distribuées dans différentes solutions, à savoir les messageries électronique et instantanée, collaboration en temps réel et traitement de document à plusieurs (une sorte de Wiki en plus perfectionné).
  • « Avec Wave, Google veut changer fondamentalement la manière avec laquelle les utilisateurs/internautes (internausateurs ou utilisanautes) communiquent en transformant le Web en un système de collaboration temps réel intégré »
  • Google Wave ne concurrencera pas Lotus Notes, Microsoft Exchange ou Office SharePoint Server avant 5 à 10 ans
  • Une nouvelle version de Google Search Appliance
  • Conçues selon une architecture dynamique, plusieurs GSA, même distantes, peuvent fonctionner en parallèle
  • La GSA 6.0 offre des options de personnalisation pour l'administration, la sécurité, les paramètres de classements des documents... Elle inclut ce que l'on appelle des fonctions de recherche dites sociales, c'est-à-dire issues des suggestions des utilisateurs.
  •  
    Google ne renonce pas à promouvoir ses applications en entreprise en adoptant une stratégie de conquête en douceur en s'appuyant à la fois sur l'existant et les utilisateurs.
Yan Thoinet

Wikinomics - 0 views

  • En 1999, McEwen assiste au MIT à une conférence sur Linux. Il découvre le concept de l’Open Source et il crie Eurêka. Il décide alors de publier toutes ses données géologiques sur internet, données habituellement gardées secrètes par les entreprises, et de proposer aux internautes volontaires de les analyser à la recherche de nouvelles veines. Plus de milles prospecteurs virtuels les étudient. En quelques mois, ils découvrent de l’or et encore de l’or, faisant exploser la valorisation de Goldcorp.
  • Dans cette révolution, l’individu est moteur. Des sociétés ou des associations proposent des projets participatifs, elles ouvrent les portes, puis les individus décident d’y aller ou non.
Christophe Deschamps

Il ne peut y avoir de stratégie "entreprise 2.0" - 0 views

  • Quelqu’un demande “mais quelle stratégie pour devenir une entreprise 2.0″ et l’on a envie de répondre “mais pourtant c’est clair, on vient de le dire, et tu l’as dit toi même”.
  • Essayer de chercher une stratégie pour faire l’entreprise 2.0 revient à réflechir “en boucle” sans risque d’en sortir puisque l’entreprise 2.0 est le nom donné à la stratégie (ou plus exactement à une partie de celle-ci).
  • La stratégie entreprise 2.0 et, l’exemple CISCO le prouve, revient donc à utiliser les boites à outils classiques pour mettre en œuvre les composantes du projet qu’on a dénommé entreprise 2.0 et non à mettre en œuvre l’entreprise 2.0 en espérant que ses composantes auxquelles on a pas envie de s’attaquer se mettent en œuvre par hasard.
  • ...2 more annotations...
  • Il me semble seulement que le “comment je fais l’entreprise 2.0″ signifie juste “je ne veux pas m’attaquer à tout ça alors je fais l’entreprise 2.0 et tout va se mettre en place seul”. Sauf que faire l’entreprise 2.0 c’est justement s’attaquer à “tout cela”.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas une baguette magique qui évite de s’attaquer aux questions importantes et structurantes. Elle est justement la conséquence du fait qu’on s’y attaque. Inutile donc de lui donner une stratégie car elle est stratégie elle-même. Elle est le nom donné à ce qu’il faut faire donc inutile d’aller chercher plus loin.
  •  
    Il s'agit d'un autre malentendu fréquent. Quelqu'un demande "mais quelle stratégie pour devenir une entreprise 2.0″ et l'on a envie de répondre "mais pourtant c'est clair, on vient de le dire, et tu l'as dit toi même". Bizarre non ?
Christophe Gauthier

Facebook : Gardez le contrôle de votre vie privée | Webscreens - 0 views

  •  
    tutoriel simple et efficace sur la meilleure manière de cloisonner et protéger ses informations privées dans facebook
Yan Thoinet

Veille Perso » Diigo mélange bookmarking et annotation - 0 views

  • un o util de “social bookmarking” (tu bookmarkes et je surveille ce que tu fais > >)
  • o util de “social bookmarking” (tu bookmarkes et je surveille ce que tu fais >).
  • Mais ce qui fait la force de ce service c’est le système d’annotations : tu peux surligner et annoter différentes parties de la page, tout ceci étant ensuite stocké avec ton bookmark. C’est très pratique pour ce souvenir par exemple de ce qui t’avais intéressé dans une page donnée
  • ...5 more annotations...
  • util de “social bookmarking” (tu bookmarkes et je surveille ce que tu fais
  • voir toutes les annotations faites par la communauté lorsque tu arrives sur un site
  • dommage que le flux RSS produit par Diigo ne contiennent pas les annotations
  • ce n’est finalement pas la révolution que j’attendais
  • en même temps que Blue Dot
    • Yan Thoinet
       
      action: me rendre sur le site et comparer
Yan Thoinet

émergenceweb : blogue » Blog Archive » Pourquoi bloguer ? Pour se souvenir ! - 0 views

  • Comment intégrer les nouvelles générations en entreprises et surtout comment créer à leur intention une mémoire d’entreprise ? J’ai fait de nombreux billets sur mon blogue, au cours des derniers mois, pour expliquer mes réflexions sur la mémoire d’entreprise. Pour la créer, neuf pré-requis : Bâtir les savoirs (multiplication des wikis) Communiquer les savoirs (aggrégation de blogues)* Identifier les savoirs (mise en relation) Localiser les savoirs (géo-localisation) Récupérer les savoirs (Peer-to-peer avec les retraités) Documenter les savoirs (Carnets de vie)* Gérer les savoirs (Les entrepôts de données)* Rechercher les savoirs (tagging, recherche sémantique) Transmettre les savoirs (vLearning)
  • le wiki, les blogues d’entreprise sont des espaces individuels de communication et de partage, qui permettent de regrouper (ou agréger) et mettre en valeur les expertises internes.
  • les blogues sont clairement définis comme un lieu particulier où l’on trouve des groupes d’expertise, des lieux d’échanges et de communication sur des sujets très précis et pertinents à la mission et aux objectifs d’affaires de l’entreprise.
  • ...8 more annotations...
  • mélanger (mashup) deux technologies du Web 2.0, soit le blogue et les fils de presse Web, que l’on nomme habituellement flux RSS (pour Really Simple Syndication), et ainsi de créer un mini-portail personnalisé de blogues d’expertise, selon l’unité, la division, le service.
  • Faites la transposition de Netvibes en entreprise… Il est donc facile de concevoir, par exemple, une agrégation de blogues d’experts en vins à la SAQ, de conseillers en rénovation chez Rona ou d’experts en efficacité énergétique à Hydro-Québec !
  • Pour toutes sortes de raisons, bonnes ou mauvaises, on craint que cette « liberté d’opinion » mette en danger l’image, la sécurité, la réputation et les avantages concurrentiels.
  • Il n’est pas rare de voir des employés d’entreprises ou de sociétés publiques tenir leur propre blogue professionnel. Pourquoi ne pas utiliser ces forces vives pour la construction d’une expertise collective interne
  • À l’interne, on a donc mis ces produits à bon usage. Résultat : 26 000 blogues individuels, 20 000 wikis regroupant 100 000 participants… et un réseau social appelé BluePages qui «réseaute» plus de 400 000 personnes ! Tous les employés peuvent bloguer et «podcaster». Pour éviter les débordements, personne n’est autorisé à rester anonyme dans l’intranet et l’entreprise s’attend à ce que chacun respecte un code de conduite spécifique.
  • Et, en plus de déclencher le partage de connaissance et d’expertise, les agrégations de blogues, ou fermes de blogues, comme certains les nomment, permettent l’articulation et l’organisation des idées, développent et maintiennent les expertises, humanisent l’entreprise, génèrent la communication et favorisent l’appartenance à l’entreprise.
  • dans la majorité des sondages internes effectués par les entreprises sur la satisfaction des employés, la question de la non-reconnaissance de l’expertise et des réalisations des employés revient toujours
  • Combien de fois entend-on la réflexion suivante en entreprise : « Mon expertise n’est pas reconnue. Ils préfèrent écouter un consultant externe » ? Les blogues d’expertise constituent une des réponses à cette question.
Yan Thoinet

Google sort son wiki | Kimind Consulting - 0 views

  • car la bureautique en ligne n’était pas suffisante pour justifier une migration de l’existant dans des grands comptes.
  • Mais Google Sites change complètement la donne, puisqu’il s’agit d’un wiki, qui intègre également un blog et tout un ensemble d’autres fonctionnalités, et Google va ainsi permettre de mettre en œuvre une véritable architecture d’Entreprise 2.0.
  • les trois fondations sont le wiki, le blog et le portail RSS. Le wiki sert à la collaboration, le blog à la communication et le portail RSS à la consommation des données mises à jour par ses collaborateurs.
    • Yan Thoinet
       
      communautés
Yan Thoinet

L'information électronique accroît la productivité | Guitef - 0 views

  • Les travailleurs qui sont des concentrateurs de l’information électronique réalisent plus de projets dans un temps donné et ainsi génèrent plus de revenus pour leur firme.
  • Les travailleurs hypermaillés sont-ils plus productifs en raison de leur réseau d’information, ou sont-ils plus maillés parce que de nature plus productive au départ?
  • • Les technologies de l’information accroissent la productivité en facilitant le multitasking. • Le multitasking peut être productif, mais seulement jusqu’à un point. • L’accès à de nouvelles informations a des effets positifs sur la productivité. • Les discussions par courrier électronique se produisent plus spontanément entre les gens qui ont des choses en commun. • Un réseau diversifié de contacts est associé à une plus grande productivité.
Christophe Deschamps

Darwin offre un engin de veille à l'entreprise 2.0 - Darwin Discovery Engine ... - 0 views

  • “Une approche plus fidèle au Web 2.0 serait en mesure de livrer ces faits dans leur contexte, avec en prime des accroches qui attirent l’attention et permettant à l’utilisateur de creuser certains aspects de son choix”.
  • L’introduction des outils de Web 2.0 dans l’entreprise augmentent le risque de perte par l’isolation des informations dans les différents silos de stockage, surtout si ces nouveaux outils ne sont pas connectés entre eux et avec le reste. Darwin offre la possibilité de percevoir l'émergence des relations entre les différents contenus à travers l'ensemble des outils utilisés.
  • Grâce à son Scan Cloud™ Darwin rend la valeur du contenu de l’Entreprise 2.0 visible et mesurable (Veille et Evaluation). Non seulement vous pouvez voir les relations entre les éléments reliés entre eux dans un nuage de mots, mais aussi ces liens se rafraîchissent à mesure que vous vous déplacez dans le nuage. Cette propriété dynamique permet aux utilisateurs de voir les corrélations qui existent à travers les contenus de l'entreprise 2.0 (Découverte et Partage)
  • ...3 more annotations...
  • Darwin cherche à faire émerger les thèmes corrélés entre eux issus d’un environnement chaotique en se basant sur la mesure de corrélation vue dans la théorie du chaos. Ainsi, Darwin s'éloigne clairement des systèmes de classification par vote ou popularité actuellement utilisés par nombreux moteurs de recherche et aggregateurs de contenu pour ordonner leur résultats.
  • Darwin n’est pas un engin de remplacement des technologies entreprise 2.0, tableaux de bord, et autre outils de management des documents. Il est conçu pour compléter et renforcer ces technologies en rendant plus visible le savoir tacite enfermé dans leurs systèmes.
  • C’est une application internet (Scan Cloud™) ou cela peut aussi devenir une solution customisée grâce à l'accès API offert. Cela fonctionne sur un serveur Web avec des services et base de données qui corrèlent les différentes sources Web 2.0.
Christophe Deschamps

Entreprise 2.0, collaboration et contraintes individuelles - 7 views

  • Le groupe ne délivre en effet que la somme de la tâches effectuées par ses membres. D’où l’importance de la coordination. On peut même se dire que par une étrangle ironie du sort, le travail des travailleurs du savoir donne une part encore plus belle à la tâche individuelle de l’individu au sein du groupe : si on peut effectuer une tâche physique ensemble on ne peut penser ensemble. On pense individuellement et le travail de groupe demande de multiplier les intéractions entre tous pour rester coordonné et cohérent.
  • Ce qui se traduit à nouveau par un travail individuel même si ponctué de nombreux échanges qui donnent une impression de collectif. Mais il n’en est pas moins que chacun se retrouve avec une tâche personnelle.
  • Mais l’apport du “2.0″ peut être important dans la multiplication des signaux “informels” donnant aux autres de la visibilité sur son travail et leur permettant de s’adapter en évitant une coordination lourde, peu réactive et chronophage.
  • ...13 more annotations...
  • C’est là qu’une logique “2.0″ commence à porter ses fruits : on s’en remet au réseau, et à d’éventuelles communautés où des discussions sur le sujet auraient lieu. Si le sujet a déjà été traité tant mieux, sinon on trouve des personnes pertinentes à qui le soumettre, soit dans une communauté soit en identifiant un individu à contacter (très souvent on trouve ces personnes car leur activité “sociale” enrichit leur profil…et une recherche suffit.
  • l’individu part de lui, passe ensuite au groupe et ensuite aux réseaux/communautés. Il passe d’un travail solitaire à un travail coordonné dans une équipe définie avant de passer à quelque chose d’informel, avec une logique destructurée, dans un périmètre humain relativement flou.
  • les collaborateurs (et quelle que soit leur génération) tiennent à garder une frontière claire entre leurs vies privées et professionnelles et surtout dans les pratiques liées à chaque. On “socialise” entre amis mais pas dans l’entreprise. Ou avec d’infinies précautions et dans un périmètre connu. Ce qui nous ramène au “moi, mon groupe, mon réseau” énoncé plus haut.
  • il faut que des communautés actives et pertinentes existent pour pouvoir mener la logique à son terme, pour permettre au collaborateur de passer en mode “réseau” lorsque le groupe montre ses limites.  Là on entre dans une logique plus “sociale”. Ces communautés seront composées de personnes qui décideront volontairement de partager expériences et réflexions sur un sujet donné, de faire un pas au delà du travail qui leur est demandé, de donner une sorte de supplément d’âme à leur investissement professionnel.
  • on est dans le “pur 2.0″ : des conversations, des communautés qui se forment et vivent librement, de la collaboration “douce”, informelle, non structurée, de l’imprévisible et une importante composante humaine car ici on parle de l’envie d’avancer avec les autres, de partager, d’apprendre, de se lier à des personnes que l’on aurait peut être jamais rencontré autrement. En général c’est surtout cette dimension qui vient à l’esprit lorqu’on parle d’entreprise 2.0
  • On améliore l’efficacité au sein du groupe en se donnant la possibilité d’en sortir si besoin. On est, quoi qu’il en soit, dans une problématique d’organisation : on amplifie le potentiel des pratiques existantes, on en met en place éventuellement de nouvelles mais de manière très “orientée tâche”. On construit du “social” autour d’un business process, d’un workflow dont on essaie d’augmenter la bande passante. On “étend” le périmètre de l’existant.
  • ceux qui n’ont d’autres objectifs que de faire leur travail, se limitent à intéragir dans le périmètre de leur équipe et vont occasionnellement plus loin s’il n’y a pas moyen de faire autrement.
  • ceux qui, en plus, ont envie de s’investir pour échanger, benchmarquer, apprendre, proposer…sur des sujets professionnels,
  • Cela est tout sauf anecdotique lorsqu’on conçoit un projet 2.0 au niveau macro : il faut des scénarios d’usages pour chacun et surtout ne pas s’imaginer qu’on pourra emmener tout le monde dans le communautaire et l’informel, ce que d’aucuns appelleront le chaotique.Il faut penser non pas à ce qu’on aimerait que les gens fassent dans un monde idéal voire fantasmé mais s’adapter à leur logique de collaboration.
  • On dit que l’entreprise 2.0 c’est beaucoup de choses : connecter, engager, partager… Je pense qu’on oublie trop souvent une dimension qui est pourtant l’essence même de l’entreprise: réaliser des choses. C’est pour cela que le collaborateur n’a que faire d’être 1.0 ou 2.0, il veut juste une logique claire qui lui permette de faire son travail plus efficacement.
  • L’entreprise 2.0 n’est pas la fin du groupware, n’est pas le “tout réseau”, “tout communautaire”. C’est le fait de mettre en face de chaque situation les bons outils et les bons usages en fonction de l’objectif à atteindre et de la capacité d’engagement de chacun.
  • Quoi qu’il en soit il n’y a pas un contexte de travail et de collaboration unique mais une infinité de contextes dans lesquels on peut et doit développer des logiques d’intéractions spécifiques qui permettront aux collaborateurs de passer d’un extrême à l’autre en faisant des petits pas intermédiaires en fonction de son contexte propre.
  • Le collaborateur n’est pas si opposé au changement que cela, il veut juste des petits pas plutôt qu’un grand saut et que le processus respecte sa logique propre, fasse sens par rapport à ses besoins et ne violente pas sa volonté de s’engager ou non.
  •  
    Très intéressant billet de @bduperrin sur les besoins des travailleurs du savoir
1 - 12 of 12
Showing 20 items per page