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Laurent Bordet

La fac ? Tu raques ! - Résultat d'exploitation(s) - 0 views

  • C'est que le financement des études pose un problème majeur. Le cycle de vie peut-être vu en "U". De la naissance au premier emploi, l'individu coûte à la société. Ensuite, il a un emploi et contribue au fonctionnement de celle-ci. Enfin, à partir de la retraite, il devient à nouveau un coût.
  • les études supérieures sont financées par l'impôt. Les étudiants qui "consomment" le plus d'études sont ceux qui auront les plus gros revenus et qui paieront le plus d'impôts pour financer les études de leurs successeurs. Est-ce forcément vrai ? Le hic, c'est que si 55% des étudiants accèdent à l'enseignement supérieur, c'est vrai pour 84% des enfants d'enseignants, 80% des enfants de cadres mais seulement 36% des ouvriers non qualifiés.
  • Enfin, la non-sélection à l'entrée de l'université engendre un taux d'échec très élevé en 1ère année (25% de redoublement, 25% de sortie de l'université). Enfin, à la sélection purement académique s'ajoute une sélection par l'argent : les étudiants qui ne peuvent vivre décemment (logement, nourriture) sont contraints d'arrêter ou de raccourcir leurs études.
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  • certains prêts pour imposer un "numerus clausus" soft sur certaines filières à faibles débouchés. Plus globalement, cela pourrait être un moyen de canaliser les étudiants vers les filières les plus utiles pour la communauté. Un choix qui serait très explosif politiquement ou socialement d'autant que cela reviendrait à donner plus de choix (d'aller vers des filières "bouchées" ceci dit) aux plus riches.  
  • ertains pourront rembourser aisément le prêt mais d'autres, à cause d'un "rendement trop faible" de leur diplôme ou d'accidents ou de choix de vie, ne le pourront pas. Il faut alors aménager la possibilité d'un effacement partiel ou total de la dette. Celui-ci doit être relativement "fin" pour éviter l'aléa moral
  • a manne servant aujourd'hui à payer les universités est convertie de façon à payer à tous les étudiants, quel que soit le niveau de ressources de leurs parents, un "revenu d'autonomie". Les 25 Mds€ de budget actuels pourraient permettre d'allouer 800€/mois/étudiant.
  • ais nous avons tort de considérer le système etat-uniens comme totalement pervers et le nôtre, basé sur la liberté et une apparente quasi-gratuité, totalement vertueux. Surtout, notre système a le grand tort d'occulter totalement la question de la vie extra-scolaire de l'étudiant et transforme ceux-ci en nouveaux pauvres.  Un choix guère acceptable alors que la formation est un ingrédient indispensable de notre future compétitivité.
Laurent Bordet

La ministre de l'Enseignement supérieur veut valoriser et démocratiser l'université - Le Nouvel Observateur - 0 views

  • La ministre a déploré que 90% des étudiants titulaires d'un bac pro échouent à l'université dans le premier cycle "quand ils ne sont pas accompagnés". 9.900 intitulés de licences ou masters Elle a demandé aux recteurs d'accueillir en priorité les bac professionnels et technologiques dans les filières BTS, STS et IUT, "avec un accompagnement spécifique".
  • Pour rendre l'offre de l'université "plus lisible", elle veut simplifier licences et masters, qui totalisent 9.900 intitulés. Même les recruteurs s'y perdent, a-t-elle estimé. Cet automne, elle lancera une mission sur une e-université et l'e-formation.
  • L'allocation d'études supérieures promise par François Hollande fera l'objet d'une négociation avec les organisations étudiantes et ne devrait pas démarrer avant la rentrée 2013, a précisé Mme Fioraso à l'AFP.
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  • Enfin, la ministre a estimé qu'"il n'y avait pas de tabou" à faire payer les classes prépa aux grandes écoles mais qu'il fallait alléger le coût des concours.
Laurent Bordet

Harvard rejoint les universitaires pour un boycott des éditeurs - 1 views

  • Trente-quatre mathématiciens ont dénoncé "un système dans lequel les éditeurs commerciaux font des profits sur la base du travail de mathématiciens et de frais d'abonnement des bibliothèques".
  • Un des litiges vient de la "loi sur les travaux de recherche", un projet présenté au Congrès américain en décembre 2011 qui interdit aux agences fédérales d'exiger le libre accès à des résultats scientifiques, même si ces recherches sont financées par l'Etat fédéral américain.
  • L'université de Harvard, à Boston, vient de rejoindre le combat. Elle a beau être la seconde institution à but non lucratif la plus riche dans le monde, sa collection de revues académiques spécialisées plombe aussi ses comptes. Le prix des abonnements par les éditeurs universitaires lui coûte chaque année en moyenne 3,75 millions de dollars. Une note publiée sur son site et envoyée à ses 2 100 professeurs et chercheurs, les encourage à mettre à disposition, librement, en ligne leurs recherches.
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  • Ce mouvement met Harvard au centre d'un débat qui prend de l'ampleur : l'accès aux travaux de la recherche universitaire, dont une grande partie est financée par le contribuable.
  • De plus en plus d'universités à travers le monde commencent à exiger de leurs chercheurs de rendre disponible leurs publications en libre accès, et non plus par le biais de ces revues - qui permettent pourtant aux spécialistes de faire valider leurs travaux, de les diffuser, et participer à leur réputation et à celle de leur laboratoire universitaire. Un sondage international, réalisé à la demande du Comité pour la mutualisation des systèmes d'information de l'enseignement supérieur britannique, révèle que 81 % des chercheurs seraient prêts à déposer leurs articles dans des archives en libre accès.
Laurent Bordet

Financement de l'éducation : attention bombe à retardement ! | Le blog de Jean-François Fiorina - 0 views

  • Selon l’UNESCO, l’enseignement supérieur accueillera 262 millions d’étudiants en 2025, contre 97 millions en 2000 et 153 millions en 2007.
  • L’éducation a un coût mais la « non éducation » aura un prix bien plus élevé ! Nos jeunes générations aspirent à la connaissance et notre responsabilité est d’éviter les frustrations et les violences sociales qu’engendrerait la rupture du système.
  • Le visible : les frais de scolarité sont payés par les familles et les étudiants avec des aides (bourses). C’est le modèle anglo-saxon que la crise économique en occident met à mal.
  • ...2 more annotations...
  • oit nous arrivons à une refonte globale soit nous serons obligés de vivre un système à deux vitesses en sélectionnant de manière drastique les étudiants, par le mérite ou par l’argent.
  • l visite actuellement les campus américains et discute avec des étudiants inquiets de voir leurs droits d’inscription augmenter plus vite que l’inflation. Et
Laurent Bordet

Pourquoi les droits d'inscription universitaires s'envolent partout, par Isabelle Bruno (Le Monde diplomatique) - 0 views

  • En France, selon une enquête de la Fédération des associations générales étudiantes (FAGE), le coût de la rentrée universitaire a bondi de 50 % en dix ans. Parmi les causes de ce renchérissement, l’augmentation des frais d’inscription, que promeuvent think tanks et organisations internationales. Aux Etats-Unis, de nombreux étudiants ne pourront jamais rembourser les prêts contractés pour payer leur formation.
  • Démarcher les entreprises, quémander des dons auprès des réseaux d’anciens étudiants, augmenter les droits d’inscription, bref se vendre : telle est, en substance, la compétence nouvelle gagnée par les universités.
  • il s’agit désormais de transformer la recherche scientifique en produits brevetables, et les enseignements en parcours individualisés et « professionnalisants » débouchant sur des diplômes rentables.
  •  
    un peu caricatural
Laurent Bordet

La dépense par élève ou étudiant en France et dans l'OCDE - Ministère de l'Éducation nationale - 0 views

  • la dépense moyenne d’éducation par élève ou étudiant est estimée à 7 990 euros en 2009. L’État y assure l’essentiel de la dépense moyenne d’éducation alors qu’au niveau de l’OCDE, les collectivités territoriales en sont le principal financeur. Le niveau de dépense pour la durée de la scolarité obligatoire place notre pays légèrement au-dessus de la moyenne de l’OCDE.
Laurent Bordet

Pourquoi ne pas abolir les universités? | Points de vue - 0 views

  • Dans les systèmes d'éducation européens, l'université est réservée à une élite certes pas économique, mais académique.
  • Ainsi, une formation de niveau doctoral en science coûte facilement un million de dollars à la société.
  • décrétons que ces programmes sont de niveau collégial. Cela permettrait de maintenir les frais de scolarité bas et maintenir, voire augmenter, leur accessibilité. On pourrait même conserver les infrastructures universitaires existantes, les cégeps partageant les locaux avec les universités.
  • ...1 more annotation...
  • Bien sûr, on peut continuer à se mentir collectivement. Le nivellement par le bas est égalitaire.
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