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Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
  • ...10 more annotations...
  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
Laurent Bordet

La ministre de l'Enseignement supérieur veut valoriser et démocratiser l'univ... - 0 views

  • La ministre a déploré que 90% des étudiants titulaires d'un bac pro échouent à l'université dans le premier cycle "quand ils ne sont pas accompagnés". 9.900 intitulés de licences ou masters Elle a demandé aux recteurs d'accueillir en priorité les bac professionnels et technologiques dans les filières BTS, STS et IUT, "avec un accompagnement spécifique".
  • Pour rendre l'offre de l'université "plus lisible", elle veut simplifier licences et masters, qui totalisent 9.900 intitulés. Même les recruteurs s'y perdent, a-t-elle estimé. Cet automne, elle lancera une mission sur une e-université et l'e-formation.
  • L'allocation d'études supérieures promise par François Hollande fera l'objet d'une négociation avec les organisations étudiantes et ne devrait pas démarrer avant la rentrée 2013, a précisé Mme Fioraso à l'AFP.
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  • Enfin, la ministre a estimé qu'"il n'y avait pas de tabou" à faire payer les classes prépa aux grandes écoles mais qu'il fallait alléger le coût des concours.
Laurent Bordet

Démocratisation du supérieur : le conseil économique et social remet de timid... - 0 views

  • "En 1970, 75% des étudiants étaient à l’université, aujourd’hui ils ne sont plus que 56%. Les écoles publiques et privées ont bénéficié de cette situation sans que cela améliore le nombre de diplômés du supérieur". Selon lui : "l'université doit reprendre une place centrale dans l'enseignement supérieur et les filières courtes, les BTS et les IUT, doivent bénéficier davantage aux bacs professionnels et technologiques". L’avis du CESE en cela n’innove guère. Il a cependant le mérite de corroborer les résultats de l’enquête générationnelle 2007 du CEREQ ainsi que les études menées par la DEPP.
Laurent Bordet

Les "prépas" contraintes de s'adapter face à la concurrence - LeMonde.fr - 0 views

  • Les classes préparatoires sont-elles menacées ? Une enquête inédite de la Conférence des grandes écoles (CGE, qui rassemble 220 établissements) montre que les étudiants qui intègrent une grande école (quelle que soit l'année d'entrée) ne sont plus que 38,5 % à être issus d'une prépa : 40,2 % pour les écoles d'ingénieurs et 37 % pour les écoles de management.
  • Dans le top 10 des écoles d'ingénieurs, neuf étudiants sur dix viennent de prépa. Sur les 400 élèves entrés à Polytechnique en 2011, 10 seulement venaient de l'université..
  • Les prépas intégrées séduisent de plus en plus, notamment dans les écoles d'ingénieurs. Un quart des élèves ingénieurs intègrent leur école dès la sortie du lycée et commencent par deux années de prépa.
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  • Détour par l'université Objectif : décrocher un BTS, un DUT, voire une licence avant de tenter un concours de grande école. 18 % des jeunes qui intègrent une grande école ont opté pour un institut universitaire de technologie (IUT) et 9 % une section de technicien supérieur (STS). Un cycle préparatoire d'un an a même été créé pour eux : adaptation technicien supérieur (ATS). Il y a sans doute parmi eux des étudiants qui veulent s'épargner le choc de la prépa.
  • . Passer par l'université permet de décrocher un diplôme en cours de route, ce qui offre une porte de sortie, au cas où. Alors que le parcours prépa-école, c'est la garantie de ne pas toucher de salaire avant au moins cinq ans.
  • L'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense a créé en 2006 une licence humanités. On y étudie les lettres, l'histoire, la philosophie et les langues. L'emploi du temps est dense et les enseignants mettent l'accent sur la méthodologie et l'accompagnement des étudiants. D'autres facs ont créé une classe prépa, stricto sensu, comme l'université de Bretagne-Sud en 2009. Mais de tels exemples sont rares.
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