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Laurent Bordet

Jeune diplômé cherche stage à tout prix - Libération - 0 views

  • Éducation: les enjeux, les débats Violences à l'école | Rythmes scolaires | Orientation | Jeunes diplômés, la course à l'excellence | Apprentis, les nouveaux profils | Bac 2011 Société Hier à 12h04 (Mis à jour à 21:03) Jeune diplômé cherche stage à tout prix 111 commentaires Par MARIE PIQUEMAL Lors d'une manifestation organisée par le collectif Génération précaire en janvier 2008. (© AFP Bertrand Guay) Septembre arrivant, pour les jeunes diplômés débarquant sur le marché d
  • Il y a pile un an paraissait un décret interdisant les stages en entreprise «hors cursus», c'est-à-dire ne s'intégrant pas dans une formation. L'idée était ainsi d'éviter que les entreprises abusent de stagiaires déjà diplômés au lieu d'embaucher
  • Une amie lui refile un filon: s'inscrire dans un organisme de formation privé. «J'ai appelé en expliquant ma situation. Ils m'ont dit d'envoyer un chèque de 500 euros. Et la semaine d'après, je recevais par la Poste la convention pré-signée. Je ne m'en suis pas si mal sortie comparé à d'autres.
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  • Rappelées à l'ordre, certaines facs rusent encore, via des diplômes un peu bidon, du type «DU d'insertion professionnelle». Mais la plupart ont fermé le robinet à conventions.
  • Payer 900 euros pour faire un stage
  • Ce sont des arnaques, dénonce Laurent Wauquiez, le ministre de l'Enseignement supérieur, qui promet de «traquer» ces fausses formations
  • «il n'y a qu'une solution: interdire aux entreprises de prendre des stagiaires diplômés. Il faut être clair: les stages sont une arme de destruction massive d'emploi, ils détruisent des postes de juniors».
Laurent Bordet

la Confédération Etudiante tire la sonnette d'alarme - 0 views

  • L’absence de mesures pour améliorer l’insertion professionnelle à l’Université dans le discours de la Ministre pousse La Confédération Etudiante à tirer la sonnette d’alarme. Alors que les assises de l’enseignement supérieur s’ouvrent peu à peu dans les territoires, la  question de l’insertion professionnelle des jeunes diplômés, primordiale pour l’avenir de notre pays et première préoccupation des étudiants doit être au cœur des concertations.
  • La plus grande difficulté rencontrée par les jeunes diplômés pour trouver un emploi est la méconnaissance du monde de l’entreprise.
  • L’Université dont nous avons besoin, c’est  une Université décloisonnée, ouverte sur le monde qui l’entoure, qui soit le terreau de l’innovation et de la création de savoirs et de richesses.    C’est pourquoi la Cé propose ses mesures pour l’insertion professionnelle : Mise en place de stages obligatoires dès la licence quelle que soit la filière. Généralisation des réseaux d’anciens étudiants dans toutes les universités comme dans les écoles pour permettre à tous les étudiants dès la première année de se construire un réseau nécessaire à l’insertion professionnelle. Organisation de rencontres régulières entre les étudiants et le monde de l’entreprise : forums, petits déjeuners RH, visites d’entreprises, interventions de professionnels et anciens étudiants… Création de modules de formation à l’entreprenariat et la création d’incubateurs/pépinières à l’intérieur des universités
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Démocratisation du supérieur : le conseil économique et social remet de timid... - 0 views

  • "En 1970, 75% des étudiants étaient à l’université, aujourd’hui ils ne sont plus que 56%. Les écoles publiques et privées ont bénéficié de cette situation sans que cela améliore le nombre de diplômés du supérieur". Selon lui : "l'université doit reprendre une place centrale dans l'enseignement supérieur et les filières courtes, les BTS et les IUT, doivent bénéficier davantage aux bacs professionnels et technologiques". L’avis du CESE en cela n’innove guère. Il a cependant le mérite de corroborer les résultats de l’enquête générationnelle 2007 du CEREQ ainsi que les études menées par la DEPP.
Laurent Bordet

Enseignement supérieur: Sarkozy rate l'excellence - Libération - 0 views

  • Les 8 lauréats des Idex se trouvent pour moitié en Ile-de-France, les autres en province (Toulouse, Strasbourg,  Bordeaux et Aix-Marseille). Mais tout le Nord et l’Ouest de la France ont été oubliés. On se retrouve avec un paysage totalement déséquilibré, des régions entières sans grands pôles et un écart qui se creuse avec les petites universités exclues de la manne financière.
  • La «circulaire Guéant», le grand ratage final A l’origine, baisser les chiffres de l’immigration légale Obnubilés par la politique du chiffre en matière d’immigration, les ministres de l’Intérieur et du Travail, Claude Guéant et Xavier Bertrand adressent le 31 mai 2011 une circulaire aux préfectures pour qu’elles examinent avec «plus de rigueur» les demandes d’autorisation de travail des immigrés. Sont visés entre autres les jeunes diplômés étrangers, de niveau master ou plus, qui à la fin de leurs cursus effectuaient jusqu’ici une première expérience professionnelle en France.
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    Principaux jalons de la réforme universitaire sous l'ère Sarkozy
Laurent Bordet

Les étudiants étrangers en froid avec la France - LeMonde.fr - 0 views

  • Oui, du mal a été fait", assure Pierre Tapie, président de la Conférence des grandes écoles (CGE). " Cette affaire a fait énormément de bruit en Inde, au Brésil, en Chine, au Maroc...
  • ans la guerre internationale du talent, tout pays qui complique l'obtention de visas pour les étudiants, la possibilité de travailler pendant les études ou de vivre une première expérience professionnelle après le diplôme se tire une balle dans le pied", m
  • e XXIe siècle est souvent présenté comme devant être celui de l'économie de la connaissance. Plus que jamais, c'est le savoir et l'innovation qui créeront la richesse. D'où l'importance d'attirer les meilleurs des 200 millions d'étudiants que devrait compter le monde en 2015. "
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  • Ces étudiants, futurs chercheurs ou entrepreneurs, s'interrogent aujourd'hui sur les intentions de la France. L'ancien premier ministre Jean-Pierre Raffarin en a fait l'expérience, en visitant un Salon étudiant à Pékin. "Des étudiants chinois se sont attroupés et m'ont interpellé sur cette question, alors que j'étais interviewé par des télévisions chinoises", raconte-t-il.
  • u Maroc, des professeurs d'établissements français ont écrit à l'ambassadeur de France, le 14 octobre, pour prévenir de "l'effet désastreux produit au Maroc et en particulier de la consternation des familles ayant choisi de mettre leurs enfants dans les écoles du réseau d'enseignement français".
  • abil Sebti, 25 ans, est l'un d'eux. Marocain diplômé d'HEC, il est porte-parole du Collectif des étudiants étrangers. Après l'avoir interviewé, le New York Times constate, le 9 novembre :
  • assure que les étudiants étrangers qui ont obtenu au moins un master en France pourront rester pour une première expérience professionnelle sans que la situation de l'emploi puisse leur être opposée. François Fillon insiste : "Notre objectif est d'attirer les meilleurs étudiants du monde."
  • Mentionnant "une politique d'immigration maladroite", The Australian pointe ce dernier aspect dans un article du 23 novembre : "L'implacable montée de l'extrême droite en Europe n'est plus un sujet purement académique pour les universités d'excellence françaises.
  • n attendant, le Canada peut se frotter les mains. Le pays cherche à garder les jeunes qui viennent étudier sur son territoire, rappelle M. Lawton. "Et le Canada, dit-il, est évidemment très bien placé pour accueillir des étudiants étrangers francophones qui cherchent une destination accueillante pour suivre des études de qualité." Ainsi, dans les cours qu'il donne au Québec, Jean-Pierre Raffarin a beaucoup d'étudiants maghrébins. "Entre une administration canadienne accueillante et une administration française un peu fermée, ils font vite le choix", précise-t-il.
Laurent Bordet

Le cœur de l'enseignement supérieur bascule-t-il vers d'autres horizons ? | L... - 0 views

  • le cœur de l’enseignement supérieur mondial n’est-il pas en train de basculer vers l’extrême orient et le sud ?
  • La « vieille Europe » se retrouve coincée entre les deux grandes puissances avec lesquelles ses relations ne sont pas au beau fixe : des Etats-Unis sur la défensive et une Chine flamboyante.
  • 1. Le Qatar renforce son campus d’excellence tout comme Dubaï, Singapour ou la Malaisie.
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  • Sur le modèle de Singapour, les émergents misent sur la matière grise et l’innovation pour se développer et rendre leur territoire mondialement attractif. « L’innovation est essentielle pour améliorer tant l’accès à l’éducation que sa qualité », a rappelé le président de Wise.
  • Education hubs comme l’explique le journal « Le Monde » daté du 10/11/2011 (pp. 16-17) «bousculent la planète universitaire » :
  • créés à Dubaï, Singapour ou au Qatar », ils redessinent la géographie de la connaissance.
  • 2. L’EFMD accrédite l’Afrique.
  • Même si les écoles africaines n’ont pas encore atteint les standards internationaux, elles s’en rapprochent de plus en plus. Les écoles de commerce de Casablanca, d’Ifrane, d’Alger ou de Dakar occupent la tête du classement africain (hors Afrique du sud) réalisé par Jeune Afrique
  • La question, pour les étudiants africains se posera, à terme, entre un séjour en Afrique du sud, au Maroc ou en France
  • 3. Les business schools chinoises ciblent nos étudiants.
  • Les écoles de commerce chinoises ciblent les étudiants occidentaux par un recrutement agressif.
  • mais révèlent un changement profond du paysage de l’enseignement supérieur à l’échelle mondiale
  • a concurrence en matière d’enseignement supérieur se situe, aujourd’hui, à l’échelle mondiale. J’ai expliqué ce phénomène maintes fois dans ce blog. - Quelles réponses apporter ? Faut-il prendre le risque de poursuivre notre modèle concurrentiel construit autour de baronnies et de cloisonnements ou opter pour un modèle collaboratif et ouvert ? A l’avenir, les étudiants décideront de leur parcours à une échelle qui mettra l’offre des formations supérieures hexagonale au même niveau que celles offertes à l’étranger. - Le développement des écoles doit accompagner celui des entreprises. L’étudiant (français ou étranger) choisira son établissement en fonction de la qualité des relations écoles-entreprises qu’il entretiendra au plan national et international. Ayons une vision mondiale et ouverte, ne pas accepter cette mutation, c’est voire notre influence et notre positionnement décliner. *Les organismes de référence en matière d’accréditation des business schools sont les suivants : l’AACSB (Association to Advance Collegiate Schools of Business), l’EFMD (European Foundation for Management Development, Equis ou Epas) et l’AMBA (Association of MBAs). Share and Enjoy: Tags: Afrique, Chine, Enseignement supérieur Article du on Jeudi, novembre 10th, 2011 at 10:57 dans la rubrique Enseignement supérieur, géopolitique. Pour suivre les flux RSS de cet article : RSS 2.0 feed. Vous pouvez laisser un commentaire , ou un trackback sur votre propre site. « Et pourquoi pas un G20 Education ? Laisser un commentaire Name (required) Mail (will not be published) (required) Website Un blog A propos du Blog Tous les blogs Educpros Charte du blog Flux RSS Pages À propos Géopolitique Articles récents Le cœur de l’enseignement supérieur bascule-t-il vers d’autres horizons ? Et pourquoi pas un G20 Education ? Quand broyer du noir n’est pas forcément synonyme de morosité L’enjeu des compétences métier Relations étudiants/entreprises : il faut s’attendre à des surprises. Catégories Conjoncture économique Voir tous les articles classés dans diversit
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