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""Sortons du silence, réagissons !" : c'est le titre d'une lettre ouverte signée par sept catholiques de Toulouse, qui enjoignent l'Eglise à s'ouvrir après les derniers scandales."

"À Toulouse, l'église Saint-Sauveur de Borderouge sera consacrée par l'archevêque dimanche 15 décembre. L'aboutissement d'un long travail mené par les catholiques de ce quartier nouveau pour façonner un édifice à leur image."

"Le mot gouvernance est de plus en plus utilisé dans le langage courant et il nous a paru intéressant, en cette veille d'élections municipales et au moment où l'Église catholique connaît une crise exceptionnelle, de s'interroger sur les remises en cause, par des collectifs divers, des manières traditionnelles de gouverner."

"Les chrétiens ne peuvent pas garder pour eux la joie que le Ressuscité sème dans leurs cœurs. Porter ce feu au monde : tel est l'un des objectifs des fraternités missionnaires."

"Invitation à notre réunion participative Apres une petition ( cf lien ci-dessous) , et un courrier à l'évèque de Toulouse, nos échanges auront pour but l'esquisse du contenu de ce tiers lieu à proposer à notre diocèse. Des isouhaits, des dées, un projet à bâtir..."

"Le monde a-t-il jamais été en pleine paix ? On l'a dit pour l'Empire romain au moment de l'avènement de Jésus, comme le chante le martyrologe de Noël, mais était-ce bien vrai partout et pour combien de temps ? Saint Augustin a écrit La Cité de Dieu au moment où le monde romain s'effondrait ; saint Grégoire le Grand se plaint des invasions des Barbares. L'un et l'autre ont agi par leur intelligence et par leur foi ; leurs engagements ont contribué à rendre leur monde et leur temps meilleurs, mais les hommes sont restés les hommes : Homo homini lupus, dit le proverbe (« l'homme est un loup pour l'homme », repris par Thomas Hobbes). Rien de pire que de tomber dans les mains des hommes, s'écriait David, qui préférait la peste (cf. 2 S 24, 14). L'égoïsme et l'individualisme des personnes comme des nations se manifestent constamment : on le voit à la façon dont de grands pays refusent de s'engager pour le climat de notre planète. La pandémie du coronavirus est venue confirmer de façon inattendue et généralisée la précarité de notre vie humaine et l'urgence de conversions en profondeur. Tous ces derniers temps de confinement et de déconfinement, face à la mort que nous ne pouvions plus escamoter, le cri des Apôtres est revenu du fond de notre être : « Seigneur, sauve-nous ! Nous sommes perdus » (Mt 8, 25 : premier chapitre après le discours sur la montagne). C'est aussi l'appel que nous portons au début de chaque office de la liturgie des Heures : « Dieu, viens à mon aide : Seigneur, à notre secours ». C'est le début d'un psaume. Comme la plupart du temps, c'est un cri, suivi de l'exposé du drame ou de l'épreuve, qui amène un apaisement et même une action de grâce. Toute l'Écriture retentit de tels cris. Il nous est bon de laisser sortir de notre cœur de vrais appels, de ceux qui touchent le cœur de Dieu, comme en témoigne l'Histoire du salut et même notre

"Les prêtres, la chapelle, les processions sont les trois éléments nécessaires à un lieu de pèlerinage. Les prêtres, comme «  sacrement du Christ », pour transmettre la Parole de Dieu, pour le service des confessions et la célébration de l'Eucharistie, la chapelle comme symbole de l'Église à édifier, les processions comme image du pèlerinage de foi de l'Église et de chacun de nous ici-bas. L'Église c'est cela : un peuple en marche, un lieu de célébration, des pasteurs, au nom du Christ l'Unique Pasteur. Les sanctuaires, et particulièrement Lourdes sont des lieux où l'on expérimente l'Église, on apprend l'Église à l'école de Marie, on se met en route à la suite du Christ. L'Église, Corps du Christ, Temple de l'Esprit, est un rassemblement, un lieu de conversion et de guérison, un lieu de communion avec Dieu et de communion fraternelle, un lieu d'exercice du sacerdoce baptismal dans la prière et la participation active à l'Eucharistie pour la gloire de Dieu et le salut du monde ; l'Église est une envoyée, une mission ; l'Église est une marche ensemble, un pèlerinage de foi qui s'inscrit dans le monde et l'histoire humaine, qui entraîne toute l'humanité et la création vers leur accomplissement ultime dans le Royaume de Dieu. Lors d'un pèlerinage, on vit une proximité entre pèlerins, entre prêtres, diacres et fidèles laïcs, entre bien portants et malades, entre riches et pauvres ; on se sent de la même famille, enfants de Dieu, frères et sœurs en chemin de conversion, pécheurs et malades en espérance de guérison. On marche ensemble, on avance ensemble. Comment penser notre Église diocésaine à partir de cette expérience de pèlerinage ?"

"Face à la diminution régulière de la pratique religieuse, à la baisse du nombre de prêtres, à la laïcité qui cherche à se définir... des questions interpellent les croyants sur le rôle des baptisés."

Le père Christian Delarbre, recteur de l'Institut catholique de Toulouse, a été invité à prendre la parole le 5 octobre 2020 à l'abbaye de Sablonceaux devant les responsables pastoraux du diocèse de La Rochelle. "Tout chrétien, a soutenu l'ancien vicaire général du diocèse d'Auch, est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l'amour de Dieu en Jésus Christ". Le père Delarbre est d'abord revenu sur la formation des disciples-missionnaires dans l'exhortation apostolique publiée en novembre 2013 intitulée Evangelii Gaudium. Le pape François, a-t-il expliqué, revisite largement la question de la participation active des fidèles à la mission de l'Eglise, en introduisant l'expression « disciple-missionnaire ».

Le père Christian Delarbre, recteur de l'Institut catholique de Toulouse, a été invité à prendre la parole le 5 octobre 2020 à l'abbaye de Sablonceaux devant les responsables pastoraux du diocèse de La Rochelle. "Tout chrétien, a soutenu l'ancien vicaire général du diocèse d'Auch, est missionnaire dans la mesure où il a rencontré l'amour de Dieu en Jésus Christ". Le père Delarbre est d'abord revenu sur la formation des disciples-missionnaires dans l'exhortation apostolique publiée en novembre 2013 intitulée Evangelii Gaudium. Le pape François, a-t-il expliqué, revisite largement la question de la participation active des fidèles à la mission de l'Eglise, en introduisant l'expression « disciple-missionnaire ».

Le lien entre Eglise et territoire est au cœur de plusieurs publications du Père Christian Delarbre, enseignant puis recteur de l'Institut catholique de Toulouse, devenu notre Archevêque. Selon la méthode des 'mots-clefs', souvent employée par le Pape François, nous empruntons à quelques-uns de ses articles de quoi nourrir notre réflexion. Elle se présente comme un tableau pointilliste, donc sans épuiser le sujet. Les références des textes cités sont toutes précisées en fin de séquence

"Plusieurs créations artistiques destinées au grand public - la cérémonie d'ouverture des JO à Paris, un projet de spectacle de rue sur le thème des « ténèbres » à Toulouse, notamment -, ont heurté des croyants ces dernières années. Le signe d'un éloignement entre deux mondes qui ont pourtant de profondes affinités. Enquête sur un fossé et les moyens de le dépasser, alors que se tient le Jubilé des artistes et du monde la culture à Rome, du samedi 15 au mardi 18 février."

"Lettre ouverte : « Sortons du silence, réagissons ! » Des catholiques de base lancent un appel…"