Group items tagged

Les principaux enseignements de notre sondage I - Religions, croyance et rites l'état des lieux 50 % Appartenance religieuse : 50% des Français se disent chrétiens, plus de 4 Français sur 10 s'affichent « sans religion ». 72 % Mais seulement 27% des Français se disent croyants. II - Rôle des religions et du christianisme Une vision assez critique des religions en général, mais moins du Christianisme. III - Espérance, croyance en l'avenir et « bonne vie » 71 % des Français pensent que leurs concitoyens ne sont pas des personnes confiantes en l'avenir et 51% n'ont pas confiance en leur propre avenir. Les croyants et surtout les pratiquants sont plus optimistes. Une bonne vie pour les Français, c'est avant tout « savoir profiter de la vie comme elle vient ». L'espérance apparaît moins essentielle. 46 % De fait, l'espérance d'une vie après la mort et encore plus d'une présence de Dieu à nos côtés est le fait d'une minorité (46% dont 17% de « sûrs).

"La deuxième édition du Forum des religions invite à parler religions à Strasbourg. L'occasion pour sept responsables d'échanger en préambule sur la modernité et l'adaptation de leurs cultes. Rencontres et ateliers se tiennent jusqu'à dimanche." [RDP du 16 octobre 2020]

"La première pierre du centre Pierre-Teilhard-de-Chardin, fruit d'une association entre la Compagnie de Jésus et les diocèses d'Île-de-France, doit être posée jeudi 8 avril sur le plateau de Saclay (Essonne et Yvelines). D'autres religions veulent accroître leur présence au cœur de ce gigantesque pôle technologique et scientifique."

"Quelques jours avant le décès du pape, le frère dominicain Paul-Adrien a évoqué dans une interview au "Figaro" un retour au premier plan des religions et un recul de l'athéisme. Un mouvement notable, selon ce quadragénaire devenu l'une des figures de la sphère catholique française en ligne. Malgré la hausse du nombre de baptêmes catholiques, une déchristianisation de la France accompagne depuis plusieurs décennies la progression régulière de l'athéisme."

" Eh oui ! les religions sont comme les êtres humains, elles naissent un jour, elles vivent, grandissent, prospèrent, puis elles sont malades et un jour aussi, elles meurent et disparaissent. Leur vie est seulement habituellement plus longue que celle des hommes, elle se compte en siècles plutôt qu'en années, à tel point que beaucoup d'adeptes et de fervents adhérents ont souvent été persuadés de leur immortalité. Au cours de son histoire"

"Pour répondre aux attentes du Synode diocésain de 2018 et de la démarche sur la synodalité, le diocèse de Bordeaux examine sa mission et son organisation. Il envisage les transformations qui seront nécessaires. L'Évangile est toujours l'Évangile, la mission ecclésiale est toujours d'actualité, le territoire de la Gironde a toujours la même superficie. Mais les habitants, leur style de vie, leur rapport à la religion, à l'Église catholique en particulier, ont changé. Notre monde change Nous vivons des mutations considérables. De nouveaux moyens de communication sont à notre disposition pour échanger avec nos proches et nos collègues de travail. De nouveaux modes de relation (télétravail, visioconférence…) se développent depuis la COVID, dans la vie professionnelle comme dans la vie familiale et associative. Cette épidémie et les questions environnementales ont pu d'ailleurs nous faire penser autrement les priorités de nos vies. L'organisation de notre temps personnel, familial, de loisirs, professionnel se transforme. Quand c'est possible, certains préfèrent travailler moins pour consacrer davantage de temps à ce qui donne sens à leur vie. Le rapport à notre lieu de vie est apprécié très différemment entre nous : il y a ceux qui sont profondément attachés à leur terre, d'autres qui souhaitent changer de lieu et ne le peuvent pas, d'autres encore qui sont indifférents aux lieux où ils habitent. Les relations se tissent parfois entre voisins ; mais d'autres choisissent de vivre leurs relations ailleurs. Dans l'opinion de beaucoup de nos contemporains, on peut se passer de Dieu. Ce qui n'empêche pas que, dans cette société française très sécularisée et multiculturelle, des religions et de nombreux courants spirituels existent et se proposent. Nous sommes chrétiens dans ce monde et pour ce monde"

"Livres, stages, applications, la méditation inspirée des religions orientales ou de pleine conscience fait recette. Longtemps ignorants des pratiques d'intériorité dans leur propre tradition spirituelle, les chrétiens y viennent de plus en plus."

"Selon un sondage Ipsos-Cesi École d'ingénieurs (1), que publie « La Croix » en exclusivité, près d'un Français sur deux a une bonne opinion de la religion catholique et du pape François. Léon XIV reste encore méconnu mais bénéficie d'un a priori positif."

"Bénédicte Lutaud, journaliste au "Figaro", spécialiste de l'actualité des religions, a publié le 18 février Femmes de papes, (édition du Cerf), un ouvrage sur les conseillères des chefs de l'Église. Un essai qui éclaire les enjeux actuels du Vatican, confronté à la vague #MeToo."

"L'Église catholique est-elle en train de se réformer ? Samedi 26 octobre, des évêques d'Amazonie ont demandé au pape François d'autoriser l'ordination aux hommes mariés et d'envisager que les femmes puissent devenir diacres. La première requête remet le débat du mariage des prêtres sur le devant de la scène. En France, pourtant, la question semble bloquée.  Un "blocage institutionnel" pour Claude Dargent, professeur en sociologie à l'université Paris-8 spécialiste des religions, dû en partie à un "conservatisme réactionnaire", ajoute Frédéric Martel, chercheur et auteur de Sodoma, enquête sur l'homosexualité dans l'Église. "

"À la veille de Noël, l'historien et théologien Jean-François Colosimo et le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire chrétien La Vie s'interrogent sur le déclin du catholicisme en France et en Europe. L'auteur de La Religion française et celui de Un catholique s'est échappé y voient à la fois une crise spirituelle et de civilisation. Retrouvez ici la version longue de l'article publié dans le dernier numéro du Figaro Magazine."

"L'association propose aux jeunes de 15 à 35 ans de partager leurs différences de religions et de convictions pour en faire un tremplin de fraternité. Un mouvement de jeunesse qui continue de porter ses fruits aujourd'hui et propose diverses animations pour fêter ses 15 ans, le 14 janvier 2024."

"Déclaration du concile Vatican II sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes, 2e partie"

"Déclaration du Concile Vatican II sur les relations de l'Église avec les religions non chrétiennes, 1re partie"

"Si l'idée d'ordonner des hommes mariés fait son chemin au sein de la hiérarchie catholique, elle ne doit pas servir à opérer un changement superficiel, estime Danièle Hervieu-Léger, sociologue des religions, dans une tribune au « Monde »."

"Enquête sur ces associations qui veulent "débaptiser" la France. Nombreux sont les français à vouloir se faire "débaptiser" pour manifester leur désaccord avec l'Eglise. Derrière ce phénomène, plusieurs associations facilitent les démarches de ces catholiques déçus, désireux de rompre tout lien avec la religion de leur enfance. Enquête. "

"L'archevêque de Besançon se rendra à Rome à partir de dimanche prochain pour présenter son rapport quinquennal au Pape. En exergue, le synode du diocèse, la formation des prêtres, les migrants, la question de l'écologie… et les chantiers menés pour préserver l'enracinement profond de la religion chrétienne dans le diocèse."

"En décembre, Mgr Michel Aupetit, évêque de Nanterre, a convié tous les maires du département à participer à une soirée de réflexion axée sur les dynamiques territoriales qui seront à l'œuvre dans son diocèse d'ici à cinq ou dix ans."

""La formation continue des agents pastoraux", c'est le thème de la rencontre de la Fondation Internationale Religions et Société qui s'est tenue du 29 au 30 avril à l'Abbaye de Maredsous, en Belgique. Elle a réuni pendant deux jours des évêques venus de diocèses du Rwanda, de la République démocratique du Congo, du Burkina Faso, d'Italie, de Belgique, de France et d'Allemagne. L'objectif : réfléchir ensemble aux défis de l'Eglise dans un monde globalisé et permettre un échange d'expériences pastorales entre les diocèses des pays du Nord et du Sud."

"Malgré la pandémie qui se prolonge et les incertitudes qui continuent de planer sur les prochains mois, plusieurs événements religieux sont d'ores et déjà prévus pour l'année à venir, en France et dans le monde."