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Suite aux visites paroissiales entre le 11 janvier 2019 et le 23 février 2020, notre évêque a eu la grâce de visiter les 14 paroisses de notre diocèse. Cette lettre est diffusée le 22 mars 2021. Cette lettre aurait dû être publiée le 8 septembre dernier, elle se voulait une suite de propositions pour l'avenir, peut-être une sorte de testament car, l'épiscopat de notre évêque parmi nous s'avance vers sa fin. Le conseil épiscopal a représenté l'importance de prendre le temps d'une nouvelle réflexion. Le conseil du presbyterium, qui a mis en place deux comissions pour avancer sur l'avenir de l'exercice du ministère des prêtres, et le conseil diocésain de pastorale ont été intérrogé sur le contenu de cette lettre. Cette lettre nous permet de prendre conscience du changement vécu pour organiser la mission à partir de nos réalités paroissiales et diocésaines et garder notre cap vers l'avenir du diocèse de Carcassonne & Narbonne.

"Le jour de la messe chrismale, Mgr Percerou s'est adressé aux prêtres et diacres du diocèse de Nantes. Lors de son intervention, il les a informé de sa décision de confier, à la rentrée prochaine, la paroisse Saint Donatien et l'ensemble paroissial Saint François de Sales et Sainte Elisabeth à la communauté du Chemin Neuf, lui demandant d'assurer l'animation des communautés paroissiales mais aussi de développer un accueil des pèlerins (paroisses ou mouvements) jusqu'à la confession de Saint Donatien et Saint Rogatien."

"Le Conseil diocésain pour le diaconat vient d'être constitué. Il entrera en fonction à compter du 1er mars 2021. Son mandat est de trois ans. Découvrir le nouveau Conseil diocésain pour le diaconat."

"Lundi 24 mai 2021, à l'occasion de la clôture de l'année jubilaire, les délégués des archiprêtrés, les délégués des archiprêtrés, des services diocésains et les membres de l'équipe d'accompagnement ont reçu le texte des orientations pastorales. Mgr Jean-Christophe Lagleize, évêque de Metz, nous explique le but de ces orientations."

Notre pays, en tant que tel, ne veut plus croire en un « encore meilleur » qui viendrait d'ailleurs ou d'en haut, il a voulu et veut s'approprier le meilleur qu'il peut se donner. Il a construit ainsi, il faut le reconnaître, un progrès formidable, il s'est transformé en une société de liberté et d'égalité. Mais l'élan s'est essoufflé. Nous ne sommes collectivement plus très sûrs que demain sera meilleur qu'aujourd'hui, nous craignons que le temps ne soit qu'un facteur d'usure, nous redoutons que les meilleures situations d'ici-bas ne cachent toujours des violences, des mensonges, des secrets honteux. De plus en plus, nos sociétés occidentales sont des sociétés de la frustration. Elles accumulent les droits, ce qui pourrait être réjouissant, mais sur fond de ressentiment, quand il faudrait élan vers l'avenir et, par conséquent, pardon, qui n'est pas amnistie. Nous ne percevons plus venant à nos devants le plus grand, le « encore meilleur », le don gracieux, qui peut nous surprendre, tout comblés que nous soyons. Nous avons peur de manquer alors que nous avons beaucoup, et ce qui nous manque, le peu qui nous manque parfois, nous obnubile. Comment retrouver le chemin de la joie ? Est-il encore possible à un peuple d'être joyeux ? A travers les heurts de l'histoire, ce fut toujours difficile. C'est la mission de ceux et celles qui ont la grâce de la foi que d'aller vers la vieille humanité, non pour l'accabler avec l'insolence de la jeunesse qui a tout, même les promesses du lendemain, mais pour la servir, avec la délicatesse de qui ne veut rien avoir à soi sans le partager et qui sait qu'il ne peut être comblé que grâce à l'effort patient de celles et de ceux qui l'ont précédé.

Voici le projet pastoral diocésain, publié ce dimanche de Pentecôte. Un nouveau souffle pour la Mission ! : jeunesse, célébration, vie paroissiale...

"Chers amis, depuis trois ans notre diocèse de Saint-Étienne est engagé dans une démarche jubilaire pour célébrer, dans le souffle de l'Esprit de Pentecôte, les 50 ans de sa création. Nous avons commencé par une année fraternelle qui mettait l'accent sur les fraternités locales missionnaires, si précieuses pour vivre et rayonner l'Évangile au quotidien. L'année suivante était celle de la mission. C'est le grand défi que nous avons à relever aujourd'hui. Afin de le vivre d'une manière renouvelée, nous avions lancé une démarche synodale pour nous mettre ensemble à l'écoute de l'Esprit-Saint. Comme vous le savez, à peine lancée notre démarche a été suspendue par la pandémie. Cette fête de Pentecôte 2021 devait être le sommet de notre jubilé, avec un grand rassemblement diocésain et la promulgation des orientations synodales. "

"Une "pastorale" des pèlerinages s'intégrera de plus en plus dans la pastorale des diocèses. À l'heure de la désaffection des chrétiens pour la pratique religieuse, où les chiffres de la participation aux messes dominicales dans nos paroisses diminuent et où la transmission de la foi par les ainés semble décroitre nettement, il nous faut trouver de nouveaux moyens d'évangélisation. Certes des idées et des projets existent et permettent encore d'aller à la rencontre de nos frères. Mais les pèlerinages en Terre sainte, aux tombeaux des apôtres, dans les hauts-lieux spirituels qui mêlent spiritualité, culture, rencontre, partage, amitié, joie sont de vraies propositions de la foi dans le respect de l'autre, quoi qu'il vive, quoi qu'il vienne chercher. La force du groupe, lorsqu'il prie ensemble, célèbre ensemble, vit ensemble, partage ensemble est souvent un magnifique témoignage de vie chrétienne et de foi. Comment ne pas revenir diffèrent d'un pèlerinage en Terre sainte ? "

Je vous écris cette lettre concernant l'avenir des paroisses du diocèse, afin qu'ensemble vous réfléchissiez aux questions qui se posent à nous. Je remercie d'avance tous ceux qui, avec vous, porteront cette réflexion. (…) Nous devenons particulièrement sensibles à la rapide diminution des prêtres et des agents pastoraux. Des perspectives statistiques à court terme font ressortir qu'il y aura, dans 5 ans, une cinquantaine de prêtres diocésains de moins de 75 ans dans le diocèse de Montpellier. La crise liée au coronavirus, ainsi que d'autres réalités inquiétantes, nous obligent à regarder d'une manière nouvelle l'organisation de notre diocèse et à chercher à imaginer ce que deviendra notre Eglise, car il devient évident, comme l'écrit le Pape François, que l'on ne pourra plus continuer comme « on l'a toujours fait » ; il nous invite par ces mots à changer nos habitudes actuelles. Cette lettre s'appuie sur ce qui a été proposé au diocèse, en particulier le premier axe, « Favoriser la rencontre avec le Christ », et le quatrième : « Vivre l'Église comme une communion de disciples. » Une telle focalisation ne signifie pas l'oubli des deux autres dimensions de l'Orientation diocésaine : « Annoncer l'Évangile aux jeunes et avec eux » et « Rejoindre toutes les périphéries ». Cette lettre comporte des questions. Je vous invite à y répondre, d'abord personnellement, puis avec d'autres, en particulier dans le cadre paroissial. Il est nécessaire que beaucoup réfléchissent à ces questions. Les paroisses rassembleront les contributions pour Pâques et veilleront à un échange en secteur. Il serait important que les contributions soient rassemblées par un prêtre et un(e) laïc ; elles devront ensuite être transmises avant la Pentecôte à Marie-Thérèse Biseau (secretariatarcheveque@diocese34.fr).

"Le 10 janvier, l'évêque de Rodez a remis au diocèse sa deuxième lettre pastorale qui invite à revenir à la source du don reçu par le sacrement de baptême. Rencontre avec Mgr François Fonlupt."

"Le texte du Pape, Spiritus Domini, a fait déjà couler beaucoup d'encre. Qui y a-t-il derrière cette ouverture aux femmes des ministères institués du lectorat et de l'acolytat ? L'abbé Lubot, vicaire général décrypte sur RCF Vendée cette décision qui aura peut-être peu d'impact chez nous, car il faudrait déjà que des institutions de lecteur et d'acolyte aient lieu dans nos paroisses, et aussi pour les hommes, ce qui n'est pas vraiment le cas aujourd'hui. Ou alors, peut-être que ces ministères pourront être revalorisés en instituant et en formant des gens, dans des secteurs où les prêtres sont moins nombreux."

"Depuis quelques années dans telle paroisse, quelques mois dans telles autres, des fidèles, femmes et hommes, ont été appelés pour exercer une charge de coordination paroissiale. Ce chemin porte du fruit ; il sert la mission commune et permet aux différents ministères, dont celui des prêtres, de mieux assurer la mission qui leur est spécifique. Après ce temps d'expériment du ministère de coordination paroissiale, il a paru utile d'en mieux préciser le motif ainsi que les modalités d'exercice. Le texte qui est ici proposé veut à la foi inciter les paroisses à réfléchir, discerner, appeler, envoyer des personnes pour ce ministère et leur donner des repères pour suivre ce chemin. Ce décret oriente des choix pour le diocèse et les paroisses."

"Cette semaine dans "En toute bonne Foi", Audrey Souriau et Monseigneur Dominique Rey, évêque du diocèse de Fréjus Toulon reviennent sur la transformation pastorale. Une conversion des églises à la dimension missionnaire."

"Cette période estivale est propice à la relecture de cette année si particulière avec la pandémie qui a modifié nos habitudes de vies, notre façon de travailler, de prier… Dans sa première lettre pastorale, Mgr Blanchet nous invite à nous réunir en assemblées paroissiales à la rentrée. Ces assemblées nous permettront de nous retrouver, de partager et de nous mettre ensemble à l'écoute de ce que l'Esprit-Saint veut nous dire. Ce sera un bel élan pour puiser encore à la source du Synode et mettre toujours plus la mission au cœur de nos actions pastorales"

Lors de la deuxième session, l'assemblée synodale a écrit, amendé et voté un texte intitulé : « Une vision pour l'avenir : ouvrons des chemins de joie ! » Il a pour moi valeur de référence fondamentale pour al mission dans l'avenir et je l'adopte bien volontiers dans son intégralité. 35 orientations ont aussi été votée à plus de 75%. Je retiens ce seuil d'adhésion pour leur publication, en fin de livret

"La crise du Covid-19, avec ses confinements et restrictions diverses, a eu de lourdes conséquences sur les paroisses. On estime à 40 % le nombre de fidèles qui ne sont pas revenus lorsque le culte a été de nouveau autorisé. Pourtant, comme l'explique Mgr Colomb, évêque de La Rochelle et Saintes, les paroisses ont joué un rôle essentiel pendant la crise : des lieux de foi et de générosité d'une Église vivante pour les catholiques… et pas seulement !" Itw parue initialement dans l'Homme Nouveau

Tous serviteurs pour mettre en œuvre les objectifs de l'année pastorale. Le diocèse compte s'appuyer sur les atouts, les qualités et le potentiel dont dispose l'Église de Meuse. Ces qualités sont parlantes pour l'ensemble des Meusiens puisqu'elles sont une partie de leur identité. Des personnes motivées, la solidarité, la richesse de l'environnement naturel et rural sont des opportunités et des ressources précieuses pour porter ces deux objectifs et trois points d'attention ci-dessous cités : Deux objectifs : A Poursuivre notre réflexion sur l'avenir de notre Église diocésaine : « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » B Vivre une année Laudato Si' « Quelle Église voulons-nous être ensemble à l'horizon 2024 ? » Nous entrons dans la deuxième étape, celle des préconisations pastorales. Cette réflexion ecclésiale est l'effort de tout le Peuple de Dieu et de chaque membre de ce peuple. Cet effort de transformation ecclésiale devra conduire chacune et chacun à dépasser ses intérêts propres, ses besoins particuliers pour PENSER ÉGLISE. Je voudrais insister pour dire que ce changement ne pourra s'accomplir sans une conversion personnelle et communautaire qui nous permettra d'avancer au cœur même de nos engagements. Une année « Laudato Si' », du 24 mai 2020 au 24 mai 2021. Une année pour apporter quelques réponses à la pandémie et nous projeter dans l'après-pandémie : « J'invite toutes les personnes de bonne volonté à y adhérer, à prendre soin de notre Maison commune et de nos frères et sœurs les plus fragiles » (Pape François). Plus que jamais il y a urgence pour notre Terre. Chacun de nous porte la responsabilité d'être artisan d'humanité et porte également la responsabilité d'être artisan de l'avenir de notre Église diocésaine, Corps du Christ.

"Le jour de sa première rencontre avec le Christ, à la dixième heure, que vivaient André et son compagnon ? Sans doute, étaient-ils eux aussi préoccupés par la situation du pays, la violence, et l'avenir de leur religion. Mais ils ne restent pas passifs ou amorphes. Ils suivent Jean le Baptiste. Celui-ci leur montre Celui qui passait : Voici l'Agneau de Dieu ! Et c'est LA rencontre ! Le prénom d'André, saint patron du diocèse, en grec signifie viril et en hébreu, il voudrait dire aussi « Celui qui a de la mémoire ». Saint André nous demande à nous membres du diocèse de Bordeaux, d'avoir de la mémoire. Quelle mémoire ? Celle de notre rencontre avec le Christ. Quelle est cette rencontre qui nous a marqués au point que nous nous souvenons de l'heure, ou du lieu, ou des circonstances ? Le Christ est venu dans nos vies. Et Il vient encore. Il nous demande ce qu'Il a demandé à André : dans ces temps difficiles, que cherchez-vous ? Que désirez-vous ?"

"Cette charte est un texte pour l'organisation des paroisses. Elle est à vivre en fonction des orientations pastorales de l'évêque que sont Communion et mission, 2013 et Que devons-nous faire, 2019"

"Après le temps du confinement, nous avons réalisé que l'essentiel était de pouvoir passer de bons moments ensemble, simples et joyeux. Ainsi est née cette idée un peu folle : former des équipes en vue de partager une belle journée d'OLYMPIADES DIOCESAINES ! C'est un projet SIMPLE, qui ne vous prendra pas beaucoup de temps. "