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merryaile

Edgar Morin point de vue sur l'apprentissage - 0 views

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    Edgar Morin répond en vidéo à des questions fondamentales pour penser l'école de demain : Qu'est-ce qu'apprendre à vivre ? c'est apprendre à déjouer les erreurs et les illusions de la vie + c'est apprendre à comprendre l'autre. Qu'est-ce qu'un enfant de 10 ans ne devra jamais oublier tout au long de sa vie ? qu"il a été un enfant de 10 ans, que cet enfant fait encore partir de lui, il a simplement grandi. Qu'est-ce qu'être intelligent ? c'est être capable d'utiliser la raison au bon moment, en sachant qu'elle n'explique parfois pas tout, la place des émotions est importante. Qu'est-ce que l'école doit nous apprendre pour le futur ? elle doit apprendre aux enfants la complexité des problèmes en décloisonnant les matières. La mondialisation aujourd'hui est un phénomène global où les problèmes sont liés entre eux (religion, économie..). Les enfants doivent apprendre à raisonner de manière décloisonner pour pouvoir résoudre les problèmes de demain. Enfin Edgar Morin finit par le conseil suivant sur l'apprentissage : c'est l'individu seul qui apprend, accompagné par des adultes ou un groupe de pairs. Mais l'envie d'apprendre et de s'élever vient de l'individu. 
merryaile

Devons-nous tous apprendre à coder? - Serge Abiteboul - 0 views

  • evoir apprendre à prog
  • Si l’on veut être un citoyen à part entière, si l’on veut prendre en main son destin, il faut par exemple comprendre ce que c’est que le cloud ou le vote électronique et il faut être capable de se programmer une petite application sur son téléphone et de customiser quelques lignes de code sur un site web. Et ce quelque soit son métier. C’est à la portée de tout le monde : ce n’est pas plus compliqué que d’écrire un rapport en français ou de concevoir la logistique d’une entreprise.
  • il faudra rapidement intégrer cet enseignement dans les programmes scolaires
  • ...21 more annotations...
  • Donc, l’informatique est une science qu’il faut enseigner, comme on enseigne la physique, la chimie ou les mathématiques. Mais c’est aussi une technique. Il faut aussi apprendre à fabriquer soi-même des programmes, à résoudre des problèmes avec l’informatique.
  • informatique comme une matière à part entière ou en distiller dans chacune des autres matières, de par son caractère interdisciplinaire
  • qu’une seule pensée algorithmique.
  • La notion d’algorithme est bien connue depuis longtemps. Quand on vous apprend à faire une opération, par exemple l’addition, la multiplication ou la division, on vous apprend des algorithmes.
  • concepts de façon plus abstraite.
  • Il s’agit donc de comprendre la pensée informatique, qui est vraiment fondamentale pour comprendre le monde qui nous entoure
  • Il faut commencer dès le plus jeune âge, car c’est un âge auquel les enfants sont plus réceptifs à de nouvelles idées.
  • apprendre à lire, écrire et compter”. On peut rajouter “et à programmer
  • Cela se fait aussi énormément en dehors de l’école. Il y a des goûters, des clubs, des associations comme Magic Makers
  • Là, il s’agit véritablement d’un enseignement, d’une science et d’une technique et non simplement de familiariser les gens à des outils ou des pratiques.
  • Ils peuvent se former sur le tas. Il existe des associations, des formations en ligne, parfois sous forme de jeu pour la programmation.
  • trois temps scolaires
  • l’école, il s’agit de familiariser aux grands concepts
  • le collègue doit véritablement être le lieu où toute la population doit apprendre les bases de l’informatique
  • , c’est-à-dire la programmation et les bases des algorithmes, ce que c’est que l’information, comment fonctionnent les machines, etc.
  • Quand on passe au lycée, on peut imaginer des enseignements informatiques adaptés aux orientations de chacun
  • ’Angleterre a notamment décidé d’introduire l’enseignement de l’informatique en mettant un examen d’informatique à la fin du lycée.
  • Bavière
  • Israël
  • Corée du Sud
  • La France se situe plutôt parmi les mauvais élèves, en partie parce que nous avons plutôt investi sur l’enseignement des outils et des pratiques du numérique sans véritable volonté d’enseigner l’informatique.
  •  
    Pour Serge Abiteboul, directeur de rechercheur de l'INRIA sa position est formelle : il faut que l'enseignement du code soit intégrer dans le socle des connaissances de l'école, au même titre que compter et lire. Pourquoi ? - car nous vivons dans une société numérique, pour être un citoyen éclairé. - pour ne plus être consommateur de la technique mais aussi acteur. Comment l'enseigner ? Distinction science de l'informatique / informatique. Position de la France en retard par rapport aux autre pays.
merryaile

Quand les étudiants conçoivent eux-mêmes leurs cours - 0 views

  • l’Essec (École supérieure des sciences économiques et commerciales)
  •  Build your Own Course
  • deuxième édition
  • ...9 more annotations...
  • conception de cours
  • du fossé entre la connaissance délivrée par un enseignant et la manière dont elle est reçue par des étudiants
  • Mais le numérique, qui rend la connaissance accessible à tous, met cela particulièrement en évidence.
  • aller chercher des cas sur le terrain,
  • se rendre compte de leurs besoins
  •  Les personnes qui suivront ce cours ne seront forcément celles qui l’ont conçu
  • beaucoup d’entre nous sont passés par une prépa : on y ingurgite beaucoup de connaissances sans remettre en cause la façon dont elles sont enseignées. C’est donc une très bonne initiative. 
  • à la précédente édition, en 2015
  • très lourd à mettre en œuvre 
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    L'ESSEC a passé le cap : faire concevoir un cours par les élèves eux-mêmes. - Pourquoi ? le fossé générationnel a un impact sur la transmission de la connaissance, le message et son intérêt peuvent ne pas être interpretés/compris à 100% par les étudiants. On apprendrait mieux quand on connaît d'abord ses besoins, que l'on sait pourquoi on doit apprendre. - comment ça se passe ? les professeurs ont chacun présenté la connaissance qu'ils pouvaient apporter, les élèves travaillent par groupe sur le cours qu'ils pourraient concevoir. Après présentation des différentes propositions, un vote est réalisé pour choisir un seul cours et le professeur associé. Pendant plusieurs mois ensuite, des élèves volontaires travailleront avec le professeur pour élaborer le cours. Les élèves devront être actifs, en allant sur le terrain, se rendre compte des besoins qu'ils ont pour imaginer le cours. C'est la deuxième fois que l'ESSEC tente l'expérience, auparavant avec 5 cours, cette fois-ci avec seulement un seul car c'est long à mettre en place.
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