Skip to main content

Home/ Classroom 2.0/ Hermès Constance pas cher Dès les premiers
intermixed intermixed

Hermès Constance pas cher Dès les premiers - 0 views

Hermès Herbag pas cher Constance sac Birkin 35

started by intermixed intermixed on 28 May 14
  • intermixed intermixed
     
    Pendant longtemps, en effet, le principal moustique vecteur du virus, Aedes albopictus avait été cantonné au Japon. Mais, depuis dix à quinze ans, il s'est répandu comme une traînée de poudre en différents points du globe. Certains incriminent le commerce des pneus par cargo, abritant des colonies de moustiques, pour expliquer cette émergence. C'est dire l'importance de se protéger individuellement par des vêtements à manche longue, des moustiquaires et des répulsifs. «Et d'en distribuer gratuitement aux plus défavorisés», estime le Pr Flahaut.C'est dire aussi la nécessité de détruire les moustiques et leurs larves. «Mais les larves d'Aedes albopictus occupent non seulement des gîtes créés par l'homme – pneus, boîtes de conserve vides, carcasses de voitures, mais aussi des sites naturels – creux de rochers, bambous coupés – ce qui rend très difficile la lutte contre les sites larvaires dans une île aussi accidentée que la Réunion», souligne Christophe Paupy, entomologiste à l'Institut de recherche et développement de Montpellier. Sac Hermès Herbag pas cher
    Jusqu'ici, on a utilisé le Temephos, mais il va être remplacé par un larvicide moins toxique, pour les habitants et aussi pour la flore et la faune, le BTI (pour Bacillus thuringiensis israeliensis). Même problématique pour les insecticides qui détruisent les moustiques adultes. Le Fenitrothion devrait être remplacé par des pyrethrinoides synthétiques moins toxiques. «Car, effectivement, il y a eu des erreurs de dosage et d'épandage», reconnaît le Pr Flahaut.«Notre arsenal d'insecticides étant limité, nous avons besoin de faire des recherches pour en découvrir d'autres et pour mettre au point de nouvelles stratégies d'application», insiste aussi Christophe Paupy.(1) Contre 56 cas, fin janvier, sur une population de 160 000 habitants.Le porte-parole du gouvernement Jean-François Copé a assuré mercredi que, «dès les premiers signes d'épidémie» de chikungunya, les autorités sanitaires ont pris à La Réunion «les mesures qui s'imposaient» pour lutter contre la maladie. Sac Hermès Constance pas cher «Dès les premiers signes d'épidémie, les autorités sanitaires ont pris les mesures qui s'imposaient pour démoustiquer le territoire et informer la population», a-t-il dit lors du compte-rendu du Conseil des ministres. Le socialiste Jean-Marie Le Guen, député et médecin, a provoqué mardi une polémique à l'Assemblée nationale en accusant le gouvernement d'«avoir sous-estimé la gravité de l'épidémie» et «celle de la maladie». De son côté, selon M. Copé, le président Jacques Chirac a demandé lors du Conseil des ministres un «point de la situation» sur les conséquences économiques et sanitaires du virus qui touche plus de 115.000 personnes sur cette île française de l'Océan indien. Villepin sur l'île ce week-endDominique de Villepin se rendra à La Réunion «dès ce week-end» pour «s'assurer des conditions de soutien médical» à la population face au virus du chikungunya, a annoncé mercredi l'entourage du premier ministre.Le chef du gouvernement s'assurera également «des mesures de démoustication», a-t-on ajouté. sac Hermès Birkin 35 pas cher
    Par ailleurs, pendant sa visite à La Réunion, M. de Villepin «rencontrera les responsables économiques pour apporter les soutiens nécessaires à l'économie de l'île et à la population», a précisé Matignon.Cinquante-deux personnes sont mortes, directement ou indirectement, de l'épidémie du chikungunya à la Réunion depuis le début de l'année, dont 4 de moins de 20 ans, selon le dernier bilan de l'Institut de veille sanitaire (InVS) publié vendredi. Aucun traitement préventif ni curatif n'est pour l'heure connu. C'est un anniversaire qui ne sera sans doute pas célébré à sa juste mesure : il y a vingt ans, l'empreinte génétique faisait ses premiers pas dans les prétoires. Deux ans plus tôt, en 1984, un scientifique britannique, Alec Jeffreys, réalisait pour la première fois, sans le savoir, une empreinte génétique, dans le cadre de travaux portant sur la façon de suivre à la trace des maladies héréditaires dans des familles. Ce code-barres – pour, dans ce cas, code des lois et barre des témoins – génétique participait, en 1986, à deux condamnations, l'une en Grande-Bretagne, l'autre en Floride.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Classroom 2.0 group