Autres sources
Newsring
Contribution au débat "Est-ce à la France de défendre la dépénalisation de l'homosexualité à l'ONU ?" de Bernard Valero, porte-parole du minitère des Affaires étrangères
CS - vu le 26/07/2012
Autres sources
Newsring
Contribution au débat "Est-ce à la France de défendre la dépénalisation de l'homosexualité à l'ONU ?" de de Florian Gentet
CS - vu le 26/07/2012
'archevêché de Paris met les bouchées doubles pour s'opposer au mariage gay. Le clergé avait été interpellé par Cécile Duflot,afin de mettre ses locaux vides à disposition des sans-abri, il hébergera finalement les opposants au mariage homosexuel qui viendront manifester contre le projet de loi sur le «mariage pour tous», le 13 janvier, selon Le Canard Enchaîné.
Il n'y a pas processus de rupture politique dans la légalisation du mariage dit pour tous, ce n'est au contraire qu'un pas en avant symbolique pour désintégrer un peu plus la famille, seule structure solide face au monde individualiste du consommacteur promu par la société mondialo-capitaliste. La cible des dominants, c'est la famille.
La France et ses paradoxes. Il serait bon de rappeler que notre pays, depuis la Révolution, a fait du mariage une institution civile et non plus religieuse. Oui, les trois grandes religions monothéistes rejettent l'homosexualité et il serait aberrant que les gays demandent la bénédictions des institutions religieuses. Mais je le dis et je le répète, le mariage français est avant tout civil. La religion ne rentre donc pas en compte. L'Etat n'est plus l'Eglise, et ce depuis 1905. L'Etat dans une volonté d'équité se doit d'accorder le mariage civil aux couples de même sexe.
"Par ailleurs « la distinction des sexes » est un concept tout à fait ambigu. Utilisé par des organismes comme l'Unaf* ou par l'Eglise Catholique il fait uniquement référence aux « rapports hétérosexuels » alors qu'il a été forgé, tout au contraire, par les anthropologues pour montrer qu'on ne peut pas réduire les relations sexuées aux seules relations de sexe opposé (homme/femme) ou de genre opposé (masculin/féminin) et ainsi affirmer que les relations « de même sexe » (père/fils ou mère/fille, frère/frère ou sœur/soeur, oncle/neveu…) sont nombreuses et parcourent toute la vie sociale."
"POINT DE VUE - Et ça continue… Cette fois, c'est un « débat » (sic) lancé sur le site Newsring, qui pose la question : « Le genre est-il une théorie ? » Le propos introduisant le « débat » et les prises de position d'« experts» sont affligeants, le principe même du vote choquant. "
"ntretien sur l'exercice du pouvoir, lettre publiée dans la presse, discours officiels, homélies quotidiennes, conférence de presse dans un avion pour Rio… Depuis le mois de septembre, le pape François multiplie les prises de parole, rompant avec la réserve adoptée par son prédécesseur Benoit XVI au cours de son pontificat."
"Le pape François est-il en train de changer la façon de diriger l'Eglise ? Pour Olivier Bobineau, sociologue des religions et auteur de l'Empire des papes, une sociologie du pouvoir dans l'Eglise (CNRS Edition, 2013), le Saint Père a «enfoncé le clou» par certaines de ses déclarations, mais devra prendre garde à la «poussée d'Archimède catholique» : «s'il ne passe pas par des réformes structurelles, cela aura été un coup d'épée dans l'eau, de la poudre aux yeux», estime notre contributeur."
"Les propos du Pape François sont-ils en rupture avec ceux de Benoît XVI? Rien n'est moins vrai, selon Patrice de Plunkett, blogueur et journaliste catholique, qui nous invite à prendre conscience de la continuité qui existe entre les deux papes: «le pape Bergoglio pousse le processus, recentre, simplifie, et instaure une nouvelle façon de vivre le catholicisme»."
"François en fait-il vraiment trop? Ce n'est pas l'avis de Serge Lellouche, membre de la Fraternité des Chrétiens Indignés, mouvement d'écologie chrétienne, qui estime que «le pape nous place aujourd'hui devant un choix clair, radical : l'argent ou Dieu, notre avidité productiviste destructrice ou notre responsabilité bienveillante à l'égard de toute créature»."
"Dans un article publié dans le journal Il Messaggero, la théologienne et historienne Luceta Scarrafia propose au Pape François de nommer une femme cardinale. Une initiative concrète qui permettrait de donner suite aux récents propos du souverain pontife.
Editorialiste à l'Osservatore Romano, quotidien du Vatican, Luceta Scarrafia se définit comme «féministe», et s'appuie sur sa connaissance historique pour soutenir son argumentation : «Cette nomination aurait le grand avantage d'être possible, sans impliquer le problème délicat de l'ordination sacerdotale féminine» écrit-elle, avant de préciser que, par le passé, de nombreux laïcs non-prêtres ont déjà été fait cardinaux. "