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Prière Action de grâce Funérailles Solidarité

« Chers amis, Chaque année, votre Eglise a besoin de vous pour poursuivre sa mission. La mission de l'Eglise, c'est de vous accompagner à toutes les étapes de la vie : baptême, communion, mariage, funérailles... C'est aussi d'apporter de l'aide à ceux qui en ont besoin."

"Chacun des 95 diocèses de l'Église catholique en France gère ses comptes de manière décentralisée et autonome. Le nombre de donateurs a diminué, passant de 1 465 000 en 2008 à 1 280 000 en 2011. Mais dans le même temps le don moyen a augmenté, passant de 156 € à 188 €. Les prêtres perçoivent un traitement de l'ordre de 900 € mensuel. De plus en plus de salariés laïcs apportent leur compétence au service des diocèses, pour des salaires assez faibles. La collecte annuelle du Denier assure 30% des ressources. Les autres ressources venant des quêtes, des legs, des offrandes à l'occasion d'un mariage, d'un baptême, de funérailles, etc. Mais l'ensemble des ressources ne couvre pas l'intégralité des dépenses, et la plupart des diocèses doivent emprunter ou piocher dans leurs réserves. Dans le diocèse de Gap et d'Embrun, avec ses 140 000 habitants, le montant du Denier s'est élevé en 2012 à 615 000 €."

"Les quêtes : Elles sont utilisées pour la vie de la paroisse, le chauffage, l'entretien, etc… ; Offrandes à l'occasion d'un sacrement (baptême : 60 € ; mariage : 200 € ; funérailles : 160 €) : La moitié est pour les services du diocèse et l'autre moitié reste pour la paroisse ;"

"En Lozère, ce sont 367 baptêmes célébrés par an, 99 confirmations, 77 mariages, 914 funérailles, près de 3000 messes dominicales réparties sur le territoire (chiffres basés sur 2018 et 2019)."

"L'Eglise compte pour vous. Elle annonce la Bonne Nouvelle. Elle apporte des repères dans un monde qui en cherche. Elle est présente auprès des plus fragiles. Elle vous accompagne dans le quotidien comme dans les grands moments de votre vie : baptême, mariage, funérailles..."

"Pendant le confinement, pas de quêtes, pas de mariage, pas de cérémonies à l'église pour les funérailles. Pas de casuel, pas de ressources pour nos prêtres."

"Si nous sollicitons aujourd'hui votre générosité, c'est pour assurer la vie matérielle de votre Église, notamment celle des prêtres qui s'engagent à vos cotés dans tous les grands événements de vos familles : baptême, mariage et funérailles."

MAJ du 29 mars Aucune messe (dominicale, de semaine, de funérailles) avec une assemblée, de quelque taille qu'elle soit, ne doit être célébrée. Les églises peuvent rester ouvertes, avec moins de 20 personnes [1] en prière individuelle et à distance les unes des autres. Pour les obsèques, elles peuvent pour le moment être célébrées dans les églises. L'assemblée devra être inférieure à 20 personnes [2] et celles-ci devront se répartir dans l'ensemble de l'église. Seul celui qui préside bénit le corps avec l'eau bénite.Il faut reporter la célébration eucharistique à des temps meilleurs. Ces obsèques peuvent aussi être célébrées seulement au cimetière. Baptêmes, mariages, confirmations, professions de foi, premières communions, sont à reporter à des temps meilleurs. Il en est de même pour les étapes de préparationsau baptême pour adultes. La visite aux personnes âgées et aux familles en deuil peut se faire, mais si possible à bonne distance. Pour cela, le prêtre ou le diacre doit se munir de la déclaration « attestation de déplacement dérogatoire » (cocher la première case).

"Il manque 80 % des recettes habituelles après 10 dimanches sans célébrations. Les recettes de l'Église proviennent principalement de la quête, du denier et des offrandes lors des mariages, baptêmes ou funérailles." [RDP du 16 juin 2020]

"La crise sanitaire a eu des répercussions directes sur les finances de l'Église catholique en France. Avec les deux confinements du printemps et de l'automne, et en conséquence l'impossibilité pour les catholiques de se rendre à la messe, ce sont près de 90 millions d'euros qui n'ont pu être collectés localement dans les diocèses sur l'ensemble du territoire français. Trois ressources sont essentielles au fonctionnement de l'Église, des ressources associées à des célébrations liturgiques : la quête, le casuel pour les cérémonies de baptême, mariage, funérailles, et les offrandes de messe. Des dons « liturgiques » qui représentent à eux trois 53% des ressources courantes de l'Église (hors legs). Ce manque de ressources a conduit à une baisse des ressources des paroisses de l'ordre de -30 à -40%. À l'échelle du diocèse de Lille, la baisse globale de nos ressources est estimée à -3millions d'euros, soit -15% de nos ressources courantes."

"En décembre, le diocèse de Séez lance une opération digitale d'appel à dons pour le Denier de l'Église baptisée "La Paix de Noël au cœur du monde": Dans la nuit de Noël, Jésus est venu nous offrir la Paix. Par leurs chants, les anges ont répandu cette Bonne Nouvelle dans le ciel et sur toute la terre : « Paix sur la terre aux hommes qu'Il aime ! » Dans notre société fragilisée par les divisions, comme dans notre Église qui traverse la tempête, ces épreuves nous interrogent profondément : existe-t-il encore des hommes et des femmes prêts à relever le défi de la Paix ? Oui, dans nos villes et nos campagnes, dans nos églises comme dans nos quartiers, ils sont nombreux ces artisans de Paix qui portent au monde un message de justice, d'humanité et d'amour. Plus que jamais, l'Église a besoin d'hommes et de femmes pour être signe de cette Bonne Nouvelle. Elle a donc besoin de moyens matériels pour que ces artisans de Paix puissent agir au quotidien : annoncer la joie de l'Évangile, célébrer les moments importants de notre vie (baptêmes, communion, profession de foi, mariage, funérailles), servir les plus pauvres et les plus fragiles. C'est tout le sens de cette opération de fin d'année d'appel à dons pour le Denier de l'Église."

"Le 15 août 2024, Ambroise Laurent, chargé des questions économiques à la Conférence des évêques de France, est interviewé sur RTL 1. Il proclame : « On prie pour la France le 15 août. Donc, il y a plein de fêtes partout. Les églises sont ouvertes et accueillent beaucoup de monde. Et c'est vrai que les gens sont prêts à donner et à prier ensemble. Les deux vont de pair. » La journaliste fait, avec lui, l'inventaire des recettes : la vente de cierges, mais surtout la quête des « paniers collectés » par lesquels l'Église observe le montant moyen d'un don par carte bancaire, supérieur à celui d'un don en espèces. En ajoutant le casuel, lorsque les catholiques donnent pour la célébration des baptêmes, mariages, funérailles, les offrandes de messe, quand un fidèle paye pour faire dire une messe à une intention particulière, et bien sûr la collecte annuelle du denier de l'Église, on atteint pour l'année 2022 591 millions. Le financier estime ce montant « en augmentation après le gros trou d'air de 2020, année covid, quand les fidèles ne pouvaient pas assister à la messe. Il y a aussi des legs, chaque année, eux, sont classés dans la case ressources exceptionnelles »"

"Alors que les églises recommencent à accueillir les fidèles, Monseigneur Emmanuel Delmas appelle à tirer des leçons humaines, écologiques et économiques de la pandémie." [RDP du 01 juin 2020]

"La pandémie, le confinement, la reprise des messes... Interview de Mgr Pierre-Yves Michel, évêque de Valence, à la veille de la célébration de Pentecôte." [RDP du 01 juin 2020]

"Les fidèles attendaient ce rendez-vous avec impatience et ils ont répondu présents, ce dimanche , lors des deux messes célébrées dans la cathédrale Saint-Cyr-et Sainte-Julitte de Nevers." [RDP du 01 juin 2020]

"Par une ordonnance diffusée ce lundi, Mgr  Luc Ravel livre aux prêtres alsaciens le modus operandi des messes à venir. Ces directives pourraient diviser par quatre le nombre de fidèles dans les paroisses les plus fréquentées." [RDP du 13 mai 2020]

"Les lieux de culte ont pu rouvrir leurs portes aux fidèles il y a dix jours. Rencontre avec l'abbé Joachim Jauregui, à la paroisse Saint Michel Garicoïts depuis 2007, qui témoigne de son confinement et de l'après." [RDP du 11 juin 2020]

"Alors que le gouvernement, pressé par le Conseil d'État, a hier autorisé la reprise de la célébration du culte, l'évêque Mgr Olivier de Germay, explique les conséquences de la crise sanitaire sur l'Eglise de Corse" [RDP du 25 mai 2020]