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"L'approche du déconfinement est à la fois source de joie, de libération, mais aussi d'inquiétude, d'autant plus que cette opération très délicate va se faire de manière progressive. La ligne qui est la nôtre depuis le début du confinement est d'être rigoureux dans le respect des consignes de santé publique, par charité pour la protection de tous et par solidarité avec l'ensemble de la société. A partir du 11 mai, l'amorce du déconfinement offre des ouvertures pour tous, qu'il nous faut adapter à notre vie ecclésiale. Pour les résumer, les deux changements principaux sont la possibilité de se déplacer librement dans un rayon de 100 kilomètres et celle de se rassembler jusqu'à 10 personnes. Il devrait y avoir, si l'épidémie ne reprend pas, une deuxième phase fin mai ou début juin, avec une possibilité de rassemblements plus larges. Avec le Père Bruno Cornier, nous avons rencontré cette semaine, en visioconférence, les curés, vicaires et coordinateurs paroissiaux du diocèse, par secteur, pour faire le point sur la vie pastorale de ces deux derniers mois. C'est d'abord une action de grâce pour les nombreuses initiatives et pour l'engagement courageux d'un certain nombre. Nous avons évoqué ensemble les différentes questions qui se posent à nous pour vivre les prochaines semaines. Voici les points de repères pour notre diocèse, en laissant à ceux qui ont la charge pastorale le soin de faire les adaptations nécessaires, dans le respect des consignes sanitaires. La responsabilité de chacun d'entre nous est engagée."

"Faisant appel à la générosité de tous, et particulièrement en cette période de crise sanitaire, économique et humaine, la collecte du denier est cruciale pour la vie matérielle de l'Église. 2020 - l'année du choc : des églises fermées, puis des églises ouvertes mais sans rassemblement possible, puis des rassemblements avec un nombre limité de fidèles. Dans les paroisses, on constate un recul des ressources de 30 à 40 %. Pour les sanctuaires, 70 à 80 %. Toutes les paroisses du diocèse de Blois sont touchées."

"Face aux évolutions sociales, géographiques ou même politiques, l'Église s'est toujours adaptée et fait perdurer cet héritage. À notre tour, nous continuons de répondre aux besoins des croyants en construisant des églises qui sont de véritables lieux pour se rassembler et se ressourcer. C'est dans cet esprit que nous avons lancé la construction de deux nouvelles églises et d'un ensemble scolaire en Seine-et-Marne. Au cœur du Val d'Europe, l'établissement scolaire pourra, à terme, accueillir 1 500 élèves, de la maternelle jusqu'au lycée. La grande église de Saint-Colomban offrira un lieu vaste et adapté à la rencontre des catholiques du territoire, pouvant accueillir 900 fidèles. L'église Sainte-Bathilde, à Chelles, sera quant à elle dotée de 800 places permettant de rassembler les fidèles du territoire. À l'image de ce projet, nous devons être tournés vers la jeunesse et vers l'avenir. Nous devons raisonner à un horizon de 50, 100, 200 ans... Depuis 1905, l'Église a la charge de la construction de ses lieux de culte, l'effort financier repose donc sur ses fidèles. Nos grands projets de construction, deux nouvelles églises et l'ensemble scolaire, représentent un investissement de près de 50 millions d'euros. À l'heure du lancement de la construction de ces édifices, près des deux tiers sont financés grâce à la générosité des fidèles."

"Le 25 mai 2013 à Paris, une journée de solidarité avec le diocèse de Cayenne a été organisée dans une paroisse parisienne, rapporte le site de la Conférence des évêques de France (CEF). Et un appel devrait être à nouveau lancé le 11 novembre prochain lors du rassemblement annuel de l'aumônerie nationale Antilles-Guyanne à Saint-Sulpice (Paris 6e)."

"Lors du rassemblement de clôture du Jubilé et d'envoi en mission vécu par le doyenné de Luzarches le 13 novembre 2016, Mgr Stanislas Lalanne à répondu à des questions posées par les participants... Dans le climat français souvent déprimé comment annoncer l'Évangile en manifestant espérance et joie ?"

"L'Eglise en Charente lançe la nouvelle campagne du Denier. La campagne est tournée vers cette lumière qui nous rassemble, qui nous guide vers la Paix dont notre monde a tant besoin en ces temps où la violence semble prendre le pas sur l'espérance..."

"Le Denier de l'Église est une grande collecte de dons de l'Église catholique dans tous les diocèses afin de rassembler des fonds destinés à la rémunération de ses prêtres."

"L'Église, la plus vieille start-up du monde cherche ses investisseurs. Parce que nous croyons en l'avenir, nous avons pris une décision après plusieurs années de réflexion : construire un nouveau centre Diocésain. Ce lieu de rassemblement et d'échanges, baptisé Maison Saint-Julien verra le jour rue Albert Maignan où se situe l'actuel Centre diocésain de l'Étoile."

"Comme chaque année depuis 2009, les 7 diocèses de la Province Ecclésiastique de Reims s'associent pour lancer leur campagne de collecte du Denier. La Province Ecclésiastique de Reims rassemble les diocèses d'Amiens, Beauvais, Châlons-en-Champagne, Langres, Reims, Soissons et Troyes, soit une population de près de 3 200 000 habitants. En travaillant ensemble, les sept diocèses réalisent une économie d'échelle qui facilite la gestion des ressources et une sensibilisation commune à tout un territoire."

"En cette période de confinement qui nous oblige à trouver de nouvelles formes de rassemblement, nous vous proposons de verser en ligne le montant de votre offrande à la quête. L'Église catholique vous en remercie : votre générosité permettra à votre paroisse de poursuivre sa mission. L'offrande de la quête est un acte liturgique associé à l'offrande du pain et du vin eucharistique. L'offrande pour les pauvres et l'Église lors de l'eucharistie participe du sacrifice eucharistique lui-même. Il est dans l'Église une expression de la générosité du Christ qui s'est livré à la mort pour nous, ce sacrifice dont l'eucharistie est le sacrement. Comme habituellement lors de la quête, aucun reçu fiscal n'est délivré au titre de cette offrande."

"Chers diocésains, chers paroissiens, En cette période de confinement, nous vivons douloureusement le fait de ne pas pouvoir nous rassembler, en particulier et surtout pour l'Eucharistie dominicale." Message du vicaire général

"En cette période de confinement qui nous oblige à trouver de nouvelles formes de rassemblement, chacun peut continuer à participer à ce geste liturgique qu'est la quête en versant son offrande grâce à une plateforme temporaire de collecte en ligne. Les montants versés sur cette plateforme, rapide et sécurisée, seront intégralement reversés aux paroisses concernées."

"La Conférence des évêques de France a mis au point un site Internet pour permettre aux fidèles de participer à la quête malgré l'impossibilité de cérémonies publiques. Au terme du premier week-end après sa mise en place, la plateforme a permis de rassembler plus de 2 000 dons."

"Pâques célèbre la résurrection du Christ. Elle sera célébrée sans rassemblement. Dans des églises vidées par le coronavirus. C'était inimaginable, il y a peu de temps encore." [RDP du 02 avril 2020]

"Chacun donne selon son cœur et ses possibilités ! Nous connaissons tous l'expression « les petits ruisseaux font les grandes rivières »... cela est vrai pour le Denier de l'Église ! C'est par le don de chacun d'entre nous, même modeste, qu'il sera possible de rassembler les moyens de faire vivre tous les prêtres dans notre diocèse d'Avignon."

"En cette période de confinement qui nous oblige à trouver de nouvelles formes de rassemblement, nous vous proposons de verser autrement le montant de votre offrande habituelle à la quête."

"Depuis le 15 mars, nous ne pouvons plus nous rassembler en église, et nos paroisses ne perçoivent plus les différentes ressources (quêtes, cierges et différentes offrandes) pourtant essentielles à la vie de notre communauté."

"Bonjour à tous, Tout d'abord, j'espère que vous allez tous bien et que vous apercevez le bout du tunnel « du confinement »… Si l'annonce de ce fameux déconfinement si attendu a été faite, il semblerait que pour les communautés chrétiennes, il soit un peu plus long avec une éventuelle possibilité à se rassembler pas avant le 2 juin et dans des conditions encore non définies. Outre ce manque à se retrouver en communauté autour de la Parole de Dieu et vivre les sacrements, force a été de constater que la paroisse est totalement privée depuis le 8 mars (date de la dernière messe) de votre participation financière habituelle. Alors avec les Pères Jean-Marc et Juan David, la comptable, la trésorière nous vous proposons ce petit texte en pièce jointe pour nous rappeler que si cette épidémie n'avait pas tout arrêté, tous les baptisés auraient pu vivre ces temps de Carême et de Pâques dans une grande liberté en participant aux célébrations et en apportant ses offrandes. Par avance merci pour votre écoute, votre lecture, votre compréhension et votre participation… Le conseil économique,"

"Depuis le 15 mars, nous ne pouvons plus nous rassembler, et nos paroisses ne perçoivent plus les différentes ressources (quêtes, cierges et différentes offrandes) essentielles à la vie de la communauté."

"En cette période de confinement, nous vivons un temps pascal particulier, que nous soyons prêtres, diacres, religieux, religieuses ou fidèles laïcs. Comme de très nombreux diocèses, nous vous avons proposé des temps de célébrations « à la maison », des temps de prières à vivre, en famille, ou seul sur notre chaîne YouTube ou directement sur Facebook. Depuis le début du confinement et conscients des souffrances occasionnées par l'isolement, l'incertitude ou la solitude, nos services diocésains, nos animateurs pastoraux, nos prêtres, diacres et religieux se sont montrés présents, par des propositions de prières, des échanges téléphoniques, des temps d'enseignement et par l'accompagnement des familles en deuil... Malgré cela, nos activités d'Eglise, nos rassemblements et les célébrations (sacrements ou autres) sont interrompus. La pandémie du COVID-19 plonge le monde entier dans une crise tout aussi inédite que multiple. Les conséquences des dommages sanitaires viennent rompre les équilibres économiques et financiers. Et nos diocèses ne peuvent échapper à un tel contexte aussi improbable que réel. Il apparait maintenant avec certitude que le retour à la normale sera long, en particulier dans notre département épargné par le virus jusqu'ici.La baisse de nos activités d'Eglise ne permet plus, comme pour tous les diocèses de France, de bénéficier pleinement des cinq principales ressources dont le Denier."