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"Un prêtre diocésain n'ayant pas fait vœu de pauvreté, l'argent qu'il perçoit lui appartient et non à la communauté des religieux. Au contraire des religieux de communautés qui sont pris en charge par cette communauté lors de leur retraite, le prêtre peut devoir aller dans un EMS et utilise ainsi sa solde afin de le payer."

"Pou financer la formation de ses séminaristes, la Communauté Saint-Martin s'est lancée en 2012 dans le monde périlleux de la finance. Comment peut-on concilier ce monde de loups avec la pauvreté évangélique ? C'est le défi relevé par Don Pascal-André Dumont, économe de la communauté Saint-Martin. En entrant de le monde de la finance, ce prêtre fribourgeois ne se doutait pas qu'il entraînerait à sa suite une vaste réflexion éthique dans ce milieu souvent conspué par le monde catholique où pourtant il est bien représenté. Le Figaro Bourse consacrait en 2014, un article sur cette aventure étonnante."

"En octobre 2012, une opération-test a été réalisée sur la Communauté de paroisses Perpignan-Centre-ville pour animer différemment la collecte. En 2013, cette même opération sera reconduite dans neuf communautés de paroisses volontaires. C'est une campagne de proximité dont les paroissiens sont acteurs. Ils aident à sensibiliser les Catholiques de PO sur l'importance du Denier pour notre Eglise diocésaine."

"C'est ainsi que l'on peut résumer brièvement l'année qui vient de s'écouler, enthousiasmante au niveau de la foi, interrogative quant aux engagements. La solennité de la Pentecôte 2013 rassemblait à Alpexpo plus de 10 000 membres de notre communauté catholique qui communiaient profondément à l'exhortation de notre évêque : « Au nom du Christ : Allez ! », et démontraient ainsi sa vitalité, et, dans le même temps, la même communauté était rappelée au simple devoir de partage : « Seulement 1 famille pratiquante sur 3 donne au denier ! et vous ? ». Cet écartèlement permanent entre une foi simple et joyeuse et notre responsabilité de catholique à s'engager doit nous interroger dans la poursuite de nos efforts de soutien de notre paroisse, des mouvements caritatifs et des services diocésains au moment où notre église s'appauvrit en nombre de prêtres, mais aussi malheureusement en laïcs en mission ecclésiale que nous avons de plus en plus de mal à financer. "

"CredoFunding est la plateforme de finance participative ou «crowdfunding » qui a pour objectif de soutenir financièrement les projets de la communauté chrétienne compatibles avec la foi et la morale chrétienne. CredoFunding intervient pour des campagnes de collecte de dons mais également de prêts sans intérêts ou de prêts avec intérêts. CredoFunding offre une notoriété médiatique, une structure de collecte d'argent et un relais sur les réseaux sociaux pour mener à bien les campagnes de financement et atteindre une communauté de 40 millions de chrétiens."

"Ainsi en est-il de l'achat du 3, place Notre-Dame à Châlons : il permettra d'accueillir les famiiles en deuil ou en fête ailleurs que dans le couloir, et de séparer nettement maison paroissiale et vie de la communauté. Ou encore, l'aménagement de deux presbytères pour la venue de deux communautés de religieuses, qui va permettre une présence agissante d'Église là où elle se raréfie."

"Faute d'avoir cotisé pendant plusieurs années, des centaines d'anciens membres de communautés nouvelles vont se retrouver avec une retraite amputée. Certains entament des démarches judiciaires pour faire valoir leurs droits."

"Ce jour, le Père Stéphane Cabanac a comparu devant le tribunal correctionnel de Tarascon pour des faits commis alors qu'il était curé de la paroisse d'Arles de 2008 à 2017. Il devait répondre de deux chefs de prévention : faits de « vols d'objets mobiliers classés ou inscrits » dont il avait la garde en tant que curé de la primatiale Saint-Trophime, ainsi que « détournement à son profit » de chèques établis au bénéfice de la paroisse d'Arles. Le diocèse d'Aix-en-Provence et Arles rappelle que les objets cultuels qui sont devenus propriété des communes depuis la loi de séparation de l'Église et de l'État en 1905 restent affectés au culte. Leur disparition constitue une perte patrimoniale pour la commune, mais également pour la paroisse d'Arles qui perd l'usage d'objets liturgiques, fruits et témoignages de la foi et de la générosité des générations précédentes. Par ailleurs, il est rappelé que les dons et offrandes que les fidèles font à l'occasion de célébrations religieuses servent uniquement à la vie matérielle des communautés paroissiales. Aussi, c'est au nom de la communauté paroissiale d'Arles qui a subi en l'espèce un préjudice, que l'actuel curé d'Arles s'est constitué partie civile. Le père Stéphane Cabanac a été déclaré coupable et condamné à quinze mois d'emprisonnement avec sursis. Il a la possibilité de faire appel de ce jugement."

"Bonjour à tous, Tout d'abord, j'espère que vous allez tous bien et que vous apercevez le bout du tunnel « du confinement »… Si l'annonce de ce fameux déconfinement si attendu a été faite, il semblerait que pour les communautés chrétiennes, il soit un peu plus long avec une éventuelle possibilité à se rassembler pas avant le 2 juin et dans des conditions encore non définies. Outre ce manque à se retrouver en communauté autour de la Parole de Dieu et vivre les sacrements, force a été de constater que la paroisse est totalement privée depuis le 8 mars (date de la dernière messe) de votre participation financière habituelle. Alors avec les Pères Jean-Marc et Juan David, la comptable, la trésorière nous vous proposons ce petit texte en pièce jointe pour nous rappeler que si cette épidémie n'avait pas tout arrêté, tous les baptisés auraient pu vivre ces temps de Carême et de Pâques dans une grande liberté en participant aux célébrations et en apportant ses offrandes. Par avance merci pour votre écoute, votre lecture, votre compréhension et votre participation… Le conseil économique,"

"En l'absence totale des pèlerins en raison de la pandémie, les caisses des communautés monastiques sont vides, mettant à mal leur rôle crucial auprès des fidèles locaux."

"Nous sommes rentrés collectivement dans la crise la plus difficile que nous ayons eu à gérer. Notre responsabilité conjointe est donc de trouver les moyens de traverser ce terrible épisode en nous épargnant des préjudices d'un caractère irréversible pour nos synagogues, nos communautés et notre institution. Notre premier mouvement, dès le mois de mars, aura été de tout mettre en œuvre pour préserver la vie en fermant nos synagogues et en appliquant des protocoles sanitaires très rigoureux pour la réouverture. Nous n'avons eu de cesse avec l'ensemble des responsables communautaires, d'œuvrer au quotidien pour assurer la sécurité sanitaire de nos communautés et de nos lieux de prières. Nous avons maintenu tous nos services essentiels au Service du Judaïsme français et notamment les salaires du personnel religieux. L'aggravation de la situation sanitaire actuelle et le confinement décidé, nous a amené à fermer avec douleur et tristesse une seconde fois nos synagogues."

"Madame, Monsieur, Comme chaque année nous faisons appel à votre générosité pour assurer la vie de notre Eglise diocésaine. C'est pourquoi il me semble nécessaire de vous tenir au courant de nos activités en cette année 2023. Notre premier projet est un parcours pour les prêtres et leurs principaux collaborateurs afin de devenir toujours davantage une communauté missionnaire. Nous voulons annoncer l'Evangile aux périphéries, auprès de ceux et celles qui ne connaissent pas le Christ. Parmi les 33 adultes baptisés au cours de la veillée de Pâques cette année, beaucoup nous ont avoué qu'ils avaient depuis longtemps un projet de baptême, qu'ils priaient, qu'ils se confiaient à Dieu, qu'ils voulaient faire partie de la communauté chrétienne. Il fallait juste une parole, une main tendue, un dialogue avec quelqu'un qui leur ouvrirait les portes de l'Eglise. Voilà ce que nous voulons être : une Eglise missionnaire, accueillante, ouverte à ceux qui cherchent Dieu."

"De nombreuses communautés offrent une halte spirituelle pendant l'été. "

"Le marché des produits artisanaux religieux gagne en notoriété depuis une dizaine d'années, notamment grâce aux grands magasins numériques. De quoi redonner un souffle aux communautés dont l'économie dépend de ces ventes."

"Avec la baisse conséquente des ressources liée à la fermeture des lieux de culte, certaines paroisses et communautés religieuses se retrouvent en grande difficulté." [RDP du 18 mai 2020]

"Seule la moitié des 4 000 maisons d'accueil gérées par des communautés religieuses et des diocèses de la péninsule italienne seront en capacité d'ouvrir leurs portes cet été, en raison de la pandémie de coronavirus qui éprouve le pays depuis le mois de février."

Les congrégations religieuses possèdent un important patrimoine immobilier, qui abrite les communautés et leurs œuvres.

"Les trois affiches de la campagne du Denier de l'Eglise 2013 ont été présentées aux membres des équipes des communautés de paroisses des Pyrénées-Orientales. "Donner, c'est accueillir", "donner c'est transmettre", "donner c'est espérer", tels sont les slogans retenus cette année. Une campagne commune à tous les diocèses du Languedoc-Roussillon. "

"Votre participation au denier de l'Église est le signe de votre attachement à la communauté chrétienne, au service qu'elle rend à votre famille et à la société."

"Chers amis et fidèles donateurs, En tant que nouvel évêque des Vosges, je vous remercie de l'attention que vous portez à la vie de l'Eglise dans notre département ; votre don fidèle et généreux en est le signe. Vous savez comme moi que le visage de notre Eglise ne cesse pas de changer, car nous devons toujours trouver des chemins nouveaux pour la vie de nos communautés et pour l'annonce de l'Evangile dans un monde qui bouge. Cette adaptation est une oeuvre passionnante mais exigeante. Pour que notre Eglise soit toujours plus vivante et proche, de nouveaux acteurs pastoraux, laïcs pour la plupart, s'engagent généreusement pour porter avec nos prêtres et nos diacres le souci de la communion et de la mission. Ils n'hésitent pas à prendre de vraies responsabilités pour que la foi soit transmise aux plus jeunes comme aux adultes ; ils prennent beaucoup de soin à préparer les fidèles aux sacrements de l'initiation chrétienne (baptême, communion eucharistique et confirmation) mais aussi à l'étape si importante du mariage. Ils accompagnent fidèlement et avec beaucoup de proximité les personnes affectées par le deuil, la maladie, l'âge ou la précarité. Ils déploient aussi leur savoir-faire dans les nécessaires tâches de gestion et dans les initiatives de communication qui permettent à notre Eglise d'être bien présente et rayonnante au milieu des hommes."