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Note de synthèse sur l'état des lieux de l'offre d'accompagnement auprès des structures du secteur associatif en France et pistes de réflexion pour mieux répondre à l'évolution des besoins. En avril 2012, le « G10 », groupe informel d'échanges et de réflexions de dirigeants de structures d'accompagnement du secteur associatif, avait produit une note de réflexion portant sur les besoins d'accompagnement du secteur associatif. Cinq ans plus tard, les défis de transformation du secteur associatif demeurent plus que jamais d'actualité : comment faire évoluer son projet et ses missions au regard de l'explosion et de la complexification des besoins ? Comment repenser ou faire évoluer les modèles socio-économiques associatifs ? Pour répondre à un certain nombre de ces problématiques, de nouveaux acteurs ont émergé (comme l'ADASI cofondée fin 2014 par Le Mouvement associatif, l'Avise, Consult'in France et Le RAMEAU). Alors que de nouveaux acteurs ont émergé, que de récentes études ont été réalisées et que de nouveaux dispositifs sont en cours de création, il est apparu nécessaire d'actualiser la note produite en 2012. Douze structures d'accompagnement d'intérêt général [1] se sont mobilisées, pour croiser leurs regards de praticiens et produire une mise à jour de ce document. Destiné en premier lieu aux acteurs de l'accompagnement, cette note pourra néanmoins servir de base à d'éventuelles réflexions pour les associations elles-mêmes ou pour leurs financeurs. Ce document propose ainsi : un état des lieux de l'offre d'accompagnement en France auprès des structures privées d'intérêt général ou organismes sans but lucratif, des constats sur l'évolution des besoins d'accompagnement, des constats sur l'évolution de l'offre, des pistes de réflexion pour mieux accompagner les mutations associatives.

"1- Les personnes étant ou ayant été victimes de telles violences au sein de l'Église lorsqu'elles étaient mineures sont encouragées à parler pour alerter ou ouvrir en elles un chemin possible de restauration. La cellule d'écoute du diocèse, active depuis 2016, a été élargie et est joignable par email : paroledevictimes94@eveche-creteil.cef.fr Un numéro national dédié a aussi été mis en place avec l'association France-Victimes : 01.41.83.42.17 . Il sera affiché dans chaque lieu d'accueil ecclésial : diocésain, scolaire ou paroissial. 2- Une charte de bientraitance et de protection des mineurs est en cours d'écriture et sera finalisée en début d'année 2022 pour toute rencontre de catéchèse, d'aumônerie, de mouvement, de retraite, de camps organisés pour les enfants et les jeunes. Cette charte sera connue des parents et nous engagera dans notre relation d'accompagnement. 3- Une formation spécifique de tous les agents pastoraux sera mise en place à partir du mois de mars 2022. Un premier ensemble de responsables diocésains et paroissiaux suivra cette formation de 3h au cours du 1er semestre 2022, pour être ensuite déployée. Elle visera à doter le plus grand nombre d'entre nous des réflexes nécessaires de prévention et d'action au sein de nos communautés. 4- Le diocèse de Créteil contribue dès maintenant au fonds SELAM constitué pour l'indemnisation individualisée des victimes sans recourir au Denier de l'Église ni à aucune contribution des fidèles pour la mission. Avec l'accord du Conseil diocésain aux affaires économiques et du Collège des consulteurs, la résidence de l'évêque va être mise en vente. Un logement plus modeste en proximité de l'évêché va être recherché. Les conditions d'exercice du ministère épiscopal demeureront, elles, inchangées. Ce sera toujours à l'évêché, en proximité de la cathédrale. Le produit de cette cession sera sécurisé dans un fon

"Pour quoi donner au denier ? Chaque jour, de nombreuses personnes sont au service du diocèse de Cambrai. Les prêtres, les laïcs salariés et les bénévoles (dont les diacres) permettent aux paroisses et aux mouvements d'Église d'annoncer la Bonne Nouvelle, de célébrer les sacrements et de servir les plus pauvres. Par votre participation généreuse au Denier de l'Église, vous manifestez votre soutien et votre désir concret de permettre à tous ces acteurs de l'Église catholique d'exercer dignement leur mission dans des communautés vivantes et aimantes. Concrètement, le Denier de l'Église permet au diocèse de : verser un traitement aux prêtres en activité ; participer à la prise en charge des prêtres aînés ; rémunérer des laïcs salariés au service du diocèse et des paroisses ; prendre en charge les frais des séminaristes. Comme tous les diocèses en France, le diocèse de Cambrai ne reçoit aucune subvention, ni de l'État ni du Vatican."

"La crise du coronavirus et le confinement ont des répercussions importantes sur le fonctionnement de nos paroisses. En l'absence de quête dominicale, elles ne disposent plus de recettes nécessaires à l'exercice de leur mission, voire à la rémunération de certains salariés. A l'initiative de la conférence des évêques de France (CEF), un site web sécurisé a été crée pour permettre à tout fidèle qui le désire de continuer à verser son offrande chaque dimanche. D'utilisation simple et rapide, il permet de donner à la quête avec sa carte de crédit, après avoir sélectionné son diocèse, sa paroisse et le montant que vous souhaitez verser. La CEF reverse ensuite au diocèse de Strasbourg le montant recueilli et enfin, le diocèse redistribue l'argent à la paroisse que vous avez choisi de soutenir. Merci de tout cœur à ceux qui continuent de soutenir leur communauté !"

"Nous le savons, l'épidémie que nous traversons a paralysé le monde. Nous avons été empêchés de participer à la messe, de nous retrouver, de recevoir les sacrements... Pourtant, au-delà de ces contraintes, l'Eglise catholique en Haute-Garonne poursuit sa mission et doit toujours faire face aux dépenses inhérentes à son fonctionnement. Contrairement aux idées reçues, l'Église catholique en France ne vit pas de ses ressources immobilières ou financières, mais essentiellement des dons de ses fidèles. Rappelons-nous qu'à 95% elle n'assure ses missions que grâce à leur générosité. Après plus de deux mois sans messe, dix semaines sans quêtes ni offrandes, cela a des conséquences inquiétantes sur nos finances diocésaines. Aussi notre don est-il plus essentiel que jamais ! L'Église a besoin de nous et lance un appel aux dons."

"Nos communautés chrétiennes sont-elles joyeuses ? Je ne parle pas d'une joie passagère liée à l'ambiance d'un moment, mais de cette joie qui naît de la rencontre avec le Christ. Une joie que nous sommes appelés à entretenir et à développer par l'accueil des sacrements, l'écoute de la parole de Dieu, le service de nos frères et soeurs. Par leur ministère, les prêtres et les diacres sont les serviteurs de cette joie. Vous pouvez compter sur eux aux grands moments de votre vie. Avec d'autres, prêtres et diacres entraînent notre Eglise sur les chemins de la mission. Ensemble, nous avons à transmettre la joie de l'Evangile à tous ceux qui n'en ont pas encore goûté la saveur. Pour que nous poursuivions ensemble ce chemin de joie, merci d'avance pour votre participation au Denier de l'Eglise : « Que chacun donne selon ce qu'il a décidé dans son coeur, non d'une manière chagrine ou contrainte : car Dieu aime celui qui donne avec joie » (2 Corinthiens 9, 7)."

"Zoomons sur l'actualité avec Mgr Le Saux et ses invités, Bruno de Labarthe, Thierry Houdard, Damien et Aurore Bourgeois. Merci à toutes les personnes qui, depuis des années, de manière fidèle, permettent que la mission de l'Eglise soit remplie. Le mot denier peut être compliqué à comprendre mais c'est tout simplement donner une part de son argent pour la vie de l'Eglise. Il y a un mythe de penser que l'Eglise est riche. Nous ne vivons en France que des dons des fidèles. C'est une dépendance de la Providence et c'est bien ainsi. L'Eglise ne peut vivre sans l'aide précieuse de tous ! Le mois de décembre est le mois la générosité, d'avance merci !"

"« Plus qu'un choix de notre part, la vocation est la réponse à un appel gratuit du Seigneur ». C'est à partir de cette méditation que le pape François nous propose de prier cette année pour les vocations. L'Eglise a besoin de votre prière mais aussi de vos dons. Au service des 8 diocèses d'Île-de-France (Paris, Nanterre, Versailles, Créteil, Saint-Denis, Meaux, Évry et Pontoise), l'Œuvre des Vocations a pour mission de financer la formation des séminaristes et la pastorale des vocations sacerdotales et religieuses."

"[Interview] Marie Derain de Vaucresson a été choisie le 8 novembre 2021 par la Conférence des évêques de France pour présider la nouvelle Instance nationale indépendante de reconnaissance et de réparation (Inirr). Une mission qu'elle comprend comme celle de « réparer les vivants »."

"En France, l'Eglise catholique fait face à une baisse de ses ressources de 90 millions d'euros. C'est en raison de la situation sanitaire et plusieurs mois d'interruption des célébrations publiques. Mais quelle est la réalité de la situation financière des diocèses français ? A quoi sert l'argent dans l'Eglise ? Est-il géré correctement ? Olivier Lefort, économe du diocèse de La Rochelle, était invité sur le plateau de KTO. "L'économe, c'est celui qui donne à l'évêque tous les moyens matériel d'agir. La référence, c'est le Christ, lorsqu'il parle de l'intendant fidèle et censé. C'est celui qui doit trouver 200.000 euros chaque fin de mois pour payer les laïcs en mission et les prêtres"."

"Les fidèles ont jusqu'au 31 décembre pour soutenir la mission de l'Église en faisant un don au Denier. L'enjeu de la collecte de cette année est particulièrement important car la crise sanitaire a déjà eu de lourdes conséquences sur son équilibre économique. La générosité des catholiques, qui ont permis un rebond du denier 2020, a permis de contenir le choc financier. Mais Ambroise Laurent, secrétaire général adjoint de la Conférence des évêques de France, invite à continuer ce rebond en 2021 sur denier.catholique.fr pour faire rayonner le message de l'évangile. "

""Dans la lumière de Noël, nos cœurs sont ouverts. Même si nos maisons sont moins pleines, même si nos églises ont été moins fréquentées, la vie chrétienne ne s'est pas arrêtée. Du 15 au 31 décembre, le diocèse de Cahors s'associe à la collecte nationale du Denier portée par le Conférence des évêques de France. Chaque don est reversé au diocèse et sert directement la mission de l'Église."

"Le parvis de Notre-Dame de Paris, fermé depuis l'incendie de la cathédrale, pourrait être de nouveau accessible « en mars » d'après le préfet d'Ile-de-France, interrogé mercredi par la mission d'information parlementaire sur la restauration de Notre-Dame. Mais les auditions menées le même jour ont surtout permis d'en savoir un peu plus sur l'impressionnante mobilisation des donateurs particuliers… et de leur bel attachement au sanctuaire."

"L'Église catholique a reçu 632 millions d'euros de dons en 2015, d'après une étude de la Fondation de France. Ces derniers se répartissent en trois catégories : les quêtes et les casuels, le denier de l'Église et les legs et donations. Explications"

"Aujourd'hui, nous vous présentons Bénigne Vinot, salariée du diocèse et directrice du centre spirituel diocésain à Nancy. Pourquoi ? Parce que Bénigne, comme les 41 autres laïcs salariés en CDI du diocèse est rémunérée grâce à vos dons, grâce au Denier de l'Église. À travers cette vidéo, nous vous emmenons suivre Bénigne pendant 24h pour découvrir une journée type dans sa mission et ainsi, son rôle au service du diocèse. Chaque jour, elle travaille à garantir un accueil de qualité à ceux et celles qui viennent se ressourcer au sein du centre spirituel de notre diocèse. Ce lieu, unique en France, accueille chaque jour des retraites individuelles et en groupe."

"e week-end dernier a été lancée la nouvelle campagne du Denier de l'Église dans les diocèses de France. L'occasion de faire un don, « principale ressource financière pour une église en mission qui ne vit que de dons », souligne le Vicaire général du diocèse de Nancy et de Toul, Jean-Michaël Munier. Car ni l'État, ni le Vatican ne financent les paroisses." [RDP du 10 mars 2020]

"Mgr Philippe Bordeyne a démissionné de ses fonctions d'administrateur des Pieux Établissements à Rome, a annoncé l'ambassade de France près le Saint-Siège mardi 10 janvier. En cause, la difficulté de mener cette mission, qui s'ajoute à sa charge de président de l'Institut Jean-Paul-II pour la famille."

"Le diocèse de Gap lancera, le 19 février prochain, une campagne d'affichage originale pour le Denier de L'Eglise. On y voit un jeune prêtre du diocèse, le P. Damien de Beaumont, ordonné en juillet 2012, vêtu de son clergyman, auquel s'ajoutent des lunettes noires et une oreillette de téléphone, tel un agent secret. « Cet homme est en mission. Aidez-le à l'accomplir peut-on lire sur l'affiche."

"Cet homme est en mission…", lit-on en haut de l'affiche. Cheveux ras, barbe courte, lunettes noires, oreillette, l'homme pourrait être un agent secret. Sauf qu'il porte un col romain, et une petite croix au revers de la veste. "… Donnez lui les moyens de l'accomplir", conclut la pub. Car il s'agit bien là d'une publicité pour le denier de l'Eglise, lancée par le diocèse de Gap et d'Embrun. Comme l'explique la radio France Bleu, depuis le mercredi 19 février et pour deux semaines, les gapençais vont croiser cette affiche sur 44 abribus de la ville. "

"À Grenoble et Saint-Étienne, plusieurs bâtiments et édifices religieux ont été mis en vente afin de financer de nouveaux projets paroissiaux. Cette réorganisation du patrimoine immobilier, à l'œuvre dans de nombreux diocèses en France, permet de rééquilibrer les finances et de renouveler la mission pastorale."