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"Le pape François dans l'encyclique « Laudato si' » nous appelle à tendre vers une écologie intégrale mais cela implique des choix : il s'agit, en effet, d'ouvrir le chemin à différentes opportunités qui n'impliquent pas d'arrêter la créativité de l'homme et son rêve de progrès mais d'orienter cette énergie vers des voies nouvelles. Il convient de sauvegarder notre maison commune et de poursuivre le développement intégral de l'homme par la recherche du bien commun. Nos ressources sont limitées et nous ne pouvons pas les gaspiller. Nous devons entendre « la clameur des pauvres et de la terre ». Ce sont les plus vulnérables et les plus fragiles qui souffrirons le plus de cette crise. Il nous faut quitter la société de consommation et vivre autrement. Les mesures écologiques qui ne changent pas le mode de vie ne servent à rien. Il convient de réfléchir à plus d'humanité face à plus de bien-être et de confort matériel. Il nous faut inventer une vie heureuse malgré ces nouvelles contraintes et avoir le souci des plus faibles. La sobriété n'est donc pas simple restriction mais aussi conversion : en ce sens il nous faut tendre vers la sobriété heureuse.   La sobriété peut ainsi être vécue, dans une perspective chrétienne, comme un chemin de libération et non de privation. La forte augmentation des coûts énergétiques nous appelle plus que jamais à revoir notre façon de fonctionner. Même si dans un premier temps, il est important de faire toutes les économies nécessaires pour éviter une explosion de nos dépenses énergétiques, avec l'appui du Conseil Diocésain des Affaires Economiques, je vous invite dans un second temps à vous engager dans une démarche de sobriété énergétique qui s'inscrit dans l'écologie intégrale formulée par le pape François dans l'encyclique « Laudato si '»."

"Le Conseil de l'Europe encourage le Saint-Siège à accélérer les poursuites pour blanchiment de capitaux. Moneyval a publié ce mardi le deuxième rapport de progrès du Saint-Siège/Etat de la Cité du Vatican. L'organe du Conseil de l'Europe de lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme salue les pas accomplis ces trois dernières années tout en invitant le Saint-Siège à «produire des résultats concrets dans les enquêtes en cours»."

"Le Comité d'experts Moneyval, chargé au sein du Conseil de l'Europe d'évaluer les mesures de lutte contre le blanchiment d'argent, l'évasion fiscale et le financement du terrorisme, a adopté le deuxième rapport de suivi concernant le Saint-Siège. Il y a deux ans, déjà, ce comité de surveillance avait salué les réformes financières du Vatican, se félicitant des importants progrès réalisés pour combattre la délinquance financière. Moneyval avait néanmoins appelé l'Autorité d'information financière du Saint-Siège à mener elle-même une inspection officielle de l'Institut pour les Œuvres de Religion, l'institution bancaire qui a fait l'objet d'une importante refonte, et de l'Apsa, l'administration qui gère ses biens immobiliers ainsi que ses portefeuilles financiers et boursiers."

Le constat est largement partagé : il nous faut d'urgence faire face à la double crise écologique et sociale que connaît la planète mais la politique de court-terme suivie par de nombreux acteurs financiers n'y est guère favorable. Pour y parvenir, il faut réorienter l'action de l'ensemble du secteur financier de façon à ce qu'il contribue davantage à construire un futur soutenable. Ce mouvement est déjà engagé à travers des approches d'investissement socialement responsable (ISR), de finance solidaire et de finance verte. Pour autant, les outils déployés (labels, notations, rapports, taxonomie, etc.) n'ont pas encore toujours la qualité et la fiabilité nécessaires pour donner confiance aux épargnants et aux acteurs financiers. De plus, si des progrès significatifs sont enregistrés du côté de la finance verte, la prise en compte des problématiques sociales, sociétales et de gouvernance semble peu avancée. Pour accélérer cette mutation, le CESE préconise d'adapter le cadre réglementaire en France et en Europe et de réorienter l'épargne vers des investissements socialement responsables de long-terme, via notamment des avantages fiscaux accordés aux produits labellisés ISR ou le soutien au financement ISR de projets territoriaux et des PME. Il préconise enfin de responsabiliser davantage les instances dirigeantes des entreprises financières sur ces sujets en y associant les IRP (institutions représentatives du personnel).

Le constat est largement partagé : il nous faut d'urgence faire face à la double crise écologique et sociale que connaît la planète mais la politique de court-terme suivie par de nombreux acteurs financiers n'y est guère favorable. Pour y parvenir, il faut réorienter l'action de l'ensemble du secteur financier de façon à ce qu'il contribue davantage à construire un futur soutenable. Ce mouvement est déjà engagé à travers des approches d'investissement socialement responsable (ISR), de finance solidaire et de finance verte. Pour autant, les outils déployés (labels, notations, rapports, taxonomie, etc.) n'ont pas encore toujours la qualité et la fiabilité nécessaires pour donner confiance aux épargnants et aux acteurs financiers. De plus, si des progrès significatifs sont enregistrés du côté de la finance verte, la prise en compte des problématiques sociales, sociétales et de gouvernance semble peu avancée. Pour accélérer cette mutation, le CESE préconise d'adapter le cadre réglementaire en France et en Europe et de réorienter l'épargne vers des investissements socialement responsables de long-terme, via notamment des avantages fiscaux accordés aux produits labellisés ISR ou le soutien au financement ISR de projets territoriaux et des PME. Il préconise enfin de responsabiliser davantage les instances dirigeantes des entreprises financières sur ces sujets en y associant les IRP (institutions représentatives du personnel).

"Le diocèse du Puy-en-Velay a vu ses recettes peu à peu fondre depuis le mois de mars. Le confinement, l'arrêt des cérémonies et des mariages ont privé l'Église de ses quêtes, principale source de revenu. En 2020, le diocèse du Puy-en-Velay note une perte de 300 000 euros."

"Grâce à vous, le diocèse a recueilli 2.438.580 € en 2022 au titre du Denier, en légère progression par rapport à 2021 (+ 0,5 %), malgré une nouvelle baisse du nombre de donateurs (- 4,5 %). Je vous remercie toutes et tous pour votre générosité, vous qui avez compris l'importance de cette ressource essentielle pour la mission de l'Église : rémunération et prise en charge des prêtres en activité et retraités, ainsi que des séminaristes, notamment. L'évolution de la ressource Denier sur 10 ans appelle les commentaires suivants : baisse du Denier de - 8 %, baisse des donateurs de - 37 %, pour un don moyen en progrès de 187 € à 271 €, soit + 45 % en 10 ans, ce qui est remarquable. Pour revenir sur les deux dernières années, la baisse du nombre de donateurs est moins forte en 2022 qu'en 2021, et certaines paroisses ont su relever le défi lancé il y a un an puisque 14 paroisses ont réussi à maintenir ou augmenter le nombre des donateurs, soit 5 paroisses de plus qu'en 2021. Bien évidemment, ce défi reste toujours d'actualité : comment faire venir de nouveaux donateurs ? Comment améliorer la moyenne d'âge des donateurs en « recrutant » chez les 40-70 ans ? Encore merci pour votre générosité passée et future, je compte sur vous."

"Le diocèse souhaite porter à la connaissance des le cteurs du Progrès les précisions suivantes : D'une part, il est important de dire que le diocèse travaille depuis plus d'un an sur le transfert de ses biens. Pour cela, des inventaires précis ont été faits et des arbitrages ont été rendus, avec soin et discernement. Des personnes du Service des formations du diocèse ont apporté leur contribution à cette réflexion. "

"Le nombre de contributeurs, en 2020, au denier de l'Église dans l'Ain ; ils avaient été 7 560 en 2019. Dans le diocèse, les ressources des 50 groupements paroissiaux ont chuté de 30 à 40 %. "

"Une délégation du Conseil de l'Europe était reçue, mardi, à Rome, pour examiner les progrès de la Curie dans la lutte contre le blanchiment." [RDP du 30 septembre 2020]

"Avec presque trois mois de retard et dans l'urgence compte tenu de la chute des ressources financières, le diocèse du Puy-en-Velay met le paquet pour expliquer et convaincre de la nécessité des dons." [RDP du 22 juin 2020]

"La crise sanitaire a des répercussions sur les finances de l'Eglise catholique."

"Lancée fin mars, la campagne 2018 connaît un fléchissement: 3% de dons en moins par rapport à l'an dernier sur la même période."

"Présentant, hier, son premier rapport annuel, René Brülhart, directeur de l'Autorité d'information financière (AIF) du Vatican, a fait état de progrès significatifs. "