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sylviere doc

Comment le numérique est en train de changer le travail | La-Croix.com - France - 0 views

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    "36 mesures pour adapter le monde du travail au numérique."
peir ric

Le web, plus qu'un bavardage, un vrai lieu «d'interaction politique» » OWNI, ... - 0 views

  • les internautes apportent une information soit locale, soit experte, qui n’est pas relayée par les médias traditionnels parce qu’elle est jugée sans importance ou trop compliquée ; en cela, ils enrichissent l’espace public.
  • L’innovation créative y est d’abord comprise comme un effet émergeant de la mise en commun d’idées qui se reprennent, se mêlent, se déforment et se recombinent les unes les autres.
  • En multipliant les points de vue, on contribue à socialiser et à politiser la conversation publique. Ce n’est pas grand-chose, mais cela modifie les perceptions que l’on peut avoir de l’actualité.
  • ...21 more annotations...
  • Internet produit surtout un enchevêtrement d’interprétations.
  • Soit le Web est un support de mobilisation des électeurs et des prescripteurs d’opinion, comme dans le cas de BarackObama.com.
  • C’est cette incorporation des points de vue des autres dans l’appréhension de l’information qui contribue à transformer la relation descendante et silencieuse de l’information des professionnels vers le public.
  • Comme l’a récemment très bien mis en valeur Yves Citton, une interprétation – à la différence d’une connaissance – ne peut se déployer que si elle rencontre l’assentiment d’une communauté d’interprètes – et la production de cet assentiment/dissentiment est la raison pour laquelle nous conversons tant.
  • travail pour accrocher le débat intellectuel au débat public.
  • Soit on demande aux militants et aux électeurs de coproduire le programme du candidat en mettant la société en conversation, comme dans l’expérience de Désirs d’avenir de Ségolène Royal.
  • la seconde voie, la plus exigeante et la plus conforme à la culture d’expressivité individuelle de l’Internet, est très compliquée à mettre en œuvre.
  • Il est frappant de voir que les études sur la viralité sur Internet ont remis au goût du jour, The People’s Choice, le livre de 1955 de Katz et Lazarsfeld sur les deux étages de la communication qui insistait sur les médiations sociales de proximité dans la diffusion des messages venus de l’espace public.
  • D’une certaine manière, l’Internet des réseaux sociaux ne fait que rendre visible ce qui a toujours constitué le quotidien des individus. On expose un babil qui a toujours existé ; mais désormais celui-ci accède a plus de visibilité, rencontre des interlocuteurs nouveaux en périphérie du réseau social de chacun et peut, rarement, mais cela arrive, accéder à une large publicité virale.
  • Les tweets ne font bien souvent que relayer un lien vers un site en ajoutant quelques mots de préface qui donnent un point de vue possible sur le lien en question. Or quand vous allez lire l’article, vous le ferez avec en tête le point de vue de celui qui vous l’a recommandé, en vous demandant s’il a raison ou tort d’avoir perçu les choses ainsi.
  • Internet a contribué à rendre beaucoup plus visible et accessible le travail d’expertise mené par des chercheurs, des passionnés, des militants et des petits collectifs qui étaient souvent extrêmement marginalisés dans le débat public.
  • Mais la question est de savoir si cela peut désenclaver l’agenda médiatique en favorisant une meilleure articulation du débat public avec les savoirs en marge ou en périphérie de l’espace médiatique traditionnel.
  • Le mode de prise de décision de l’Internet est le consensus entre les plus agissants. Il y a une différence majeure entre les techniques électorales de la démocratie représentative où l’on cherche à faire voter l’ensemble d’une population définie et connue à l’avance en donnant le même poids à chaque voix et le processus de prise de décision dans les mondes en réseaux où l’on cherche à obtenir le consensus de ceux qui sont les plus mobilisés et donc les plus enclins à débattre, argumenter et accepter la décision collective.
  • c’est la forme du “consensus apparent”, comme l’appelle Philippe Urfalino , qui domine. On est d’accord jusqu’à ce que quelqu’un de la communauté exprime publiquement un désaccord.
  • Dans ce système, ce sont les plus convaincus et les plus actifs qui créent la tendance dominante ; par une sorte de division du travail interne aux communautés de l’Internet, ceux qui s’intéressent moins à la question ou sont moins convaincus délèguent leur voix aux plus actifs en se taisant, jusqu’au point de rupture.
  • La manière dont Internet agit sur l’espace public est beaucoup plus proche des techniques de mobilisation collective, comme la manifestation ou la pétition, que du choix électoral.
  • Plutôt que de limiter ces interprétations à un cercle d’herméneutes spécialisés qui proposeront une lecture particulière des données en les agrégeant selon certaines catégories statistiques, les tenants des données ouvertes pensent qu’une ouverture plus large des données publiques permettra à de nouvelles communautés interprétatives de révéler des significations non-anticipées ou non vues.
  • D’une part, on assiste à un renforcement des techniques de captation de l’attention de l’électeur qui fonctionnent sur l’hyperpersonnalisation du candidat, la peoplisation du milieu, le storytelling et les “éléments de langage”. Ce formatage communicationnel et narratif du discours politique se représente un électeur qui réfléchit peu et attend de belles histoires.
  • Ce qui change alors, dans l’esprit des professionnels de la communication politique, c’est que l’électeur n’est plus un spectateur inerte mais un internaute mimétique et qu’il faut lui servir des narrations virales pour faire l’opinion.
  • Mais d’autre part, et cette ambivalence caractérise très bien notre situation actuelle, on observe sur Internet des attentes à l’égard de l’espace public qui sont toutes différentes : une forme de distanciation critique, une reprise d’autonomie à l’égard des messages médiatiques, une volonté de participation à la définition des enjeux publics,
  • Le développement d’une “société d’interprètes” augmente la diversité des points de saisie de l’événement, tout en accroissant les contraintes de vérification et de certification des faits qui le sous-tendent. Dans une époque où le décalage entre les discours et les actes est devenu si important, l’invocation d’un accès plus large, et non déformé, à l’information est devenue essentielle, non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les journalistes qui honorent le mieux la déontologie de leur profession, comme l’a montré le travail commun de grandes rédactions de journaux et de Wikileaks.
Nicolas Casel

Usages pédagogiques d'un ENT en collège - 4 views

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    Professeur d'histoire-géographie, Bruno Lebrat présente plusieurs exemples de démarches pédagogiques simples et quotidiennes, liées à l'utilisation d'un espace numérique de travail (ENT).
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    Professeur d'histoire-géographie, Bruno Lebrat présente plusieurs exemples de démarches pédagogiques simples et quotidiennes, liées à l'utilisation d'un espace numérique de travail (ENT).
Vincent OLMOS

guidetravailcoll2008.pdf - 2 views

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    Guide du Travail Collaboratif
peir ric

Ce qui change en éducation : l'exigence de la pertinence dans la masse des sa... - 3 views

  • Il s’agit moins de produire et de distribuer du contenu à apprendre que de s’assurer que le contenu à apprendre soit accessible, pertinent et utilisable.
  • Tout l’art du responsable consiste maintenant à trouver le moyen de traiter et d’organiser de vastes quantités de contenu
  • Pour celui qui reçoit, la pertinence tient au lieu, au moment et à l’usage envisagé.
  • ...4 more annotations...
  • contextualisation
  • on balise ce contenu, on l'étiquette et on l’indexe pour en faciliter l’accès et la viralité
  • Ce sont ces capacités de traitement qui donnent la valeur aux données et au contenu et non le contenu lui-même.
  • Ce qui est proposé finalement est un service d’apprentissage plus que du contenu. La mission essentielle de l'institution éducative est donc moins de créer du contenu (ce dernier est d'ailleurs de plus en plus souvent créé ou apporté par l'utilisateur) que de l'organiser, de le valoriser et de le distribuer. 
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    le travail de l'institution éducative, e donc le prof? s'inscrit désormais dans la mise en scène des contenus à faire passer. Il faut quand même les maitriser ces contenus, je pense
anonymous

Webconférences « Enfants mutants » de S. Soudoplatoff et S. Tisseron | Espace... - 0 views

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    Internet c'est très disruptif (fractures) (vers la 49ème minute) 1. l'information n'est plus rare (il n'y a plus de coin à champignons réservés aux profs) 2. monde d'innovation fermé (brevets) vs monde ouvert (partage) 3. parole descendante (hiérarchie) versus parole horizontale (mode collaboratif) 4. rôle du pédagogue a changé : accompagnateur, médiateur, navigateur 5. économie de stock (rareté) vers économie de flux (transactions, partage) 6. création commune : intelligence collective ≠ somme intelligences individuelles Education 2.0 : 1. travail collaboratif 2. implication (user engagement) 3. fun (développement de l'intuotion) avant rationalisation
Nicolas Casel

Programme de développement des compétences informationnelles - 5 views

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    L'apprentissage des compétences informationnelles est un processus de recherche, qui passe par différentes étapes : préparer sa recherche, repérer l'information, obtenir les documents, analyser la documentation, rédiger son travail.
Jean-Marie Gilliot

Lantern - 2 views

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    un outil simple pour aider dans la classe lors de BE, récitations :travail en petits groupes.
Victor Hugo Rojas B.

Twitter n'intégrera finalement pas la vidéo | - 0 views

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    "Tout a commencé lorsque The telegraph a annoncé l'éventuel lancement d'un service de vidéo-tweet dans un article ce matin. Cet article explique en effet que les fondateurs de Twitter travaillent actuellement sur un système de partage de vidéo directement intégré à la plateforme de microblogging, ce qui permettrait de remplacer les services tiers tels que Twiddeo ou encore Tweetube, qui peinent à s'imposer puisqu'ils ne permettent que le partage de liens menant vers leur propre service. "
Nicolas Casel

Y a-t-il de nouvelles pédagogies avec les TIC ? - 8 views

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    Trois questions ont ponctué quelques échanges récents (parfois vifs) avec des groupes d'enseignants qui travaillent sur « l'intégration des TIC » dans l'enseignement au sein de leur établissement scolaire : 1 - Peut-on encore parler dans le domaine des TIC en éducation, « d'intégration », ne faut-il pas préférer le terme beaucoup plus simple de « présence » ? 2 - Les TIC sont elles à la source de nouvelles pédagogies ? 3 - Est-ce que ces TIC ne sont qu'un outil ?
peir ric

Mémoires et apprentissages* | Formation et culture numérique - Thot Cursus - 0 views

  • 'il existe une hiérarchie de plusieurs mémoires spécifiques ou plusieurs niveaux de traitement de la mémoire.
  • Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) La mémoire lexicale La mémoire sémantique
  • importance de la subvocalisation (= prononcer metalement les mots lus lors d'une lecture silencieuse) qui permet de "réinjecter" les mots dans notre mémoire lexicale lorsque nous lisons ou entendons des informations.
  • ...3 more annotations...
  • Les capacités réduites de cette mémoire ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur. 
  • l'apprentissage par coeur ne fait que renforcer la mémoire lexicale au détriment du sens.
  • la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique. 
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    " Alain Lieury dresse une "géographie de la mémoire" dans laquelle on distingue les éléments suivants : Les mémoires sensorielles (iconique, auditive, tactile, kinesthésique) ; La mémoire lexicale ; La mémoire sémantique... "Les capacités réduites de cette mémoire [de travail] ( limitée à 7 éléments; on parle alors d'empan mnésique) semblent militer pour une revalorisation de la répétition et de l'apprentissage par coeur... la théorie d'Endel Tulving consacrée à la "mémoire épisodique". Il préconise de multiplier les épisodes qui peuvent prendre la forme d' exercices, de travaux pratiques, de recherche documentaire, par exemple, créant ainsi un "emboîtement d'épisodes" essentiel pour la construction de la mémoire sémantique."
Anda Me

Emploi Cours d anglais ludiques pour enfants - Par ici les artistes - Issy-les-Moulinea... - 0 views

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    Bonjour, J organise des cours ludiques et pédagogiques oour enfants de 3-4 ans et pour enfants de 5-7 ans les dimanche matin sur issy les moulineaux. Si vous avez l expérience des enfants, que l anglais est votre langue natale, du matériel pédagogique pour apprendre l anglais en s amusant, ce travail est fait pour vous. Pour l instant il s agit de 2 heures par semaine mais si les ateliers ont du succès, ça peut devenir beaucoup plus. Bonne journée Eva layani 0660211040
sylviere doc

Enseignants : partagez avec Edshelf.com votre environnement de travail numér... - 0 views

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    "Edshelf.com se présente comme un répertoire d'outils numériques pour enseignants. L'objectif déclaré est de favoriser la découverte de nouveaux outils numériques, de comparer ceux que d'autres enseignants utilisent et, enfin, de catégoriser et d'évaluer ces outils."
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