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sylviere doc

Fact checking : zoom sur une pratique éditoriale en vogue (mind mapping) - 0 views

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    Le fact checking ou le retour à la vérification des faits.
Giliane Augustin-Lucile

Guide de pairagogie - Apprentissage par les pairs - 0 views

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    Guide de pairagogie : apprentissage par les pairs (en anglais). Utile pour l'apprentissage en ligne au sein d'une communauté Mais aussi pour les enseignants qui expérimentent l'apprentissage par les pairs http://peeragogy.org/
Laurence Aucordier

elearningblog.fr » Blog Archive » Choisir des outils e-learning adaptés - 0 views

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    Actualité et Points de vue sur l'e-learning. Bonne veille
peir ric

La lecture numérique au regard des technologies de l'attention et des science... - 5 views

  • Notre attention procède d’ une forme d’économie (i.e. administration des ressources): en agissant comme un filtre intercesseur vers les éléments mémoriels à mobiliser, elle vise à nous protéger de la surcharge cognitive.
  • Il s’agit donc de prendre en compte les mécanismes de la mémoire pour comprendre les mécanismes de mobilisation de l’attention.
  • La mémoire a trois types d’activités: l’encodage, le stockage, le rappel des éléments mémorisés. Ces rappels peuvent se faire au niveau sémantique, syntaxique ou phonotique.
  • ...15 more annotations...
  • Elle est le résultat d’une perception (attention) et d’une construction circonstancielle (contexte). L’information perçue dans un temps donné d’attention prend sens – devient connaissance- dans un contexte, une association qui est mémorisée.
  • Il y a plusieurs modèles de la mémoire: épisodique, à court terme, sémantique, perceptive et procédurale (liée à l’action, au geste).
  • Au stade du rappel (ou du raisonnement, comme c’est analysé pour les situations de mécanismes décisionnels), deux stratégies humaines peuvent être mobilisées: on peut raisonner avec des heuristiques de représentativité (classification) ou des heuristiques de disponibilité (instanciation).
  • Les utilisateurs faisant face à trois problèmes majeurs (quantité d’information, localisation des informations, orientation), il faut leur donner des éléments de repérage (identifier les éléments porteurs de sens), d’agrégation (pouvoir nommer un ensemble afin de libérer de l’attention pour le reste), de cadrage (par rapport à un acquis préalable), et d’appropriation (à vérifier dans le temps par des études d’usage).
  • Enfin, les technologies ne doivent pas entrer en concurrence avec le cerveau humain mais en être complémentaires afin de libérer de la mémoire, de l’attention.
  • 1.    La lecture, expérience-clé, se transforme 2.    Le temps de lecture s’accélère 3.    Les capacités d’attention se modifient 4.    Un nouveau rapport au savoir s’invente 5.    De nouveaux défis pour les médiateurs
  • Du rouleau au codex, passage de la lecture collective à haute voix à la lecture individuelle silencieuse: apparition des points et espaces pour faciliter la lecture silencieuse.
  • XVe et XVIe siècles, l’imprimerie s’inscrit au coeur de l’Humanisme, qui voit le passage d’une lecture-médiation à une lecture-réflexion: production de nouveaux repères de lecture (titre, paragraphe, chapitre..). Aux XVIIIe et XIXe siècles, passage de la lecture d’autorité vers la lecture-distraction.
  • Le troisième âge distingué est celui de la lecture au temps de l’informatique numérique, qui marque le passage d’une lecture-continue à une lecture-dispersion (C. Vandendorpe, 2009).
  • Il faut aujourd’hui prendre en compte:
  • La diversification des finalités de lecture: lecture utilitaire et pragmatique, lecture dynamique et focalisée, lecture professionnelle et privée. Cela s’accompagne d’un nouveau rapport au savoir: rapport utilitaire et non plus humaniste au savoir, dans un processus de reconstruction permanente de l’information en fonction de son propre projet.
  • Le déroulement multitâche de la lecture induit par les supports numériques: vitesse, sauts, balayage; courtes séquences de concentration; activation de liens, retours en arrière; recours à des outils (visualisation, moteur de recherche).
  • Les types, capacités et supports de l’attention, qui se modifient: attention focalisée/sélective, spontanée/volontaire, hyper/poly attention; supports technologiques, nouveaux rythmes/repères, supports de l’interaction et interactivité; expérience corporelle émergente: l’acteur participant, multi-tâches, multi-polaire, multiculturel.
  • Lire est donc une pratique à réinventer. Elle exige de nouvelles compétences
  • t la construction de nouveaux repères sensoriels.
sylviere doc

Diigo, nouveautés de rentrée | URFIST Info - 4 views

  • et (surtout) modulation des possibilités “sociales”, c’est-à-dire essentiellement de l’ utilisation des groupes: alors que précédemment la possibilité de créer des groupes, aussi bien publics que privés, étaient ouvertes à tous, elle se trouve très sévèrement limitée à présent.
  • Le plan gratuit ne permet plus que la création d’un groupe privé limité à trois membres, le plan standard lui-même ne permet que la création d’un groupe public (nombre de membres illimité) et de trois groupes publics, limités à 10 membres chacun (50 membres par groupe privé pour le plan “éducateur”), seul le compte “professionnel” permet la création de groupes, publics et privés, de façon illimitée. Il est à signaler que les groupes existants, comme les groupes de veille des Urfist restent actifs (ouf!).
  • À signaler également, et c’est l’os que j’évoquais en début de billet, que la nouvelle fonction d’annotation des pdfs (qui répond à un besoin rencontré dans chacune de nos formations diigo) est réservée aux plans “standard” (limitée à 100 pdfs), “professionnel” (illimitée) et “éducateur” (limitée à 50 pdf) et n’est donc pas accessible avec un plan gratuit.
  • ...1 more annotation...
  • Pratiquement: pour la gestion personnelle de signets, diigo reste l’outil puissant qu’il était et continue d’offrir des avantages nets par rapport à la concurrence (essentiellement s’agissant des annotations) mais les cartes sont rebattues quant au partage et à la collaboration. S’il est possible de bricoler avec un groupe public et un nombre restreint de (petits sauf pour le plan “éducateur”) groupes privés[4], une utilisation importante des groupes implique la souscription au plan “professionnel”. À 59$/an, ce n’est pas hors de prix pour une institution, à condition de savoir gérer les contraintes des procédures comptables publiques. (Une autre solution serait de changer d’outil mais je n’ai pas pu trouver ni pour la gestion personnelle, ni pour le partage et la collaboration un outil gratuit qui offrirait des performances analogues. Des suggestions?)
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    Moins de partage et de collaboration !
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    Moins de partage et de collaboration !
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    Avez-vous remarqué qu'il n'y a plus de flux RSS possibles à partir d'une combinaison des mots-clé de sa "library"? C'est dommage quand on veille pour des collègues qui ne sont pas forcément fanas diigo ou quand on veut éditorialiser sa veille sur 1 sujet...
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