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sylviere doc

Le documentaliste : un designer de l'information ! | Veille documentaire - 1 views

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    "A l'heure de l'infobésité, de la primauté des images sur l'écrit, du développement de la data visualisation et des orientations axées « service au public », il est urgent de présenter l'information sous une forme plus esthétique et interactive ! Mais comment rendre nos contenus plus « sexy » afin de « sortir du lot » et susciter l'intérêt des usagers de l'information ? "
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    "A l'heure de l'infobésité, de la primauté des images sur l'écrit, du développement de la data visualisation et des orientations axées « service au public », il est urgent de présenter l'information sous une forme plus esthétique et interactive ! Mais comment rendre nos contenus plus « sexy » afin de « sortir du lot » et susciter l'intérêt des usagers de l'information ? "
Gentit André

EduCanon. Créer facilement des vidéos interactives pour ses étudiants - 3 views

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    "EduCanon est un outil tice  qui permet de créer facilement des vidéos intégrant des questions, quizzs et compléments multimédias. Un outil idéal pour la classe inversée qui permet de proposer des leçons en vidéo intégrant des moments de contrôle de la compréhension par l'apprenant. EduCanon est une alternative a EdPuzzle ou Zaption dont j'ai déjà parlé sur les Outils Tice."
Stéphane Métral

Games in Schools - 0 views

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    European Schoolnet is undertaking a major study sponsored by the Interactive Software Federation of Europe on the use of games in schools in Europe: video games, computer games, online games that run on consoles, computers, handhelds or mobile phones.
Jean-Marie Gilliot

PowerPoint Twitter tools = Powerpoint + Twitter - Quoi de neuf ? : Les Explorateurs du Web - 3 views

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    rendre une présentation plus interactive
peir ric

Networks, dossier de la revue Science | L'Atelier de Cartographie - 0 views

  • propriétés maintenant bien connues des réseaux distribués à grande échelle,
  • les chercheurs en sciences des réseaux testent leurs hypothèses : mobilité et interactions entre agents sociaux, produits ou entreprises dans un marché ou encore vie des blogs et diffusion tweets sur Internet.
  • C’est l’interdépendance des espèces qu’il s’agit donc de mesurer dans une représentation unifiée pour affiner les données sur les dimensions de co-évolution des espèces, d’extinction de masse ou pour mesurer les influences « anthropogenic » sur un biotope.
  • ...8 more annotations...
  • Et, comme en économie ou en sciences du web, les premières conclusions montrent que les réseaux d’interactions dans le vivant révèlent à grande échelle un monde organisé et très connecté (comme pour le web, il s’agit d’un « giant cluster ») qui n’est ni « random organized » ni constitué d’éléments ou de groupes séparés.
  • L’observation de la vie sociale apparaît maintenant comme un objectif central des Network Sciences 
  • le déploiement de systèmes de monitoring en temps réel
  • Quatre directions de recherche et d’expérimentation pour les dix années à venir sont identifiées
  • l’exploration des données sociétales et l’avènement des « hard social sciences »
  • constituer de “large scale datasets” pour mesurer les interactions humaines à différentes échelles de granularité, produire des modèles de comportement, voire de prévisibilité, à partir de l’analyse des données (et non de modèles préconçus).
  • produire de nouveaux modèles
  • des réseaux à grande échelle et être en capacité de les décrire à partir de leur dimension dynamique
Vahid Masrour

Eric Mazur on new interactive teaching techniques | Harvard Magazine Mar-Apr 2012 - 2 views

  • shift from “teaching” to “helping students learn.”
  • ctive learning overthrows the “transfer of information” model of instruction, which casts the student as a dry sponge who passively absorbs facts and ideas from a teacher
  • rethink the nature of the college course
  • ...2 more annotations...
  • Websites and laptops have been around for years now, but we haven’t fully thought through how to integrate them with teaching so as to conceive of courses differently
  • ask my students to read my lecture notes before class, and then tell me what questions they have [ordinarily, using the course’s website], and when we meet, we discuss those questions.
Raphael Rousseau

Explorcamp #1 - explorcamp du web2territorial - 0 views

  • Nouveau web = Web 1 + Web 2 Lire + Ecrire Consommateur + Acteur Pro + Amateur Data + Personnes Tous droits réservés + Tous droits partageables Intérêt + Implication Produit + Service Stock + Flux Contenus + Interactions Textuel + Multimédia
Vahid Masrour

Student PLNs: It's All About Relationships - 3 views

  • to embrace and accept our students’ need for building relationships and socializing
  • the technology tools should support or enhance the learning process
  • The focus should always be on the learning objectives
  • ...3 more annotations...
  • In the beginning of the year, before any technology is introduced, our students spend time building community
  • do this through service learning projects that take place outside of school
  • talk to them about appropriate behavior and the similarities and differences between face-to-face and online interaction.
peir ric

Le web, plus qu'un bavardage, un vrai lieu «d'interaction politique» » OWNI, ... - 0 views

  • les internautes apportent une information soit locale, soit experte, qui n’est pas relayée par les médias traditionnels parce qu’elle est jugée sans importance ou trop compliquée ; en cela, ils enrichissent l’espace public.
  • L’innovation créative y est d’abord comprise comme un effet émergeant de la mise en commun d’idées qui se reprennent, se mêlent, se déforment et se recombinent les unes les autres.
  • En multipliant les points de vue, on contribue à socialiser et à politiser la conversation publique. Ce n’est pas grand-chose, mais cela modifie les perceptions que l’on peut avoir de l’actualité.
  • ...21 more annotations...
  • Internet produit surtout un enchevêtrement d’interprétations.
  • Soit le Web est un support de mobilisation des électeurs et des prescripteurs d’opinion, comme dans le cas de BarackObama.com.
  • C’est cette incorporation des points de vue des autres dans l’appréhension de l’information qui contribue à transformer la relation descendante et silencieuse de l’information des professionnels vers le public.
  • Comme l’a récemment très bien mis en valeur Yves Citton, une interprétation – à la différence d’une connaissance – ne peut se déployer que si elle rencontre l’assentiment d’une communauté d’interprètes – et la production de cet assentiment/dissentiment est la raison pour laquelle nous conversons tant.
  • travail pour accrocher le débat intellectuel au débat public.
  • Soit on demande aux militants et aux électeurs de coproduire le programme du candidat en mettant la société en conversation, comme dans l’expérience de Désirs d’avenir de Ségolène Royal.
  • la seconde voie, la plus exigeante et la plus conforme à la culture d’expressivité individuelle de l’Internet, est très compliquée à mettre en œuvre.
  • Il est frappant de voir que les études sur la viralité sur Internet ont remis au goût du jour, The People’s Choice, le livre de 1955 de Katz et Lazarsfeld sur les deux étages de la communication qui insistait sur les médiations sociales de proximité dans la diffusion des messages venus de l’espace public.
  • D’une certaine manière, l’Internet des réseaux sociaux ne fait que rendre visible ce qui a toujours constitué le quotidien des individus. On expose un babil qui a toujours existé ; mais désormais celui-ci accède a plus de visibilité, rencontre des interlocuteurs nouveaux en périphérie du réseau social de chacun et peut, rarement, mais cela arrive, accéder à une large publicité virale.
  • Les tweets ne font bien souvent que relayer un lien vers un site en ajoutant quelques mots de préface qui donnent un point de vue possible sur le lien en question. Or quand vous allez lire l’article, vous le ferez avec en tête le point de vue de celui qui vous l’a recommandé, en vous demandant s’il a raison ou tort d’avoir perçu les choses ainsi.
  • Internet a contribué à rendre beaucoup plus visible et accessible le travail d’expertise mené par des chercheurs, des passionnés, des militants et des petits collectifs qui étaient souvent extrêmement marginalisés dans le débat public.
  • Mais la question est de savoir si cela peut désenclaver l’agenda médiatique en favorisant une meilleure articulation du débat public avec les savoirs en marge ou en périphérie de l’espace médiatique traditionnel.
  • Le mode de prise de décision de l’Internet est le consensus entre les plus agissants. Il y a une différence majeure entre les techniques électorales de la démocratie représentative où l’on cherche à faire voter l’ensemble d’une population définie et connue à l’avance en donnant le même poids à chaque voix et le processus de prise de décision dans les mondes en réseaux où l’on cherche à obtenir le consensus de ceux qui sont les plus mobilisés et donc les plus enclins à débattre, argumenter et accepter la décision collective.
  • c’est la forme du “consensus apparent”, comme l’appelle Philippe Urfalino , qui domine. On est d’accord jusqu’à ce que quelqu’un de la communauté exprime publiquement un désaccord.
  • Dans ce système, ce sont les plus convaincus et les plus actifs qui créent la tendance dominante ; par une sorte de division du travail interne aux communautés de l’Internet, ceux qui s’intéressent moins à la question ou sont moins convaincus délèguent leur voix aux plus actifs en se taisant, jusqu’au point de rupture.
  • La manière dont Internet agit sur l’espace public est beaucoup plus proche des techniques de mobilisation collective, comme la manifestation ou la pétition, que du choix électoral.
  • Plutôt que de limiter ces interprétations à un cercle d’herméneutes spécialisés qui proposeront une lecture particulière des données en les agrégeant selon certaines catégories statistiques, les tenants des données ouvertes pensent qu’une ouverture plus large des données publiques permettra à de nouvelles communautés interprétatives de révéler des significations non-anticipées ou non vues.
  • D’une part, on assiste à un renforcement des techniques de captation de l’attention de l’électeur qui fonctionnent sur l’hyperpersonnalisation du candidat, la peoplisation du milieu, le storytelling et les “éléments de langage”. Ce formatage communicationnel et narratif du discours politique se représente un électeur qui réfléchit peu et attend de belles histoires.
  • Ce qui change alors, dans l’esprit des professionnels de la communication politique, c’est que l’électeur n’est plus un spectateur inerte mais un internaute mimétique et qu’il faut lui servir des narrations virales pour faire l’opinion.
  • Mais d’autre part, et cette ambivalence caractérise très bien notre situation actuelle, on observe sur Internet des attentes à l’égard de l’espace public qui sont toutes différentes : une forme de distanciation critique, une reprise d’autonomie à l’égard des messages médiatiques, une volonté de participation à la définition des enjeux publics,
  • Le développement d’une “société d’interprètes” augmente la diversité des points de saisie de l’événement, tout en accroissant les contraintes de vérification et de certification des faits qui le sous-tendent. Dans une époque où le décalage entre les discours et les actes est devenu si important, l’invocation d’un accès plus large, et non déformé, à l’information est devenue essentielle, non seulement pour les citoyens, mais aussi pour les journalistes qui honorent le mieux la déontologie de leur profession, comme l’a montré le travail commun de grandes rédactions de journaux et de Wikileaks.
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