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14 avr 2015 La Plateforme d'Expertise en Formation Professionnelle (PEFOP) - Pôle de Dakar de l'Institut international de planification de l'éducation de l'UNESCO (IIPE) - Dakar, Sénégal recrute: Expert en Analyse Institutionnelle (P3) - Plateforme d'Expertise en Formation Professionnelle (PEFOP) - Pôle de Dakar de l'Institut international de planification de l'éducation de l'UNESCO (IIPE) - Dakar, Sénégal - Date de cloture: 14 mai 2015 Expert en animation de réseau (P3) - Plateforme d'Expertise en Formation Professionnelle - Pôle de Dakar de l'Institut international de planification de l'éducation de l'UNESCO (IIPE) - Dakar, Sénégal - Date de cloture : 14 mai 2015 Expert en formation agricole, rurale et pour le secteur informel (P3) - Plateforme d'Expertise en Formation Professionnelle (PEFOP) - Pôle de Dakar de l'Institut international de planification de l'éducation de l'UNESCO - Dakar, Sénégal - Date de cloture : 14 mai 2015 Expert en insertion-emploi (P3) - Plateforme d'Expertise en Formation Professionnelle (PEFOP) - Pôle de Dakar de l'Institut international de planification de l'éducation de l'UNESCO (IIPE) - Dakar, Sénégal - Date de cloture : 14 mai 2015

L'atelier de lancement de la Pefop, Plateforme d'expertise en formation professionnelle pour l'Afrique, a réuni, à Dakar, les 2 et 3 novembre, près d'une centaine de responsables nationaux et internationaux. La Pefop appuiera l'opérationnalisation des réformes des politiques de formation professionnelle, en renforçant les acteurs publics et privés impliqués dans leur mise en œuvre. La plateforme contribuera à relever deux défis majeurs : accompagner la croissance et favoriser l'insertion des jeunes.

"SOS Faim vient de lancer sa nouvelle plateforme informative multimédia sur l'agriculture familiale. Vous y trouverez tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'agriculture familiale, qui plus est que la plateforme est en français. La plateforme www.agriculturefamiliale.org présente la situation actuelle des agricultures familiales, en fait un état des lieux sur chiffres, évoque les enjeux, les acteurs impliqués, les atouts, les obstacles, et les leviers d'action… Le tout au travers de photos, d'infographies, de textes et de vidéos."

"Plus de 200 délégués se rassembleront du 25 au 27 Mars à Addis-Abeba en Ethiopie, pour la 9e Plateforme de Partenariat du PDDAA, organisée par l'Union Africaine et l'Agence du Nepad. Le thème de cette année se concentrera sur les succès du CAADP/PDDAA et les leçons apprises ces dix dernières années, ainsi que l'anticipation des défis qui se manifesteront dans les années à venir. La plateforme sera conduite au travers de sessions plénières, dans lesquelles des expériences et des études de cas guideront les discussions. Les sessions aborderont quatre domaines : - tirer parti des différents modèles financiers qui émergent pour un financement efficace de l'agriculture - renforcer l'appropriation et les capacités nationales - établir des instruments et des mécanismes pour renforcer la responsabilisation - encourager des réformes politiques, le changement institutionnel et les transformations structurelles"

Il y a tout juste un an, l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF) lançait le Réseau francophone de l'innovation (FINNOV), en partenariat avec la Fédération Wallonie-Bruxelles et en collaboration avec l'Agence universitaire de la Francophonie. L'initiative franchit aujourd'hui une nouvelle étape en lançant sa plateforme collaborative www.francophonieinnovation.org qui met à la disposition de la communauté francophone des ressources en français sur les bonnes pratiques en matière d'innovation. Grâce à cette plateforme, des communautés en ligne pourront échanger en matière d'innovation dans 4 secteurs clés : l'agro-alimentaire, le numérique, l'économie verte et les industries culturelles mais également aborder des thèmes transversaux d'ordre scientifique, institutionnel, économique et financier.

L'ADEA fait partie des membres fondateurs du Plateforme Internationale des Réseaux Jeunesse Francophones. Celle-ci a été lancée lors du 15ème Sommet de la Francophonie.

"La Plateforme ouverte de données (OpenData, en anglais) de la Banque africaine de développement (BAD) est désormais opérationnelle pour l'ensemble du continent africain. Cette mise en place vient à la suite de l'achèvement en juillet 2013 de la dernière phase du projet pour les 14 pays africains suivants : Bénin, Comores, Côte d'Ivoire, Djibouti, Guinée équatoriale, Erythrée, Gambie, Guinée-Bissau, Liberia, Kenya, Sao Tomé et Principe, Sierra Leone, Swaziland et Togo. "

Le Ghana a commencé à tester un nouveau programme en ligne sur l'agriculture destiné à permettre aux agriculteurs de consulter des données vitales pour eux. Quelque 35 000 agriculteurs ayant accès à un smartphone ont souscris à la plateforme en ligne introduite par le gouvernement pour permettre aux producteurs agricoles, chercheurs et autres parties prenantes de partager leurs informations et leurs opinions sur les prix du marché, la météo, la technologie, les politiques, les programmes et autres sujets phares. Financé par la Banque mondiale dans le cadre du Programme de productivité agricole ouest-africaine (WAAPP), ce système de données agricoles en ligne est considéré comme complémentaire aux services traditionnels de vulgarisation qui souvent n'atteignent pas les petits producteurs les plus vulnérables.

"La coordination, sur le champ de l'éducation formelle, non formelle, la formation professionnelle, des acteurs et des « opérateurs » de la mobilité (acteurs internationaux, européens, nationaux, services déconcentrés de l'État, collectivités territoriales, universités, associations…) est une responsabilité institutionnelle de l'État et des Conseils régionaux. Le projet de plateformes constitue un outil au service de cette coordination. "

"La réunion sur la sécurité alimentaire et les opportunités d'investissement dans la production agricole se tiendra les 25 et 26 mars 2013 à Mahajanga. Cette réunion organisée par la Commission de l'océan Indien (COI) est soutenue par l'Union européenne (UE). Elle est placée sous le haut patronage du Fonds international de développement agricole (FIDA) en partenariat avec le ministère de l'Agriculture de Madagascar et la Fédération des Chambres de Commerce et d'Industrie de Madagascar (FCCIM). Ce rendez-vous offre l'opportunité aux investisseurs d'être associés, en amont, à la préparation et à la mise en œuvre d'un projet qui a pour but de renforcer la sécurité alimentaire au sein de l'espace COI. Les autorités malgaches pourront notamment y présenter les dispositifs mis en place pour offrir le cadre nécessaire à la concrétisation de projets agricoles permettant le développement du marché régional. La réunion sera suivie, le 27 mars 2013, par le lancement de la plateforme nationale malgache «Femme, développement durable et sécurité alimentaire»."

"Plateforme de coopération régionale, la Commission de l'Océan Indien (COI) permet de mutualiser les ressources et les compétences pour mieux répondre à des problèmes souvent transfrontaliers. Elle contribue à structurer des réseaux régionaux d'hommes et de femmes pour partager des informations, des expériences et des bonnes pratiques, et ainsi tracer la voie d'un développement plus durable et solidaire. Le Secrétariat général de la Commission de l'océan Indien (COI) organise une réunion des investisseurs et des partenaires techniques et financiers pour la mise en œuvre d'une stratégie visant à renforcer la sécurité alimentaire dans le domaine de l'agriculture dans l'Indianocéanie, les 25 et 26 mars 2013 à Mahajanga, Madagascar. Ce rendez-vous offre l'opportunité de réunir les investisseurs et de les associer, à la préparation et à la mise en œuvre d'un projet pour assurer la sécurité alimentaire au sein de l'espace COI."

"Le projet ISLANDS de la Commission de l'océan Indien (COI) a réuni une trentaine de représentants des pays de la région, les 5 et 6 mars, à son siège à Ebène (Maurice), afin de réfléchir aux moyens de pérenniser l'impact de ses actions de coopération en faveur du développement durable. En effet, faute de compétences et de moyens suffisants, les pays sont souvent dans l'incapacité de maintenir ou d'étendre les bénéfices des projets après leur clôture. Il en résulte un succès limité, voire précaire, des programmes de développement. C'est en réponse à cette lacune que le projet ISLANDS (financé par l'Union européenne) a créé cette nouvelle plateforme qui a rassemblé des représentants du secteur public, du secteur privé, de la société civile et du monde universitaire. Les cinq pays concernés sont l'Union des Comores, Madagascar, Maurice, les Seychelles et Zanzibar (Tanzanie). lire les documents relatifs au comité..."

Jadis réservés aux organismes de formation les plus aisés du fait de leur prix et de leur technicité, les dispositifs e-learning se sont démocratisés au fil du temps, devenant accessibles même aux formateurs indépendants. Sur un plan technique, l'offre d'outils e-learning (plateformes LMS, applications web, boîtiers de vote électroniques, classes virtuelles, etc.) a évolué vers un usage collaboratif, permettant aux formateurs et aux entreprises et d'internaliser la production de leurs contenus

"Une décennie après l'approbation de la Plateforme du Partenariat du Programme détaillé de développement agricole (PDDAA), par les Chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union Africaine à Maputo au Mozambique, l'on constate que le chemin reste long à parcourir pour atteindre l'objectif global de cet instrument qui est d'éradiquer la faim en Afrique et d'y réduire la pauvreté grâce à l'agriculture."

"Une décennie après l'approbation de la Plateforme du Partenariat du Programme détaillé de développement agricole (PDDAA), par les Chefs d'Etats et de gouvernements de l'Union Africaine à Maputo au Mozambique, l'on constate que le chemin reste long à parcourir pour atteindre l'objectif global de cet instrument qui est d'éradiquer la faim en Afrique et d'y réduire la pauvreté grâce à l'agriculture."

"Foncier : FIFATA représente la société civile à Washington Depuis une dizaine d'années, Washington abrite au mois d'avril une grande conférence sur le Foncier et la pauvreté, lieu de rencontre de centaines de participants de différentes instances de nombreux pays. Bien que travaillant dans le secteur foncier et agricole depuis une vingtaine d'années, Fifata reçoit, pour la première fois en 2013, une invitation de la Banque Mondiale pour représenter la société civile malagasy, en l'occurrence la plateforme de la Solidarité des Intervenants du Foncier (SIF). C'est une véritable consécration, une reconnaissance des actions réalisées. En réalité, la conférence constitue une formidable opportunité de rencontre, de communication et d'échanges pour toutes les expériences internationales des grands et de ceux moins avancés, un vaste podium pour se faire entendre et pour écouter. Fifata a participé à ce grand évènement mondial et a tiré des leçons ."

"Un atelier international organisé dans ce sens s'achève ce vendredi à Douala. Selon des chiffres de la Ceeac, 56% de la population active dans la sous-région est impliqué dans l'agriculture et l'élevage. Mais les atouts de la zone ne sont pas pleinement exploités. On relève ainsi la faiblesse des rendements, le recul des captures de poissons, une trop lente reproduction du cheptel, la faible couverture des besoins alimentaires régionaux par la production domestique. En raison de ce tableau peu reluisant, les chefs d'Etat d'Afrique centrale ont instruit la mise sur pied une politique agricole commune. Du 16 au 18 avril, Douala a accueilli un atelier regroupant des représentants d'organisations paysannes de la sous-région, la société civile, des experts, etc. Des séminaristes censés participer à l'élaboration de la politique agricole commune de la Ceeac, analyser et formuler des recommandations d'amélioration du document de politique agricole commune. Les acteurs pourront faire des propositions qui prennent en compte leurs besoins et préoccupations. Pour Elizabeth Atangana, présidente de la Plateforme sous-régionale des organisations paysannes d'Afrique centrale (Propac), la situation de l'agriculture en Afrique centrale nécessite des espaces de dialogue multi-acteurs pour le partage de la vision et l'engagement commun dans la recherche de solutions appropriées."

"Le GSDM est une association de droit malgache qui regroupe différents organismes impliqués dans la recherche, la formation et la diffusion de l'Agriculture de conservation (ou SCV) à Madagascar. Les informations sur ses membres apparaissent dans ce site. Sa mission consiste à l'appui à la diffusion à grande échelle de l'Agriculture de Conservation dans le pays. Les GSDM est le point focal de la Task Force sur l'Agriculture de conservation (SCV), une plateforme nationale appuyée par la FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture). Depuis sa création, le GSDM est appuyé par le CIRAD et il reçoit depuis 2002 le soutient de l'AFD (Agence Française de Développement) et du FFEM (Fond Français pour l'Environnement Mondial) au travers du projet « Appui à la diffusion des techniques agro-écologiques à Madagascar »."

"Les études académiques et la recherche universitaire ont un besoin crucial d'accès aux articles et résultats de recherche internationaux. Or, cet accès reste extrêmement difficile sur le continent africain. Le manque d'équipement informatique et d'accès à Internet, le manque de moyens des bibliothèques universitaires pour s'abonner aux publications scientifiques de renom, parmi d'autres carences, freinent considérablement l'émergence de travaux de recherche de qualité, capables de rivaliser avec ceux qui sont menés dans le reste du monde. Mais un site tout juste né ambitionne de changer la donne. Lancée officiellement le 24 janvier 2013 au Kenya, Hadithi est une plateforme d'hébergement de contenus académiques en accès libre, gérée par une société privée du même nom, basée à Nairobi"

" Dans le cadre de la plateforme the World We Want 2015, l'UNICEF et l'UNESCO ont lancé en décembre 2012 une consultation mondiale en ligne afin de s'assurer que l'éducation est effectivement considérée comme une priorité dans l'agenda du développement après 2015. La consultation a pour objet de convier des jeunes, la société civile, des ONG, des universitaires, des gouvernements et le secteur privé à faire part de leurs expériences et de leurs idées sur la façon de parvenir, à travers le monde, à un accès plus large et plus équitable à une éducation de qualité. Comprenant quatre discussions thématiques en ligne, cette conversation mondiale en ligne durera jusqu'à la fin du mois de février 2013. "