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"L'effort doit être apprécié, souffle un diplomate. Les ministres européens du Développement vont approuver, mardi 28 mai, une augmentation du budget du Fonds européen de développement (FED). Pour 2014-2020, les Etats ont décidé d'ajouter 4,5 milliards d'euros à cette enveloppe destinée aux pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique). Un montant qui dépasse les montants initialement demandés par la Commission. Lors du Conseil européen de février, les Etats s'étaient arrêtés sur un budget avoisinant les 27 milliards d'euros. "

"Alors que les institutions européennes viennent d'adopter l'instrument financier qui soutiendra la politique de coopération au développement (ICD) de l'Union européenne (UE) à hauteur de 19,6 milliards d'euros pour les sept ans à venir, les associations membres de la Maison européenne des pouvoirs locaux français (MEPLF) et son président, Michel Destot, ont organisé, le 17 décembre à Paris, un séminaire de réflexion, réunissant, autour du ministre chargé du Développement, Pascal Canfin, des élus locaux représentant les collectivités françaises, le Parlement européen, un représentant de la Commission européenne et des experts techniques de l'action extérieure des collectivités. Cette rencontre a permis de dresser un premier bilan de la mobilisation des fonds européens par les collectivités pour la période 2007-2013 et de présenter les nouveaux programmes européens de développement accessibles aux collectivités locales pour 2014-2020. "

"Le Commissaire européen chargé du développement, Andris Piebalgs, s'est déclaré satisfait des avancées politiques réalisées par Madagascar. Il ne s'est toutefois pas prononcé clairement sur un versement immédiat ou une augmentation par l'UE de l'aide accordée au pays. « Il est trop tôt pour le dire, je vais faire une proposition, mais, c'est aux pays membres de décider de l'augmentation de l'aide de l'UE au profit de Madagascar», a précisé le commissaire européen après une visite de trois jours à Madagascar. Cette visite était destinée à «confirmer la reprise complète de la coopération de l'UE avec le pays au développement et lancer les discussions concernant la programmation des fonds européens pour la période 2014-2020 »."

Célébrée pour la première fois en 2012, la Journée de la coopération européenne vise à mettre en valeur les réalisations concrètes de la coopération entre les différents pays et régions d'Europe à travers une campagne pan-européenne intitulée : « Grandir ensemble au-delà des frontières ». Vous êtes conviés le 10 septembre au Parlement européen de Strasbourg afin de participer au lancement officiel de cette campagne coordonnée par le programme INTERACT, en association avec la Commission européenne et soutenue par le Comité des régions et le Parlement européen."

La Région est aujourd'hui pilote du fond européen FEDER. Un changement pour une gestion directe plus efficace, plus lisible, plus cohérente en direction des chefs d'entreprises locaux et des porteurs de projets, une avancée pour tous les réunionnais. L'assemblée Plénière du Conseil Régional, du Mardi 22 Avril 2014, a acté la responsabilité de la Région comme Autorité de Gestion des fonds européens (FEDER) « Ce positionnement traduit la cohérence de mon implication, (...)

Suite aux propos du président du Conseil général de Mayotte, Daniel ZAÏDANI, et à la mauvaise polémique ainsi alimentée, la ministre des Outre-mer, George PAU-LANGEVIN, tient à apporter les précisions suivantes : Les montants des fonds européens (FEDER/FSE) alloués à Mayotte ont été définis dans une décision du Conseil européen de février 2013 à laquelle chacun peut se référer. Il n'y a eu aucune divergence de vues entre la Commission européenne et les autorités françaises : (…) - Communiqués / Mayotte, A la une - publier en page d'accueil

"Tandis que les dirigeants de la Commission européenne exhortent les pays européens à investir plus dans l'aide au développement destinée aux pauvres de par le monde, des organisations actives dans des pays sous-développés ont fait observer que les dons supplémentaires pourraient être perdus sans des politiques et des réseaux d'aide plus efficaces. En outre, un des architectes des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) fixés par les Nations Unies a averti que l'Union européenne risquait de surestimer ses capacités en tentant d'établir le futur agenda international de lutte contre la pauvreté. Réunis début avril à Bruxelles pour la publication du Rapport européen sur le Développement (RED), des intervenants ont souligné que les nations riches devaient étudier très attentivement l'agenda plus vaste pour le développement si elles tenaient à "en avoir pour leur argent" en finançant l'aide internationale"

"Le Parlement européen a voté le 6 Février 2013 son rapport concernant la future réglementation de la PCP (le « règlement de base »). Le rapport final a été soutenu par une importante majorité de parlementaires (502 en faveur ; 137 contre - une majorité qualifiée étant de 377). Cela signifie que le Parlement est dans une position relativement forte d'aller maintenant discuter avec le Conseil et ce pour obtenir un accord final à quoi ressemblera la politique future de pêche."

La rencontre annuelle 2016 du Forum européen sur la recherche agricole pour le développement (EFARD), organisée en collaboration avec la Plateforme pour les partenariats Africains et Européens dans le domaine de la recherche et du développement agronomique (PAEPARD), a réuni des chercheurs et des professionnels d'Europe de l'Ouest, centrale et de l'Est et d'Afrique, afin de débattre de l'avenir de la recherche guidée par les utilisateurs et de l'innovation partenariale (MSHIP).

"Le Commissaire européen en charge de l'Agriculture et du Développement rural Dacian Ciolos l'a assuré lors d'une visite le 1er août à La Réunion: les crédits du POSEI (Programme d'Options Spécifiques à l'Eloignement et à l'Insularité) seront bien reconduits jusqu'en 2020. Ces crédits européens permettent à l'agriculture, mais également à l'agroalimentaire, à la recherche et l'innovation réunionnaises de se développer."

"Samedi 23 novembre 2013 Centre des Congrès Diagora Touloue-Labège Les temps forts 9h15 Les Ateliers thématiques 11h La Tribune des projets Présentation de 18 actions conduites dans le monde par les Midi-Pyrénéens. 14h LE GRAND DÉBAT Animé par Marc Voinchet, journaliste à France Culture De l'insécurité alimentaire à la souveraineté alimentaire, où en est-on ? comment agir ? Avec la participation de : Marc Bied-Charreton, président du Comité scientifique français de la désertification, expert auprès des Conventions des Nations unies sur l'environnement. Fatou Binetou Diop, responsable de la sécurité alimentaire à l'Union des groupements paysans de Meckhé, chargée de l'activité Banques de céréales dans le cadre de la coopération entre les Régions Midi-Pyrénées et Thiès (Sénégal). José Bové, député européen, vice-président de la Commission agriculture et développement rural au Parlement européen. Cédric Cabanne, ingénieur agronome, dirigeant de Agronutrition. Yves Le Bars, président du Comité français pour la solidarité internationale. Bruno Losch, économiste, directeur de recherche du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Florence Mouton, en charge de la prospective sur la sécurité alimentaire à l'Agence française de développement. Pablo Vargas Chavez, gérant de La Florida, Groupement de coopératives caféières au Pérou. "

Commission européenne MÉMO Bruxelles, le 19 juin 2014 Le commissaire européen chargé du développement, M. Andris Piebalgs, et les ministres de 16 pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique) cosigneront aujourd'hui et demain à Nairobi (Kenya) les premiers programmes indicatifs nationaux au titre du 11e Fonds européen de développement pour la période 2014-2020.

"Le Sénégal ouvre ses eaux à une flotte de thoniers européens, ce qui inquiète les défenseurs de l'environnement et les acteurs locaux. L'État sénégalais autorise 38 navires européens, surtout français et espagnols, à pénétrer dans ses eaux nationales pour y prélever 14 000 tonnes de thon par an durant cinq ans. Deux des navires sont également autorisés à pêcher le merlu. En contrepartie, l'Europe doit payer 15 millions d'euros au Sénégal. Elle s'engage à financer la surveillance côtière, à soutenir les pêcheurs locaux et à aider à la protection du littoral à hauteur de 50 millions d'euros."

Le réseau FAR international, représenté par Souad Benmoussa, membre associé du projet AgroFE, a été invité par Agrosup Dijon qui assure la coordination et la gestion du projet, à participer à la réunion tenue du 7 au 9 avril 2014 au lycée agricole et forestier de Mirecourt (France) et ce dans le but de faire connaître le réseau et ses 14 pays membres aux participants des six pays partenaires européens du projet. Au cours de cette rencontre, une communication a été présentée expliquant l'organisation, les objectifs et le fonctionnement du réseau FAR international. Un accent a été mis sur le rôle déterminant du réseau dans certains de ses pays membres et ce au travers de l'expertise et de son intervention dans les rénovations de leurs dispositifs de formation. En encourageant et favorisant la construction de références et de compétences à partager entre ses pays membres, il souhaite également à élargir ses partenariats et collaborations. C'est dans ce sens qu'il demeure important de le faire connaître au niveau Européen. Le projet Agrofe dont l'objectif est la mise en place d'un dispositif de formation en agroforesterie est une excellente opportunité pour élargir ses champs d'échanges mais aussi pour faire bénéficier les membres du réseau FAR des travaux et résultats de ce projet et de les diffuser à une large échelle.

"L'amélioration durable de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, ainsi que la question des moyens de subsistance des agriculteurs africains, sont mis en exergue par 23 partenaires de recherche et d'innovation africains et européens. Cette collaboration se fait autour d'un partenariat de recherche et d'innovation à long terme. L'accent est mis sur l'intensification durable des systèmes de production en Afrique. Quels effets réels peut-on attendre de nouvelles voies d'intensification durable de la production agricole et alimentaire sur l'environnement, l'économie et la société? Bien que les systèmes de production actuels aient permis une augmentation substantielle de la production agricole et alimentaire, l'évolution des pratiques agricoles a parfois conduit à une détérioration de l'environnement. En outre, de nombreuses personnes n'ont toujours pas suffisamment à manger et ne peuvent échapper à la pauvreté. 23 instituts de recherche et d'innovation, répartis dans 21 pays européens et africains, se joignent pour étudier les effets globaux des systèmes de production dans le cadre d'une nouvelle initiative, PROIntensAfrica. « La croissance attendue de la population mondiale de 7 à 9 milliards d'individus et la modification des régimes alimentaires exigeront 70 % de nourriture en plus en 2050. On le sait, il n'y a pas de solution unique pour l'augmentation de la production. Il faut explorer et exploiter la diversité de voies d'intensification durables », explique Dr Huub Löffler de l'Université de Wageningen et Centre de Recherche (WUR), coordinateur de l'initiative."

"Retrouvez ci-dessous la synthèse des échanges qui se sont tenus au Parlement européen, à Bruxelles. Une conférence-débat animée par Emmanuelle Bastide, journaliste à RFI, avec : Jeannot Kouadio-Ahoussou, président de la Région du Bélier et président de l'Association des Régions Districts de Côte d'Ivoire, ancien Premier ministre de Côte d'Ivoire, avocat Gilles Pargneaux, député européen, président du groupe d'amitié Union européenne-Maroc, secrétaire national du Parti socialiste français chargé des relations Nord-Sud Mary Gely, doctorante en Sciences du Territoire, laboratoire PACTE, Université de Grenoble Alpes, ancienne chargée de mission Coopération décentralisée au Conseil général de l'Isère Jérémie Daussin Charpantier, référent thématique Finances locales et Décentralisation à l'Agence Française de Développement Anne Raimat, directrice des Relations internationales et Affaires européennes de la communauté urbaine de Bordeaux"

Le président Rajaonarimampianina et une délégation de 14 personnes se trouvent actuellement dans la capitale belge pour la signature du 11ème Fond européen de développement (FED) qui s'effectuera avec le commissaire européen à la coopération et au développement. A la clé, Madagascar bénéficiera d'une subvention de 518 millions d'euros pour une période de cinq ans. Même si le pouvoir se félicitera de cette signature, il n'y aura pas de décaissement immédiat. Les fonds seront disponibles suivant les critères établis par les deux parties suivant la mise en œuvre des projets inscrits dans le Programme Indicateur National (PNI).

Le Président Didier Robert, s'est rendu ce mercredi 19 décembre 2012 à la Commission Européenne à Bruxelles pour défendre les dossiers de La Réunion. Il réclame un maintien des aides locales et des règles mieux adaptées pour La Réunion. En tant que Président de Région et Président de la Conférence des Présidents des RUP (Régions ultrapériphériques), Didier Robert s'est entretenu avec les Commissaires Européens Johannes Hahn, en charge de la politique régionale et Michel Barnier, en charge du marché intérieur.

Pour le vice-Président de la Société des Agriculteurs de France, la régionalisation de la gestion du Fonds européen agricole de développement rural pourrait entrainer des distorsions de concurrence.

"2014 : une nouvelle ère se prépare pour les politiques européennes. Comment valoriser l'apport des financements et favoriser le dépôt de projets ? Dans le prolongement de son étude "Pour une meilleure utilisation des fonds européens en Bretagne" le Conseil Economique Social et Environnemental Régional (CESER) de Bretagne vous convie à un Forum public :"