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"Parmi les 40 propositions de son rapport à Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères, André Laignel, maire d'Issoudun et premier vice-président de l'Association des maires de France, préconisait la mise en place d'un fonds d'urgence qui pourrait être abondé par les collectivités volontaires pour appuyer les actions de la France dans les Etat en crise. Lors de la conférence sur le développement du Mali, le 19 mars 2013 à Lyon, Laurent Fabius a annoncé la création de ce fonds, appelé Fonds d'action extérieure des collectivités territoriales (FACECO). Il s'agit d'un fonds de concours géré par le Centre de crise du ministère des Affaires étrangères et dédié aux collectivités territoriales qui souhaitent apporter une aide d'urgence aux victimes de crises humanitaires à l'étranger."

En avril et juin 2014, le Gret mène, avec l'Association pour le développement de l'éducation en Afrique (Adea) et l'Iram, une étude comparative sur les fonds de financement de la formation professionnelle. Cette étude permettra d'offrir une vision précise des caractéristiques et modalités de fonctionnement de ces fonds et d'émettre des recommandations sur les types d'accompagnement possibles. Elle couvre l'Amérique latine et l'Afrique, notamment les 12 fonds du Réseau africain des institutions et fonds de formation professionnelle (Rafpro). Elle s'inscrit dans le cadre d'un partenariat entre l'AFD et l'Adea, et de la préparation de la Conférence ministérielle sur l'emploi des jeunes, co-organisée par le Ministère en charge de l'Emploi en Côte d'Ivoire et le pôle de qualité inter-pays de l'Adea, les 21, 22 et 23 juillet 2014 à Abidjan.

Cette sollicitation de manifestation d'intérêt fait suite à l'Avis général de passation de marchés, publié dans le journal Midi Madagasikara et L'Express de Madagascar en date du 26 et 30 Mars 2016 Le Gouvernement de la République de Madagascar a reçu un financement de l'Agence Française de Développement (AFD), et a l'intention d'utiliser une partie du montant de celui-ci pour effectuer les paiements au titre de l'Assistance Technique Résidentielle au Service d'Appui aux Services Agricole (SASA) et au Fonds de Développement Agricole (FDA), dans le cadre du Projet d'appui à l'Amélioration de la Productivité Agricole à Madagascar (PAPAM). Le projet est financé par l'Agence Française de développement (AFD) pour un montant de 7 millions d'euros (7M€). Il sera mis en œuvre à partir du mois d'avril 2016 pour une durée de 4 ans. Le projet vise deux objectifs spécifiques: (1) développer les services d'appui aux agriculteurs et à leurs organisations par le renforcement du dispositif Centre de Service Agricole (CSA) / Fonds Régional de Développement Agricole (FRDA) / Fonds de Développement Agricole (FDA), (2) améliorer durablement la productivité des exploitations agricoles grâce à la diversification et à l'intensification agro-écologique, à la mise en valeur des périmètres irrigués, et au renforcement des capacités locales, pour développer des activités diverses dans le cadre d'une approche territoriale Bassins Versants Périmètres Irrigués.

Le fond d'investissement OCP Innovation Fund for Agriculture (OIFA) lance un appel à projets pour les entrepreneurs du secteur agricole. Le Fond d'investissement OCP Innovation Fund for Agriculture souhaite contribuer au développement par l'innovation dans le secteur agricole. Pour se faire, le fond dispose de critères qui lui sont propres et qui visent à répondre à des exigences sociales, économiques et environnementales les plus importantes. L'objectif avoué: faire émerger des structures à fort potentiel avec des porteurs de projets sur le marché national mais aussi tournées vers l'international. Plusieurs critères sont attendus: l'innovation, l'approche globale et intégrée, la viabilité économique du projet et sa rentabilité, le développement local associé, et donc le potentiel à l'export.

Ces orientations à l'intention des bénéficiaires ne prétendent pas répertorier de façon exhaus-tive tous les fonds européens disponibles. Elles reprennent les éléments du cadre stratégique commun (annexe 1 du règlement (UE) nº 1303/2013) qui définit les bases d'une meilleure coordination entre les Fonds ESI et les autres instruments de l'UE. Pour chaque objectif thématique (OT) identifié dans le règlement relatif aux Fonds ESI, ces orientations donnent un aperçu des instruments complémentaires disponibles au niveau de l'UE, accompagné de sources d'informations détaillées, d'exemples de bonnes pratiques pour associer différents flux de financement et d'une description des autorités et organismes char-gés de la gestion de chaque instrument.

"(Agence Ecofin) - Au Maroc, l'office chérifien des phosphates (OCP) veut soutenir l'entreprenariat via un appel à projets lancé par son fonds dédié à l'innovation (OCPIF). Selon le fonds, cette initiative permettra d'identifier et d'accompagner les projets susceptibles d'avoir un impact socio-économique durable dans les secteurs de l'agriculture et de l'agro-industrie. Le site internet de l'OCPIF indique que les projets retenus pourront compter sur ses services d'incubation et sur son réseau d'experts et de partenaires. En ce qui concerne la sélection, le fonds tablera sur l'innovation, l'approche globale et intégrée, la viabilité et la rentabilité du projet, le potentiel à l'export et le développement local associé à ces différents projets."

"Annick Girardin, secrétaire d'Etat en charge du développement et de la Francophonie, a participé ce 4 février au lancement du fonds pour l'auto-subsistance et l'agriculture familiale. Ce fonds innovant est cofinancé à ce stade par deux grandes entreprises du secteur agroalimentaire. Il prévoit d'investir 120 millions d'euros, au cours des dix prochaines années, dans des projets en Afrique, en Asie et en Amérique latine, avec l'objectif d'aider 200 000 exploitations familiales et deux millions de personnes à pérenniser leurs cultures. Annick Girardin a rappelé à cette occasion que l'agriculture familiale est un pilier du développement et de la lutte contre la pauvreté. Econome en ressources naturelles et protectrice de l'environnement, elle est porteuse d'avenir."

"La Guinée équatoriale est le premier pays à contribuer, à hauteur de 30 millions de dollars, à cette initiative de l'Afrique à l'Afrique pour lutter contre la faim Photo: ©FAO/Antonello Proto Les agricultrices gambiennes travaillent de concert pour rentrer les récoltes 22 février 2013, Malabo/Rome - La Guinée équatoriale a fait don aujourd'hui de 30 millions de dollars à un nouveau fonds de solidarité qui vise à mobiliser les ressources financières de l'Afrique pour renforcer la sécurité alimentaire de la région. Ce premier don accordé au Fonds de solidarité pour la sécurité alimentaire en Afrique a été annoncé au cours d'une cérémonie en marge du troisième sommet Afrique-Amérique du Sud, à Malabo, en présence de M. José Graziano da Silva, Directeur général de la FAO."

Pour le vice-Président de la Société des Agriculteurs de France, la régionalisation de la gestion du Fonds européen agricole de développement rural pourrait entrainer des distorsions de concurrence.

"Chaque année, le Ministère des Affaires étrangères et du Développement international (MAEDI) lance plusieurs appels à projets en soutien aux projets de coopération décentralisée. Ceux-ci peuvent être soit bilatéraux, soit thématiques : - Les appels à projets bilatéraux soutiennent les projets de coopération décentralisée entre des collectivités territoriales françaises et étrangères répondant à des priorités partagées avec l'Etat partenaire, selon des modalités définies dans le cadre d'accords bilatéraux. Dans ce cadre, 5 fonds conjoints ont été mis en place, cofinancés paritairement avec les gouvernements des partenaires étrangers (Maroc, Territoires palestiniens, Mexique, Argentine, Sénégal, Québec). De plus, le MAEDI a mis en place deux fonds d'appui spéciaux afin d'encourager les projets de coopération décentralisée avec les collectivités territoriales tunisiennes et libanaises. - Les appels à projets thématiques appuient les projets de coopération décentralisée sur certaines priorités et sont cofinancés par le MAEDI (DAECT) et ses partenaires. - Alors que l'appel à projets « généraliste » triennal 2016-2018 va entrer en 2017 dans sa deuxième année, un appel à projet généraliste annuel va être ouvert afin de permettre un cofinancement des projets de coopération décentralisée qui ne sont pas « couverts » par les appels à projets bilatéraux ou thématiques, du 1er décembre 2016 au 31 mars 2017, qui s'inscrira dans les priorités internationales portées par le MAEDI (mise en œuvre des 17 Objectifs de développement durable et du nouvel agenda urbain adopté le 20 octobre 2016 notamment)."

La Région est aujourd'hui pilote du fond européen FEDER. Un changement pour une gestion directe plus efficace, plus lisible, plus cohérente en direction des chefs d'entreprises locaux et des porteurs de projets, une avancée pour tous les réunionnais. L'assemblée Plénière du Conseil Régional, du Mardi 22 Avril 2014, a acté la responsabilité de la Région comme Autorité de Gestion des fonds européens (FEDER) « Ce positionnement traduit la cohérence de mon implication, (...)

Rapport de l'atelier national de concertation sur le processus de la mise en place du fonds d'investissement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle (FISAN). Haut Commissariat à l'Initiative 3N - Mars 2015. « Le FISAN, une autre façon de financer la sécurité alimentaire et nutritionnelle au Niger ». Introduction Du 24 au 26 Février 2015 s'est tenu dans la salle de réunion de l'hôtel Sahel de Niamey l'atelier national de concertation sur le processus de mise en place du Fonds d'investissement (...) - 4. Financement de l'agriculture

Tel que rapporté par l'Institut international du développement durable (IISD), la Banque mondiale vient d'approuver un plan de financement de 93 millions de dollars US afin de soutenir le développement rural et la gestion durable des terres et des forêts au Burkina Faso. Le forfait comprend une subvention de 70 millions de dollars de l'Association internationale de développement (IDA) et 7,41 millions de dollars du Fonds pour l'environnement mondial (FEM). Il est prévu que les fonds seront utilisés

"Si les dirigeants des pays d'Afrique de l'Ouest ont arrêté d'investir dans l'agriculture, cela était pour l'essentiel, en raison des diktats des institutions de coopération multilatérales et des bailleurs de fonds, qui ont voulu donner la priorité à la stabilisation du budget, au détriment du bien-être des agriculteurs. Et dans le même moment, ces bailleurs de fonds faisaient pour leurs propres paysans, tout ce qu'ils interdisaient à nos dirigeants de faire. Le plus grand leader paysan de l'Afrique de l'Ouest a dénoncé la forfaiture le samedi dernier."

"L'effort doit être apprécié, souffle un diplomate. Les ministres européens du Développement vont approuver, mardi 28 mai, une augmentation du budget du Fonds européen de développement (FED). Pour 2014-2020, les Etats ont décidé d'ajouter 4,5 milliards d'euros à cette enveloppe destinée aux pays ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifique). Un montant qui dépasse les montants initialement demandés par la Commission. Lors du Conseil européen de février, les Etats s'étaient arrêtés sur un budget avoisinant les 27 milliards d'euros. "

En 2011, les autorités de tutelle ont confié à l'AFD la responsabilité de mettre en œuvre un fonds d'expertise technique et d'échanges d'expérience (FEXTE), dont la finalité est de contribuer au développement durable des pays émergents et des pays à revenu intermédiaire à croissance rapide en répondant à leurs demandes et besoins d'expertise et d'expérience françaises tout en créant des conditions favorables aux intérêts économiques français. La gestion de ce fonds sera confiée au CEFEB.

Au plus tard depuis la crise mondiale des prix alimentaires de 2007/2008, la communauté internationale a, sans relâche, réaffirmé le rôle déterminant que jouent le secteur agricole et les zones rurales dans les efforts déployés pour combattre la faim et la pauvreté. Il importe à présent de remédier aux nombreuses années de négligence du secteur dans la coopération internationale ainsi que dans nombre des politiques adoptées par les pays affectés eux-mêmes. Des fonds importants ont été promis et, dans le meilleur des cas, ont été mis en œuvre. Mais, ceux à qui ces fonds sont destinés, notamment les petits exploitants agricoles et les ruraux pauvres, profiteront-ils vraiment de tous ces investissements ? "

"2014 : une nouvelle ère se prépare pour les politiques européennes. Comment valoriser l'apport des financements et favoriser le dépôt de projets ? Dans le prolongement de son étude "Pour une meilleure utilisation des fonds européens en Bretagne" le Conseil Economique Social et Environnemental Régional (CESER) de Bretagne vous convie à un Forum public :"

L'appel à propositions du projet intitulé « Au-delà de 2014 : appui aux Comités nationaux de l'Agriculture familiale » est lancé au titre de l'année 2016 Ce projet est cofinancé par le Fonds International de Développement Agricole (FIDA) et la FAO et implémenté par le FRM en consortium avec FIDA MERCOSUR-CLAEH, Inades-Formation et AMARC. Il témoigne de la reconnaissance envers la capacité des Comités nationaux de l'Agriculture familiale (CNAF) à contribuer à l'amélioration des politiques publiques pour le développement de l'agriculture familiale. Pour répondre à cet appel à propositions, téléchargez les documents de l'appel

"Depuis le désengagement de l'État malgache et son recentrage sur ses missions régaliennes, la carence de services à l'agriculture est constatée par tous les acteurs du développement rural et en premier lieu par les agriculteurs. Un déficit criant, véritable frein au développement, qui a pour conséquence majeure l'augmentation de la pauvreté en zones rurales. Face à ces constats, l'État malgache a décidé la création de centres de services agricoles (CSA) et de fonds régionaux de développement agricole (FRDA). "