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WYG and Natural Resources Institute (NRI) are pleased to launch the call for concept notes for the Sustainable Agricultural Intensification Research and Learning Programme in sub-Saharan Africa (SAIRLA) research opportunity. SAIRLA is a five-year programme, from 2015 to 2020, which will commission research and facilitate learning to understand different ways of achieving Sustainable Agricultural Intensification (SAI) and their developmental implications. Its key focus is on assessing how SAI can be promoted in ways that enable women and poorer smallholders in Africa to participate in and benefit from agricultural development through SAI approaches. SAIRLA's research projects will generate new evidence and decision-making support tools to help decision makers create an enabling environment for poorer smallholder farmers, especially women and youth, to engage in Sustainable Agricultural Intensification.

"[LONDON] Smallholder farmers in Africa must participate in research to ensure higher crop yields and to fend off hunger as the continent's population grows, according to a report published today (18 April). A combination of traditional knowledge and modern science will be key to achieving higher productivity at lower ecological cost - known as 'sustainable intensification' - the report says. 'Sustainable Intensification: A New Paradigm for African Agriculture' was written by the Montpellier Panel, a group of international experts from the fields of agriculture, sustainable development, trade, policy and global development. "

"Autour de cette question capitale pour les pays du Sud, le Cirad et Wageningen s'associent pour proposer à la commission européenne un partenariat de recherche, Europe - Afrique. Intensification durable, agro-écologie, nouvelle révolution verte… Tous ces concepts apparaissent tour à tour dans plusieurs documents stratégiques sur le futur de l'agriculture en Afrique, depuis le document cadre du Fara sur la productivité agricole jusqu'au rapport d'Olivier de Schutter aux Nations Unies sur l'agro-écologie."

"JOHANNESBOURG, 11 juillet 2013 (IRIN) - La flambée des prix alimentaires et les évènements climatiques extrêmes de ces dernières années ont menacé la sécurité alimentaire mondiale, ce qui a suscité des inquiétudes quant à la capacité de la planète à nourrir une population en pleine croissance. Ces inquiétudes ont conduit des scientifiques de la Royal Society à se prononcer en faveur d'une « intensification durable » de l'agriculture en 2009. Selon la plupart des définitions, ce terme désigne une augmentation des rendements en limitant les dommages causés à l'environnement et en évitant d'étendre les surfaces cultivables. Ce terme n'est pas nouveau, mais il a suscité de nombreuses controverses. "

Le 07 mars 2014 a eu lieu à Dapaong, le lancement officiel du nouveau projet « Intensification Agro écologique de la production agricole dans la région des savanes et gestion durable des ressources naturelles » dit « projet AgroEco » lors d'un atelier. Cet atelier de lancement a été présidé par le Préfet de Tone, en présence de son paire de Tandjoaré, du Maire de la Commune de Dapaong et des responsables de AVSF et d'Inades-Formation Togo. L'objectif de l'atelier était d'informer tous les acteurs du contenu du projet et de recevoir leur adhésion. Les partenaires locaux (UROPCS, ONG, services techniques d'appui et communautés) ont pris part à cette cérémonie de lancement qui a réuni une centaine de participants. Ce projet, financé par l'Union Européenne, sera piloté et exécuté par le bloc AVSF-Inades-Formation Togo -UROPC-Savanes.

"L'atelier coopération décentralisée Agriculture, élevage et pêche a rassemblé plus de 60 participants le mercredi 3 avril 2013 à l'Hôtel du Louvre. Les représentants des coopérations décentralisées franco-malgaches, du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD), de l'Agence française de développement (AFD), du Service militaire d'action au développement (SMAD), des ministères malgaches de la Décentralisation, de l'Agriculture, de l'Élevage et de la Pêche, des services techniques déconcentrés (STD), des collectivités territoriales décentralisées (CTD) et des centres de formation et de recherche ont participé activement aux débats qui ont permis de renforcer les liens entre les opérateurs, de prendre en compte les attentes et les besoins des partenaires malgaches de capitaliser les bonnes pratiques, de réfléchir sur la place de chaque partenaire dans la construction, la mise en œuvre et l'évaluation des projets. Les interventions des experts ont permis de souligner le principal enjeu agricole à Madagascar : le passage d'une agriculture traditionnelle à une intensification agro-écologique de la production, en travaillant sur la constitution de filières durables. Cette journée de réflexion a permis de souligner l'importance de l'écoute des partenaires et de l'implication de toutes les parties à chaque étape d'un projet. L'intégration de ces éléments garantira l'ancrage dans le territoire et auprès des populations, facilitera l'autonomisation et la durabilité des programmes, qui auront ainsi des impacts visibles et mesurables. La poursuite du processus de décentralisation, assortie d'une meilleure coordination entre les ministères sectoriels, leurs services techniques déconcentrés et les collectivités territoriales décentralisées sera garante d'un meilleur développement territorial."

"L'intensification agricole est souvent assimilée à de l'agriculture industrielle à grande échelle qui menace l'environnement et les moyens de subsistance des petits exploitants. Ce rapport du Panel de Montpellier conteste cette perception, en présentant l'intensification « durable » comme une solution rentable, efficace et respectueuse de l'environnement, au défi de nourrir la population croissante de l'Afrique. Les auteurs définissent l'intensification durable comme « produisant davantage en utilisant toutes les ressources de façon plus efficace - et durable - tout en réduisant les dommages à l'environnement et en renforçant la résilience, le capital naturel et le flux de services environnementaux. » "

"BAMAKO/SÉVARÉ, 15 avril 2013 (IRIN) - Selon l'organe d'alerte précoce du gouvernement et les agences qui s'intéressent à la sécurité alimentaire, la faim a atteint un seuil de crise dans le nord de la région de Kidal et un seuil critique dans les régions de Gao et de Tombouctou. Dans les régions de Gao et de Tombouctou, un ménage sur cinq est confronté à de graves pénuries alimentaires, tandis que dans la région de Kidal, un ménage sur cinq est exposé à la malnutrition sévère et à un accroissement de la mortalité. "

Fiche d'information du Projet Capitalisation et du Projet Intensification de l'Agriculture par le Renforcement des Boutiques d'Intrants Coopératives (IARBIC) - FAO Niger "Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d'une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d'une parcelle. L'objectif est d'observer toutes les interactions autour de la plante, d'identifier les potentialités et les contraintes, d'expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l'itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine."

"Agropolis International invite le mardi 10 septembre 2013 Sir Gordon Conway, professeur à l'Imperial College de Londres et coordinateur du Montpellier Panel (mis en place en 2010 à l'initiative de la Bill & Melinda Gates Foundation à l'occasion de la première GCARD et composé de 12 experts de réputation internationale.), à présenter le dernier rapport de ce Panel : « Sustainable Intensification : A new paradigm for African Agriculture » paru en mai 2013. "

"Cet article met en évidence les enjeux clés liés aux spécificités des sols africains et la façon dont ils influencent la production agricole. Il fait valoir que la science occidentale et les connaissances locales/autochtones ne sont pas incompatibles quand il s'agit de promouvoir une agriculture durable en Afrique subsaharienne."

"Les cours commencent le 22 septembre 2014 Les candidatures pour le Programme de formation approfondie (PFA) et le cours sur la Planification du secteur de l'éducation (PSE) sont désormais ouvertes. Le Programme de formation approfondie est un programme intensif de neuf mois, couronné par un certificat professionnel de niveau master. Axé sur la pratique, le PFA vise à renforcer les compétences et les connaissances des gestionnaires et autres experts chargés de l'éducation, du secteur public et des secteurs non gouvernementaux. Le cours Planification du secteur de l'éducation combine une phase de 12 semaines d'apprentissage en ligne avec une phase de formation résidentielle de 13 semaines. Il permettra aux participants d'acquérir les principes fondamentaux de la planification de l'éducation, du diagnostic du secteur de l'éducation à la préparation et au suivi de la mise en œuvre d'un plan. "

L'Assemblée générale de ProIntensAfrica s'est tenue le 22 avril 2014 au Secrétariat du Forum pour la recherche agricole en Afrique (FARA) à Accra. Le point culminant de l'Assemblée générale a été l'approbation de l'accord de consortium du projet. Le consortium du projet comprend 23 organisations de recherche et de développement agricoles d'Europe et d'Afrique qui ont accepté de mener diverses activités afin d'établir un programme de partenariat en vue d'une intensification agricole en Afrique. L'Accord de consortium est l'instrument donnant une justification juridique à l'entente de partenariat au sein du programme. Il est une étape importante dans l'histoire de ProIntensAfrica. Il ouvre également la voie à la mise en œuvre des activités du programme. Dr Yemi Akinbamijo, Directeur exécutif du FARA, Dr Patrick Caron et Dr Martin Kropff ont signé l'Accord de consortium en présence d'autres membres du consortium.

Les décideurs politiques devraient être favorables à un large éventail d'approches pour réorganiser les systèmes alimentaires planétaires en les rendant plus sains et plus durables tout en reconnaissant que "nous ne pouvons pas compter sur le modèle intensif d'intrants pour accroître la production, d'autant que les solutions du passé ont montré leurs limites".

"16 janvier 2015, Berlin - La concurrence croissante pour les ressources naturelles et les goulets d'étranglement des ressources émergentes signifient que l'agriculture mondiale ne peut plus fonctionner suivant les méthodes courantes. Le modèle de développement agricole intensif axé sur les intrants, et qui a été suivi au cours des 40 dernières années, n'est plus viable et un «changement de paradigme» est nécessaire en matière de production alimentaire. Tel est, en substance, le message du Directeur général de la FAO José Graziano da Silva qui s'adressait aujourd'hui au Forum mondial pour l'alimentation et l'agriculture organisé cette semaine à Berlin dans le cadre de la Semaine verte."

"To continue to feed a growing world population, we need to increase global food production. This appears though at odds with a number of seemingly insurmountable environmental and socio-economic challenges. This is particularly true for Africa, a region hit most strongly by climate change and yield gaps against a backdrop of poverty, migration and conflicts. How thus can we innovate agriculture and drive sustainable intensification?"

"L'amélioration durable de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, ainsi que la question des moyens de subsistance des agriculteurs africains, sont mis en exergue par 23 partenaires de recherche et d'innovation africains et européens. Cette collaboration se fait autour d'un partenariat de recherche et d'innovation à long terme. L'accent est mis sur l'intensification durable des systèmes de production en Afrique. Quels effets réels peut-on attendre de nouvelles voies d'intensification durable de la production agricole et alimentaire sur l'environnement, l'économie et la société? Bien que les systèmes de production actuels aient permis une augmentation substantielle de la production agricole et alimentaire, l'évolution des pratiques agricoles a parfois conduit à une détérioration de l'environnement. En outre, de nombreuses personnes n'ont toujours pas suffisamment à manger et ne peuvent échapper à la pauvreté. 23 instituts de recherche et d'innovation, répartis dans 21 pays européens et africains, se joignent pour étudier les effets globaux des systèmes de production dans le cadre d'une nouvelle initiative, PROIntensAfrica. « La croissance attendue de la population mondiale de 7 à 9 milliards d'individus et la modification des régimes alimentaires exigeront 70 % de nourriture en plus en 2050. On le sait, il n'y a pas de solution unique pour l'augmentation de la production. Il faut explorer et exploiter la diversité de voies d'intensification durables », explique Dr Huub Löffler de l'Université de Wageningen et Centre de Recherche (WUR), coordinateur de l'initiative."

La publication de ce nouveau Champs d'acteurs relate une expérience-pilote développée par l'Union des groupements pour la commercialisation des produits agricoles de la Boucle du Mouhoun (UGCPA/BM) pour accompagner ses membres vers l'intensification écologique. Issu d'une collaboration entre l'UGCPA/BM, le Cirad, Jade productions et FARM, ce document expose les réalités de l'intensification écologique au Burkina Faso et nourrit le débat du potentiel des outils de communication que les organisations de producteurs peuvent utiliser pour conduire le changement chez les agriculteurs.