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Animé par l'ONG FFF Malagasy Mahomby, l'atelier a rassemblé une quarantaine de représentants de 6 coopératives (4 de la Région Atsinanana, 2 de la Région Analanjirofo) engagées dans la production, la transformation et/ou la commercialisation de produits labellisés commerce équitable. Les participants ont abordé des questions cruciales dans la gouvernance des coopératives, notamment l'autonomie financière et matérielle, la génération et le partage des bénéfices, la pérennisation des débouchés et la transparence dans la gestion. Les échanges techniques se sont poursuivis sur le terrain lors de la visite de parcelles de baies roses, de vanille et de litchi appartenant à des membres de la coopérative.

Avant-Premières, la MJC de Quintin, Rich'ESS et l'ensemble du comité local lancent une campagne de financement participatif pour soutenir la poursuite de l'expérimentation d'une Coopérative Jeunesse de Services (CJS) à Quintin. Article proposé par Flavienne LUBAC, chargée de mission Une Coopérative Jeunesse de Services (CJS) permet d'apprendre à un groupe de jeunes (16 à 18 ans) à créer et piloter durant l'été une entreprise coopérative. Plus qu'un premier salaire, c'est une aventure collective et un apprentissage citoyen à l'entrepreneuriat grandeur nature. Soutenez ce projet et permettez aux jeunes du territoire de se lancer dans un projet entrepreneurial innovant ! Il reste 20 jours pour réunir 2200 euros…

"Une sensibilisation de tous au mouvement solidaire Différents intervenants et partenaires étaient présents pour sensibiliser et échanger avec les lycéens et étudiants du lycée agricole Philippe de Vilmorin (55) Organisée en novembre de chaque année, la semaine internationale de la solidarité, permet de s'interroger sur la marche du monde et les moyens d'agir pour plus d'équité, de justice et de solidarité pour tous. C'est pourquoi, à l'initiative de l'équipe pédagogique, de nombreuses animations ont été proposées : exposition, conférences, film, repas d'inspiration africaine, vente de bijoux et artisanat réalisés par les coopératives de femmes mauritaniennes."

A l'occasion de la journée mondiale de la pêche, qui s'est tenue à Abidjan, Côte d'Ivoire, le 21 novembre 2012, la Confédération Africaine des Organisations Professionnelles de la Pêche Artisanale (CAOPA) et la Fédération Nationale des Coopératives de Pêches de Côte d'Ivoire (FENACOPECI) ont organisé une rencontre préalable entre experts et représentantes du secteur de la pêche artisanale de 16 pays d'Afrique sur le thème suivant : « Améliorer la contribution de la pêche artisanale à la sécurité alimentaire : Le rôle des femmes ».

Du 23 au 28 Août 2016, la Chambre d'Agriculture de la région de Dakhla-Oued Eddahab avait organisé un ensemble de sessions de formation sur l'ensemble des filières de production. Selon nos confrères de aujourd'hui.ma, les thèmes traités étaient étroitement liés à la nouvelle stratégie du Plan Maroc Vert et des plans de développement régionaux. Le choix des thèmes des formations s'etait fait en tenant compte des besoins de chaque région. Cette formation portait sur deux volets. Le premier volet traitait des activités qui génèrent des revenus. Ce premier volet avait pour objectif de sensibiliser sur les bonnes pratiques de production et de renforcer le rôle des coopératives et des associations agricoles, et ce dans le but de contribuer au développement du secteur agricole dans la région. Le deuxième volet portait sur le développement de la filière cameline et sur l'amélioration des parcours. Ce volet avait pour objectif de corriger les pratiques non adaptées et d'introduire des techniques de production modernes.

"Le Programme National pour le Développement Agricole et Rural fixe les principales orientations dans lesquelles devront s'inscrire les actions conduites par les acteurs du développement - instituts techniques, chambres d'agriculture, coopératives, groupes d'agricultures - et financées par le ministère de l'agriculture (compte d'affectation spéciale développement agricole et rural - Casdar). "

"Ce dispositif lancé par Coop de France Ouest et Afnor, avec le soutien de la Région, vise à sensibiliser et accompagner les Coopératives agricoles et agro-alimentaires à construire, communiquer et progresser dans leur démarche Développement durable et responsabilité sociétale et environnementale (RSE)."

Fiche d'information du Projet Capitalisation et du Projet Intensification de l'Agriculture par le Renforcement des Boutiques d'Intrants Coopératives (IARBIC) - FAO Niger "Le champ école paysan (CEP) constitue un groupe de 20 à 25 apprenants et apprenantes, volontaires et disponibles, se réunissant une fois par semaine tout au long d'une campagne hivernale pour suivre une formation de culture d'une parcelle. L'objectif est d'observer toutes les interactions autour de la plante, d'identifier les potentialités et les contraintes, d'expérimenter des solutions face aux problèmes de production, en vue de choisir l'itinéraire technique le plus prometteur et de conduire une culture saine."

"Aujourd'hui, la ville américaine de Detroit se réinvente à partir de l'agriculture urbaine, du potager à la ferme coopérative en passant par le jardin communautaire. Paris est encore loin de l'embellie maraîchère de Détroit où 1 dollar investi dans un jardin communautaire génère l'équivalent de 6 dollars en fruits et légumes, mais les jardins partagés se multiplient à Paris depuis une dizaine d'années. En matière d'agriculture urbaine, les projets les plus prometteurs proviennent d'initiatives privées, essentiellement associatives. La ville comestible se construit à l'échelle du quartier comme le montre la préservation des Vergers de l'îlot à Fontenay-sous-Bois."

"Samedi 23 novembre 2013 Centre des Congrès Diagora Touloue-Labège Les temps forts 9h15 Les Ateliers thématiques 11h La Tribune des projets Présentation de 18 actions conduites dans le monde par les Midi-Pyrénéens. 14h LE GRAND DÉBAT Animé par Marc Voinchet, journaliste à France Culture De l'insécurité alimentaire à la souveraineté alimentaire, où en est-on ? comment agir ? Avec la participation de : Marc Bied-Charreton, président du Comité scientifique français de la désertification, expert auprès des Conventions des Nations unies sur l'environnement. Fatou Binetou Diop, responsable de la sécurité alimentaire à l'Union des groupements paysans de Meckhé, chargée de l'activité Banques de céréales dans le cadre de la coopération entre les Régions Midi-Pyrénées et Thiès (Sénégal). José Bové, député européen, vice-président de la Commission agriculture et développement rural au Parlement européen. Cédric Cabanne, ingénieur agronome, dirigeant de Agronutrition. Yves Le Bars, président du Comité français pour la solidarité internationale. Bruno Losch, économiste, directeur de recherche du Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad). Florence Mouton, en charge de la prospective sur la sécurité alimentaire à l'Agence française de développement. Pablo Vargas Chavez, gérant de La Florida, Groupement de coopératives caféières au Pérou. "

"A l'issue de 3 ans d'actions, menées par Fert avec Afdi Touraine, au Maroc (régions de Khénifra et Chefchaouen) et au Mali (régions de Sikasso et Koutiala), des coopératives et des groupes de paysans investis appliquent désormais des pratiques issues des principes de l'Agriculture de Conservation (AC) : semis direct (SD), couverture végétale du sol ou rotations."

"(Agence Ecofin) - Le Gabon vient de faire un pas supplémentaire dans la mise en œuvre du programme GRAINE (Gabonaise des réalisations agricoles et des initiatives des nationaux engagés). En effet, le gouvernement vient d'annoncer le départ de 54 stagiaires vers la Malaisie. Ces jeunes, les premiers d'une cohorte de 2500 personnes, passeront quatre mois dans ce pays à se former aux techniques agricoles afin, à leur retour d'occuper des postes de superviseurs des progrès du programme. S'exprimant sur ce départ, le président Gabonais Ali Bongo Ondimba a affirmé: «les premiers partants sont en quelque sorte les ambassadeurs de notre grande ambition : permettre au pays de retrouver son autosuffisance alimentaire en développant des coopératives agricoles créatrices d'emplois et pourvoyeuses de stabilité dans nos villages.»"

"Ce projet est initié par le ministère délégué auprès du président de la République chargé de la Promotion de la Jeunesse et de l'Emploi des Jeunes, en collaboration avec l'Union nationale des coopératives d'épargne et de crédit de Côte d'Ivoire (UNACOOPEC-CI)."

A l'issue de 3 ans d'actions, menées par Fert avec Afdi Touraine, au Maroc (régions de Khénifra et Chefchaouen) et au Mali (régions de Sikasso et Koutiala), des coopératives locales et des groupes informels de paysans appliquent désormais des pratiques issues des principes de l'Agriculture de Conservation (AC) : semis direct (SD), couverture végétale du sol et rotations.

"GENÈVE (OIT Info) - Tandis que les retombées politiques de la révolution de 2011 continuent de se répercuter à travers toute l'Egypte, bon nombre des agriculteurs du pays espèrent que cette évolution positive va gagner le secteur agricole."

Après le lancement des laits infantiles Nactalia dans le sud de la Chine en octobre 2012, c'est aujourd'hui la province du Sichuan qui voit l'arrivée de cette marque « made in France ». La Chine est un marché stratégique pour les produits laitiers français.

Le 12 mai, Cités Unies France accueillait le directeur de l'Agence nationale du conseil rural et agricole du Sénégal (Ancar), Monsieur Issa Amadou Ndiaye. L'occasion pour lui de présenter la stratégie de l'Ancar dans le cadre de la réforme territoriale sénégalaise qui doit définir des pôles de développement économique. Depuis février 2014, l'Ancar a décidé de proposer des projets structurants en préfiguration de futurs pôles agroécologiques. Parmi ces pôles, il y a par exemple la zone des Niayes, bande côtière constituée de dunes et dépressions qui s'étend de Dakar à Saint-Louis et qui est propice à la culture maraîchère (80 % des légumes sénégalais proviennent des Niayes). Pourtant, un quart de cette production est perdue faute de débouchés immédiats. L'Ancar travaille sur des cahiers des charges environnementaux pour valoriser les légumes des Niayes avec un label. Un centre de formation est aussi en projet à Pout pour renforcer les capacités de commercialisation des coopératives de femmes. Autre exemple : l'Ancar souhaite développer les circuits courts de cultures vivrières dans la région de Saint-Louis. L'idée est de contrebalancer l'expansion de la monoculture du riz dans la vallée du fleuve Sénégal en redynamisant les céréales locales. L'hégémonie du riz pose en effet des problèmes tant environnementaux (épuisement des sols) que de santé publique (diabète). Ces projets sont menés en coopération décentralisée avec des collectivités territoriales françaises.